Régionalisme Et Mondialisation

I. Les principaux courants d’échanges 1. Les échanges de marchandises Depuis début des 50’s, la croissance du CI est très rapide, cette période est appelée la seconde mondialisation. Avant 1GM, les échanges de marchandises avaient une valeur aussi élevée que celle au cours des 50’s. La deuxième mondialisation engendre une grande dépendance entre les nations sous deux aspects : pour leurs débouchés et pour les approvisionnements. Cette interdépendance des nations est croissante et ne fait

échanges intracommunautaires n’a guère progressé en dépit d’une intégration croissante, restant toutefois au niveau élevé de 74% en 20062. Des impacts difficiles à cerner[modifier] Avant l’entrée en vigueur de l’ALENA en 1994, Paul Krugman (La mondialisation n’est pas coupable) s’interrogeait sur les conséquences de cet accord alors que certains hommes politiques américains prévoyaient la disparition de centaines de millions d’emplois. Selon lui, la portée de tels accords est limitée. En effet les

l’Inde, l’Indonésie, la Malaisie, les Philippines et la Thaïlande représentaient 75 % des importations américaines bénéficiant de préférences. Les pays industrialisés pourraient appuyer les efforts déployés par l’Afrique pour tirer profit de la mondialisation en adoptant des préférences plus générales, axées sur les besoins de la région. À cet égard, Renato Ruggiero, Directeur général Finances & Développement / Décembre 2001 15 de l’UE soit adopté par les autres grands pays industrialisés et codifié

Nathan 2 ch 16 Mondialisation et alter-mondialisme La mondialisation est un phénomène, le mondialisme est une idéologie ; l'anti-mondialisation est aussi un phénomène ou un ensemble de résistances à la mondialisation, l'anti-mondialisme étant la pensée qui s'oppose à la pensée mondialiste. Il faut dc distinguer 2séries d'analyses : celle qui établit des faits et tente de les organiser pr les comprendre, celle qui relève de discours idéologiques jugeant de faits politiquement ou moralement. I

économique et monétaire (mise en place d'une monnaie unique ou commune) ===> Bela Belassa (1928-1991) économiste hongrois qui a défini les différents stades de l'intégration économique. Il considère que cette dernière peut mener au régionalisme, par opposition à la mondialisation. Union économique et monétaire (UEM): accord entre plusieurs états qui adoptent une monnaie unique et des politiques communes et concertées. C'est le dernier stade de l'intégration économique d'après Bela Belassa. L'UEM désigne

TES2 Thème : Mondialisation et croissance Travail Préparatoire (10 points). 1. Qu’est ce qu’un investissement direct à l’étranger (IDE) ? (document 1) – 1 point. 2. Comparez la situation des IDE entrants pour les PDEM et les PED dans le document 1. Que pouvez-vous en conclure ? – 2 points. 3. Inscrivez les deux données pour la période 2000-2003 du document 2 dans une phrase permettant d’en comprendre le sens. – 1 point. 4. Quels liens peut-on établir entre

L’Etat dans la mondialisation. ‘’La réalité du pouvoir mondial échappe largement aux Etats’’ a déclaré Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général des Nations Unies. En effet, la mondialisation est un phénomène planétaire où tous les Etats sont concernés et tend de ce fait à redéfinir la place des Etats dans le monde globalisé. Le terme de mondialisation (ou globalisation) désigne le processus qui conduit à l’interdépendance croissante des économies en raison de la multiplication des flux

l’évolution de l’économie globale à partir de l’étude de sa composante pétrolière » [23]1, cette thèse a décidé de ma spécialisation dans le champ de l’économie internationale et m’a conduit à m’intéresser aux défis que pose un thème alors nouveau (la mondialisation) à cette branche de l’analyse économique. Les outils de l’économie internationale (ceux de la théorie du commerce international et ceux de la théorie monétaire internationale notamment) ont été forgés en référence à un système fractionné en États-nations

américaine dans ces années. Se pose alors un problème avec cet objectif car une partie du monde ne fait pas partie du système commercial qu'ont les Etats-Unis : le bloc soviétique. Ce paradoxe illustre le dilemme permanent des Etats-Unis entre mondialisation et régionalisme. En 1947 les USA signent l'accord du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade), organisation qui n'inclut que 23 pays. Dans les années 1950, les USA s'intéressent à l'Afrique et à l'Amérique du Sud pour leur offrir l'aide au développement

décomposition internationale des processus productif(DIPP). C’est le fait de décomposer la chaine de production en diverses opérations et à l’échelle internationale. Elle s’est renforcée dans les années 70-80. C’est le cœur de la mondialisation contemporaine. La nouveauté est la mondialisation de la production. Désormais, on fabrique des demi-produits, des composants etc. La DIT est passé de l’horizontale à la verticale qui s’est développé et a donné lieu à un commerce de fragmentation ou perfectionnement (de