S Instruire Au Théâtre

Dissertation Sujet:  Dans quelle mesure les Fables de la Fontaine correspondent-elles à l’idéal artistique de la période classique : « instruire, plaire, émouvoir » ? Introduction Les fabulistes ont souvent pris Esope comme modèle, qui proposaient de nombreuses petites histoires faciles à retenir et qui marquaient les esprits par leur caractère distrayant et éloquent. Pourtant avant la Fontaine, elles étaient considérées comme vulgaires. Ce dernier les popularise parmi les plus hauts placés

Depuis déjà plus de 25 siècles le théâtre est une partie intégrante de notre culture. À travers les âges, les différents dramaturges ont su faire rire, émouvoir, faire réfléchir et même instruire un public avide de divertissement, de catharsis ou de guidance. Parmi l'incommensurable répertoire de pièce de théâtre que l’on peut retrouver aujourd’hui, peut-on affirmer, tout comme Romain Rolland, que : « le théâtre doit être une lumière pour l’intelligence ? » Nous analyserons cette question en établissant

formation autodidacte : A ses débuts elle n'est qu'une ingénue : « Fille encore » L-1, « bien jeune encore » L-15 « Pas quinze ans » L-27. Goût pour les etudes, l'apprentissage, l'observation : champ lexical observation :  « observer et instruire » L-2 « instruire » L-5 « science » L-29 Observation d'elle meme : « m'etudiais » L-10 « me suis travaillée » L-12 « J'observais mes discours » « je reglais » L-20 → ce personnage utilise l'observation des autres pour travailler sur elle meme, son education

d'être embastillé. C'est en prison qu'il spécula pour la première fois à Candide. Faisant partie du Siècle des Lumières, cet écrivain et philosophe adhéra furtivement à la philosophie de Lieibniz. Il composa des contes, des romans, des pièces de théâtre et des essais. Le Déiste, qui nommait son Dieu organisateur en lequel il crut, ''Le Grand Horloger'', décida par la suite d'emmigrer en Prusse puis en Angleterre pour maintenir sa liberté. Cet extrait se situe au milieu du roman. Dans celui-ci

THEATRE: Le classicisme face au baroque CORRECTION du dossier sur Baroque et Classicisme Quelques éléments à retenir : BAROQUE | CLASSICISME | - instabilité politique guerre de religion, règne de Louis XIII et Richelieu. Cardinal Mazarin.- inconstance, paradoxe- émotion, illusion- Mort et violence, merveilleux (fantômes, magie, …), surnaturel, transformations.- Mélange des genres, des registres (tragi-comédie)- Ornementation, métaphore, langue imagée.- Coupure avec les auteurs du passé.- valeurs

des formes, le mouvement, les jeux de miroir, les métamorphoses Mais ceci se dessine sur un arrière-fond pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. • Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, Illusion comique). • Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases

des formes, le mouvement, les jeux de miroir, les métamorphoses. Mais ceci se dessine sur un arrière-fond pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, L’Illusion comique). Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases

l’exubérance des formes, le mouvement, les jeux de miroir, les métamorphoses. Mais ceci se dessine sur un arrière-fond pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, L’Illusion comique). Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases

le sait même pas) n'est pas cohérent. Ainsi la règle de la vraisemblance n'est pas respectée au dénouement mais l'est tout le long de la pièce sinon. *Représentation théâtrales : L’École des femmes est jouée pour la première fois en1662 au théâtre du Palais-Royal. Elle y fut représentée trente et une fois. Elle est par la suite accompagnée de La Critique de l'École des femmes. Molière jouait le personnage d'Arnolphe. Autres mises en scène : Louis Jouvet (1936) : La plus célèbre des

La doctrine littéraire de Molière dans l'Impromptu Pour Molière la comédie a trois buts très précis : PLAIRE, DIVERTIR, INSTRUIRE, buts qu'il rappelle dans L'Impromptu de Versailles Plaire : scène 5 ( p.99), Molière précise : « N’ai-je pas obtenu de ma comédie tout ce que je voulais en obtenir puisqu’elle a eu le bonheur d’agréer aux augustes personnes à qui particulièrement je m’efforce de plaire. » Plaire est la condition sine qua non du succès d’une pièce. Divertir : dans l’avant pièce