Résumé Généalogie De La Morale

dualité. Les thèmes évoqués sont le sens de la vie, la longévité et la foi ; car Le Don Juan de Balzac est fermement athée. 1. Construction du personnage a. Construction du passage Récit de construction : portrait en action. Portrait : physique, moral, paroles, passé, avis extérieurs. Seconde naissance de Don Juan « il devient Don Juan ». Le texte est en progression constante : la plupart des sujets des verbes sont le même « il ». b. Emploi des temps Verbes au passé simple (précis, ponctuel

d'origine et de mode de transmission. L'hypothèse documentaire a également été envisagée par les exégètes religieux, et des réponses cohérentes avec la tradition ont pu être proposées. Sommaire [masquer] * 1 Attribution du livre * 2 Résumé * 3 Interprétations du livre de la Genèse o 3.1 Utilisation de la lecture littérale pour dater la création o 3.2 Interprétations littérales vs allégoriques o 3.3 Remise en cause par les théories scientifiques

Paris. Son père lui adresse alors une lettre qui constitue un manifeste des idées pédagogiques de l’humanisme = le programme d’une éducation himaniste. Roman : 34chapitres. Cette lettre se trouve ds le chap. 8, les 7 chap. qui suivent relatent la généalogie fantaisiste de P., sa naissance extraordinaire et sa jeunesse. Pr faire ses études P. fait le tour des universités ce qui donne l’occas. à Rabelais de faire la satire de l’enseignement sclérosé (=stérilement figé). C’est à ce moment là qu’il reçoit

recherche du salut (sauver de la mort au sens large) sans Dieu ne s’oppose pas aux autres aspects qui définissent la philosophie : un art de bien penser, développer l’esprit critique, développer la réflexion et l’autonomie individuelle, un engagement moral qui oppose le juste et l’injuste. En fait il y a trois dimensions de la philosophie : l’intelligence de ce qui est (la théorie), la soif de justice (éthique), et la quête de salut (sagesse). P29-30 : La théorie = s’interroger sur la nature de ce monde

plutôt matérialiste(même s'il ne le revendique pas): son pragmatisme dévoilé par son retour au quotidien,ses exempls historiques,..le montre. Maintenant pour la morale de Candide, je ne pense pas qu'il faille la prendre au premier sens: notre jardin ce n'est pas le bout de terrain où on plante deux carottes et trois salades! c'est une morale ambigue il y a plein d'explications possibles: notamment le jardin renvoie à l'Eden, le paradis dont Candide a été chassé au premier chapitre ("meilleur des mondes")

constitue à elle seule la base de toute problématique et elle devient non pas ce qui est à définir mais ce que l’on devrait pouvoir supprimer afin de subsumer la diversité sous l’unité d’une catégorie. Mais la difficulté est double ; elle ne se résume pas en effet à la seule déclinaison au singulier du concept de différence. Il faut ajouter qu’on ne nous demande pas non plus de réfléchir sur une différence caractéristique, ni même spécifique, ni même essentielle entre l’homme et les autres êtres

participer les élèves à l’oral = de quoi se souviennent-ils ? (généalogie [au tableau] + résumé) Situer le texte et le présenter (résumé des scènes précédentes) Lecture totale, suivie d’un point sur le vocabulaire, la syntaxe et la compréhension de l’extrait Questions (au tableau), qqes minutes de réflexion et réponses à l’oral : participation collective Enchaîner avec le plan du cours (reprise organisée des questions) Rappel Généalogie sommaire : point sur les personnages principaux Agrippine

Support : LE WITA B., Ni vue, ni connue. Approche ethnographique de la culture bourgeoise, Paris, Maison des sciences de l'homme, 1988. RESUME B Le Wita commence son recueil en introduisant le mot « bourgeois » , définissant ainsi brièvement ce groupe culturel et par ailleurs , nous montrant l’évolution du sens et de la place de celui-ci dans la société et dans l’Histoire. Sa définition s’appuie notamment sur des pratiques, des apparences et des modes de vie observés : le bourgeois se lit

« […] ce que l’on comprend aujourd’hui de l’homme n’excède pas ce que l’on peut comprendre de lui en tant que machine7. » Mais ce qui caractérise particulièrement ce naturalisme, c'est le rejet de toutes les formes de « surnaturalisme » (moral ou religieux) qui placent l’esprit au-dessus de la nature et qui font de lui un principe explicatif des phénomènes humains par une causalité spirituelle (comme l’âme ou la volonté qui serait au principe de nos actions). Or, pour Nietzsche, l’esprit

supprimer tous ces fausses opinions. Il croit que rien n’est certain. Par contre, le fait d’avoir pensé que tout était faux, nous devions l’engendrer en nous. Par conséquent, nous pouvons affirmer la vérité suivante: « Je pense, donc je suis.»1 En résumé, nous sommes en mesure de se poser des questions par l’idée de la subjectivité qui est la capacité de réfléchir avec méthode dont le critère de la vérité et par l’idée d’esprit critique qui est la capacité de faire sa propre opinion par exemple une