Résumé Le Mur Jean Paul Sartre

UNIVERSITE PAUL CEZANNE - AIX-MARSEILLE III INSTITUT D’ETUDES POLITIQUES MEMOIRE pour l’obtention du Diplôme RESPONSABILITÉ SOCIALE : UN NOUVEL ENJEU POUR LES MULTINATIONALES ? Par Mlle Sandra NAIGEON DE BOER Mémoire réalisé sous la direction de Madame GIRAN-SAMAT REMERCIEMENTS Je souhaite remercier Madame GIRAN-SAMAT d’avoir accepté la direction de ce mémoire ainsi que de sa disponibilité. Je voudrais également remercier tous ceux qui m’ont soutenu et qui ont contribué directement

d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant

à l’événement global : émergence et manifestations d’une sensibilité mondiale », Hermès, n° 46, janv. 2007, pp. 13-21. 2 Patrick CLASTRES, « Paix par le sport et Guerre froide : le neutralisme pro-occidental du Comité international olympique », in Jean-François SIRINELLI / Georges-Henri SOUTOU (dir.), Culture et Guerre froide, Presses de l’Université Paris-Sorbonne, Paris, 2008, p. 121. 3 Il n’est qu’à comparer avec les Olympiades antiques, qui comportent les même logiques, alors qu’Athènes, Sparte

d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant

d’être l’homme du monde le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. » Citons également Paul et Virginie, les touchants et vertueux héros éponymes du roman de Bernardin de SaintPierre, disciple de J.-J. Rousseau, qui incarnent une humanité bonne et naturelle, dotée d’une saine beauté, qui a échappé à la perversion de la civilisation, vivant

MAGAZINE LITTÉRATURE. « Il faut oublier le vieux militant tapageur, pour aller redécouvrir l’auteur », recomman­ de Jean­François Louette, qui a di­ rigé la réédition des Mots et autres textes biographiques. Trente ans après sa mort, l’œuvre de Jean­ Paul Sartre est à redécouvrir. ■ PLANÈTE. Un p’tit coin de verdure pour les citadins. Plantes dépol­ luantes et potagers d’intérieur : la passion du jardinage d’apparte­ ment gagne de plus en plus d’ur­ bains, soucieux de donner une « touche verte » à leur

réalité qu’intelligible et non empirique ; elle vaut pour un je, un sujet idéal, un sujet intelligible, mais pas pour le sujet réel, vivant et agissant. L’analyse kantienne, même si les plans sont distincts, est largement tributaire de celle de Jean Jacques Rousseau dans le Contrat social ; la liberté politique c’est la loi qu’on s’est prescrit à soi-même, loi qui émane de la volonté générale. Kant disant que le Bien en soi n’est pas dans tel objet particulier de la volonté mais dans la disposition

Regrets n 1. Situation du texte Édités en 1558, les Regrets, mieux encore que les Antiquités, reflètent l’âpre nostalgie qui s’empare du poète pendant son séjour à la cour pontificale romaine auprès de son oncle, le cardinal et ambassadeur Jean Du Bellay. D’une grande complexité de construction, le recueil s’ouvre par une adresse au lecteur en latin, puis par une longue dédicace de vingt-sept quatrains à D’Avanson, conseiller du roi. Viennent ensuite les 192 sonnets en alexandrins où se croisent

personnes. Dans ma besace, je vais leur apporter Othello, le roi Lear, Macbeth de Shakespeare, Le malade imaginaire, George Dandin, Amphitryon, L’avare de Molière, Lorenzaccio, On ne badine pas avec l’amour de Musset, Phèdre de Racine, Huis clos de Sartre, Les combustibles d’Amélie Nothomb, Pantagleize de Michel de Ghelderode. J’ai pris expressément des œuvres d’époques différentes pour qu’ils remarquent que le découpage, l’utilisation des didascalies… sont différents en fonction des époques. Le but

renvoie à la spécificité du langage filmique qui constitue à proprement parler l'objet de la sémiologie du cinéma. Ces modestes éléments reprennent en partie l'ossature d'un travail de Jean Mottet, Portée sémiologique de quelques concepts linguistiques appliqués au cinéma. Les photogrammes qui servent d'illustrations à ces pages sont la propriété de leurs auteurs et des ayants droit. Ces images réduites sont utilisées ici à des fins