Sacralisation

les années 1990 Depuis les années 90, Vichy semble perdre la bataille des mémoires La « commémorativite » (Antoine Prost) s’est emparée des Français et l’expression « devoir de mémoire » est utilisée surtout par et pour les juifs. * La sacralisation de la mémoire du génocide - la commémoration de la rafle du Vel d’hiv devient essentielle Toujours célébrée depuis 1945, elle change de nature dans les années 90. Sur l’emplacement du Vel d’ hiv, devant le Capitole à Washington et à Jérusalem

grâce à sa propriété relationnelle. Enfin, l’objet est un dépôt mémoriel: en effet, la richesse des relations que nous entretenons avec les objets provient notamment de leur capacité à incarner les souvenirs que nous leur avons attachés. 7. Sacralisation et fétichisation des possessions matérielles Il arrive parfois que certains objets matériels deviennent sacrés au vu de son possesseur. En effet, la catégorie du sacré renvoie à des possessions qui sont réputées être dotées d’une extrême importance

d’autrui (mères porteuses) la convention est nulle. Sous section n°2 : la crise de la loi. C’est une expression fréquente. C’est une crise qui a plusieurs aspects. Paragraphe 1 : déclin formel de la loi *A] *La sacralisation des lois avant 1958 La sacralisation des lois. L’ancien droit en parti coutumier, l’ensemble d’habitudes et d’usage continuellement suivie et répété dans un groupe social et un territoire donné. Se transmet oralement, coutume réaliste, plus proche du peuple

chanson de Roland (fin du XIe). Ces épopées étaient psalmodiées en public par des jongleurs qui l’adaptaient selon le contexte. Des caracréristiques : glorification vertus chevaleresques démonstrations d’allégeance recours au merveilleux chrétien (sacralisation Durendal + changement nationalités des Basques en Sarrasins.) Rôle politique, social et religieux. Mais c’est l’épopée antique d’Homère ou de Virgile qui suscite un intérêt durant la renaissance (principe d’imitation des anciens), au détriment

tel que la connu le gouvernement de Crète et de Lacédémone, ou les détenteurs du pouvoir exécutif ne rendaient aucun compte. On peut noter que dans cet extrait, Montesquieu semble se méfier davantage de corps législatif, et porter une certaine sacralisation au pouvoir exécutif dont « la personne doit être sacre […] pour que le corps législatif n’y devienne pas tyrannique ». Ceci peut sembler paradoxal lorsqu’on sait qu’en réalité, Montesquieu faisait de la fonction législative la fonction première

voire des décideurs politiques de premier plan. * La France avait subi une défaite accablante en 1940 suivie de quatre ans d’occupation, avec toutes formes de collaborations et de résistances, de compromissions et d’accommodements. * La sacralisation très forte des cérémonies commémoratives locales, autour des monuments aux morts, ou nationales, autour des soldats inconnus, ont eu partout un indéniable contenu spirituel. * En 1945, amnésies et déformations de mémoire se sont très fortement

l’exécutif et sous la IVème République, le Comité constitutionnel était un organisme politique et, finalement, c’était la Constitution qui se trouvait subordonnée à la loi. Le refus du contrôle de constitutionnalité en France s’expliquait par la sacralisation de la nomos, de la loi. La Constitution de 1958 a donc rompu avec la tradition française attachée à la souveraineté de la loi, elle a donc institué un contrôle des lois par voie d'action. La prise de conscience des facilités abusives laissées au

un tel consentement. »   Pour conclure, il est clair qu’il y a un lien de parenté évident entre la pensée de Hobbes et celle de Hume. Néanmoins les deux auteurs divergent énormément dans leurs conclusions. Pour Hobbes le rôle de l’état et la sacralisation de la propriété pour garantir le vivre ensemble, là où Hume voit la propriété privé comme simple résultat de convenance de l’instauration de l’Etat. En effet selon Hume si l’on était en économie de l’abondance, sans rareté la propriété privé n’existerai

développement, la croissance pour la croissance. Pour les Lumières, la finalité humaine se substitue à la finalité divine, la quête du bonheur évince celle du salut. Mais notre temps est devenu, à bien des égards, celui de l’oubli des fins et de la sacralisation des moyens. Dévoyé, le programme des Lumières réclame une refondation qui préserve l’héritage du passé en le soumettant à examen critique. Les Lumières restent une pensée en action permettant à chaque génération de vivre, selon le mot de Kant,

la couleur du monde où vécut mon père, où j’ai vécu aussi. Et l’on n’y prenait jamais un mot pour un autre. » (p. 46). « J’écris peut-être parce que l’on avait plus rien à se dire » (p. 84) 8. Critique : - Du matérialisme : « Sacralisation obligée des choses. […] Quand je disais, « il y a une fille qui a visité les châteaux de la Loire », aussitôt fâchés, « Tu as bien le temps d’y aller. Sois heureuse avec ce que tu as ». Un manque continuel, sans fond. Mais désirer pour désirer