Répartition Chez Les Neoclassiques

directement des enjeux et des choix politiques. Dans ce chapitre, on se propose donc de voir comment les courants néoclassiques et Keynésien se sont affrontés sur cette question, au nom de quelles hypothèses et de quels raisonnements. Sans oublier, comme toujours, avec quelles arrière-pensées. Haut de page 1. Le marché du travail chez les néoclassiques La démonstration néoclassique se conclut par un précepte demeuré célèbre : lorsque l'économie est en équilibre, il ne peut pas exister de chômage

avancé en 1932 par Léon Robbins ) qui cherchent a réliser objectifs et les moyens mis en oeuvre pour les réaliser qui sont limité et parmi lesquels il faut choisir. Chez N-C pas de groupes/classes sociales, mais seulement des invidus qui cherche a maximer leur satisfaction globale. II-Les théroies de la valeur et de la répartition Valeur et utilité marginale N-C rejettent théories de la valeur travail et adopte théorie de l’utilité et y ajoute l’utilité marginale ( utilité de la dernière

l’Antiquité et le Moyen-Age « Il y a une réflexion économique avant 1776 … » 1776 Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations ou Richesse des nations (Adam Smith) => les sciences économiques naissent avec ce livre L’économie chez Platon et Aristote : « économie » : oïkos la maison en grec et nomos l’administration => le budget domestique, les règles de gestion de la vie domestique Platon « La république » : Intérêt de division du travail Dans la société idéale

s'intéresse donc au problème de l'allocation des ressources et cherche à répondre aux questions suivantes : - Quoi produire ? - En quelles quantités ? - Comment produire ? - Pour qui produire ? (c'est le problème de la répartition des richesses) « L’économie est la science qui étudie le comportement humain en tant que relation entre les fins et les moyens rares à usage alternatif » Lionel Robbins (1932) Comment faire de l'économie ? Il y a 2 méthodes résumées dans

économiques §2. Calcul de l’épargne nationale SECTION 2. L’écart entre l’Investissement et l’Epargne §1. Calcul de l’écart entre l’Investissement et l’Epargne §2. Interprétation et signification de l’écart CHAPITRE III. L’approche classique et néoclassique de l’équilibre macro économique SECTION1. L’approche classique ou le plein emploi § 1 Les hypothèses de base sur le fonctionnement du système économique § 2. Le libéralisme ou le mode de régulation par le marché A. La main invisible d’Adam Smith

théorie quantificative de la monnaie. Pour expliquer les prix relatifs, ils utilisaient la théorie de la valeur, par contre pour expliquer le niveau général des prix, ils recouraient à la théorie quantitative de la monnaie. Les néoclassiques L’analyse néoclassique tout comme l’analyse classique pose le principe de neutralité de la monnaie c'est-à-dire une séparation rigoureuse entre l’aspect monétaire et l’aspect réel de l’économie. Les keynésiens Pour Keynes, dans un monde économique fondamentalement

un phénomène individuel, on va partir de l'analyse des structures sociales, des institutions c’est à dire (........) et les comportements individuels qui vont en découler (.....) EX: Dans le top management, on observe un certains comportement chez le PDG, celui -là a pour objet la maximisation de la valeur actionnarial (Rapport de l’actionnaire/ gestionnaire). Pour les HM on regarde du côté des règles collectives, des structures des propriétés du capital, des actionnaires- PDG semble que les

classiques expliqueront la croissance économique en termes d'offre puisque la loi des débouchés de Jean-Baptiste Say selon laquelle toute offre crée sa propre demande, leur permet d'ignorer la question de la demande. Aujourd'hui la démarche néoclassique reprend celle des mercantilistes et des classiques en terme d'offre, la démarche keynésienne est inverse puisque la croissance économique répond à une hausse préalable de la demande. deuxièmement l'explication de l'inflation et la relation

d’analyse………………………………...7 II- Analyse transactionnelle de la relation salariale : Relation entre la transaction et l’échange……………………………………………………...9 II.1- Les différents types de transactions selon Common…………………9 II.2- La notion d’échange chez Commons……………………………………….10 CONCLUSION GENERALE………………………………………………..13 BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………14 INTRODUCTION GENERALE D’emblée, les différents apports théoriques de Commons sont encore aujourd'hui très largement ignorés. Pour une part

On parlera par la suite de courant néoclassique qui loin sans être la continuité des classiques reprend quelques grandes notions de la fin du 18e/deb 19e. Pourquoi « classiques » ? Terme « classique » apparaît dans le capital de Marx. 1ere fois qu’on pose un nom sur ce courant de pensée. Distinction éco « classiques » Ricardo et ses prédécesseurs des éco « vulgaires ». Pour Keynes : classiques englobent prédécesseurs de Ricardo + successeurs d’où « néoclassiques ». I – Emergence et développement