Résumé Le Salut 1944 1946

nouvelle C°. Cette C° ne sera jamais adoptée et donc après la guerre, chute du gouvernement de Vichy. C° de la république française du 27 octobre 1946, C° de la 4ème république, c’est le 15ème acte -constitutionnel. Enfin la 16ème C° qui est celle de 1958 : C° de la 5ème république. La C° du Maréchal Pétain n’a jamais été adoptée, ainsi que la C° du 19 avril 1946 qui fut rejetée par le peuple français. Dans tout ça certains ont essayé d’expliquer cette valse des C°. On a essayé de trouver une théorie

sur les sociétés traditionnelles. V. Le concept de millénarisme Le millénarisme est radicalement différent de l’Utopie, il s’agit de tout autre chose. Le concept recouvre deux notions différentes : en premier lieu il y a la croyance dans le salut, en second lieu on trouve l’attente du messie. Cette conception trouve son origine dans les persécutions du peuple juif par Rome. Le messie y est alors considéré comme le sauveur. D’après l’apocalypse selon Saint-Jean, une période de mille ans de

s’autoproclame convention : C’est une assemblée unique, un monocaméralisme (une seule chambre). C’est la première à avoir été élue au suffrage universel (masculin). Cette assemblée désigne en son sein un certain nombre de comités (comités de sécurité, de salut public, …) qui désignent des ministres chargés de l’exécution des lois. Il n’y a pas d’un coté gouvernement et de l’autre assemblée : les ministres sont des députés. Tous les dix jours, les ministres doivent rendre compte à leur comité. Ils le font

sont des ministères et exécutent les décisions (comité de salut public qui organise la Terreur). Le pouvoir est très concentré malgré la séparation des pouvoirs. En août 1792, les ministres sont chassés et remplacés par des comités. On est presque dans un État autocratique (forme de gouvernement). La constitution de l'an I (1793) est une constitution qui n'a jamais été appliqué. Rédigée par la Convention mais jamais votée au profit du Salut public. Mais ce texte établit un équilibre entre les pouvoirs

salariés ? Peut-on accepter qu'ils fassent l'effort ? Historiquement, la France a toujours prôné l'autorité consultative. En 1925, le Conseil National Économique a été créé. Ce dernier, à la demande du Gouvernement, était destiné à donner des avis. En 1946, la Constitution a intégré un Conseil Économique caractérisé comme étant un organe consultatif. En 1969, le général De Gaule avait demandé à ce que le Sénat soit réformé et que la deuxième chambre devienne une chambre composée de professionnels. Cette

décédé précédemment. L’hypothèse ne s’était jamais présenté sauf pour quelques vacances temporaires comme un président malade. C’est avec Roosevelt qu’on a mesuré l’acuité du problème car Roosevelt malade, mais avec un vice-président Harry Truman en 1944 qui n’apparaissait pas en très bonne santé. La présidence était un certain Edouard Sitilus Junior qui avait 83 ans et aucune expérience. Désormais, avec le 25ème amendement, si le vice-président décède, le président lui désigne un successeur avec l’accord

en effet, à l’entreprise coloniale la parenté historique et morale dont elle a besoin pour légitimer son acte d’invasion. Ce passé antique (surtout latin) sanctifie ainsi l’acte colonial en l’inscrivant dans une antériorité historique profonde. En résumé, ce recours à l’histoire antique peut se définir, comme l’affirme Jacques Frémeaux, comme une « représentation de l’impérialisme français par les Français eux-mêmes ». Cette dimension, à la fois mythique et imaginaire, de l’utilisation du passé

accepte. Mais il passe pour un libéral, et de l'autre côté de la Méditerranée, à Alger l'émeute gronde. Le 13 mai 1958, l'émeute gronde et s'empare avec la complicité du service d'ordre, du siège des pouvoirs publics, où s’installe un comité de salut public composé d'émeutiers et de militaires. Dès que la nouvelle est connue à Paris, un vent de panique souffle au Palais Bourbon et les députés investissent dans la hâte Pierre Pflimlin à l'aube du 14 mai. C'est alors que le général de Gaulle

seul détient l’usage légitime de la force (administration, forces armées, justice). Cela est à ce point vrai, que les particuliers doivent recourir à l’Etat pour obtenir le respect des règles qu’ils ont eux-mêmes fixées. Dit autrement, on peut résumer en disant que l’émergence des Etats modernes a correspondu avec l’apparition d’ordres juridiques fortement déterminés. centralisés, territorialement et personnellement 15 Sous section 2 – Caractéristiques subjectives ► Pour que l’on puisse

l’élection divine d’une petite portion des humains à un rôle primordial laisse place au rôle historique de tel ou tel sujet révolutionnaire ; la fin de l’histoire glisse vers une fin de « cette » histoire, vers de radieux lendemains, vers une autre forme de salut ; l’argumentation et le texte, portés par la raison et non plus par la foi, deviennent une fois encore seul référant, déclinés dans une foisonnante exégèse, et ne laissant que peu de place à une compréhension « non textuelle » de l’existant ou à une