Sacrement

échecs alors il s’est mit à écrire et jouer des farces et quelques tragicomédie. 2. Molière et la censure Molière a été censuré notamment avec sa pièce Le Tartuffe à un moment où les dévots, groupés autour de la puissante Compagnie du Saint-Sacrement de l'Autel , sont choqués par la vie privée de Louis XIV. Le parti dévot se lance alors dans la bataille, avec à sa tête, Anne d'Autriche, devenue l'ennemie de Molière, et remporte une première victoire en faisant interdire la pièce par le roi. Molière

compagnie du saint sacrement à travers Tartuffe qui est un faux dévot. C'est pourquoi il a eu des difficultés pour pouvoir la représenter, il a du attendre cinq ans ! Le roi est assez peu présent dans cette pièce, mais il représente tout de même le pouvoir. Il est mis en valeur par Molière car à la fin de sa pièce, il résout l'intrigue avec justice. On assiste à un "Deus ex machina". Avec sa pièce, Molière dénonce une autre forme d'abus du pouvoir car la Compagnie du Saint-Sacrement était très puissante

faire carrière: la dénonciation de l'hypocrisie religieuse les dérange, parce qu'elle les concerne directement, parce qu'elle les montre du doigt. Dans ce combat, Molière doit affronter de redoutables forces religieuses. La Compagnie du Saint-Sacrement, société occulte puissante qui s'est donnée comme tâche de défendre la pureté de la religion, se déchaîne contre lui. De plus, les autorités religieuses ne sont pas mécontentes, en s'en prenant à Molière, d'attaquer indirectement son protecteur,

présentée pour la première fois en 1664, en réaction contre la Compagnie du Saint-Sacrement. Celle-ci parvient à faire interdire la pièce pendant des années, malgré le fait que le Roi Louis XIV l'ait appréciée. Il faut attendre 1669 pour que l'autorisation soit donnée de jouer publiquement la pièce. Cela est (entre autres) dû à l'évolution de la situation en France, de la dissolution de la Compagnie du Saint-Sacrement à la signature de la « Paix de l'Eglise » entre Louis XIV et le Pape. Tartuffe

avaient prolongé les trois grandes journées de fête intitulées Les Plaisirs de l'Île enchantée. Elle ne comportait alors que trois actes. On a longtemps cru que Molière l'avait écrite en réaction aux agissements de la très dévote Compagnie du Saint-Sacrement, mais on sait aujourd'hui que cette influence a été considérablement exagérée par les historiens anticléricaux de la fin du XIXe et du début du XXe siècles[1]. En fait, dans la mesure où les dévots qui étaient présents à la Cour critiquaient le libertinage

avaient prolongé les trois grandes journées de fête intitulées Les Plaisirs de l'Île enchantée. Elle ne comportait alors que trois actes. On a longtemps cru que Molière l'avait écrite en réaction aux agissements de la très dévote Compagnie du Saint-Sacrement, mais on sait aujourd'hui que cette influence a été considérablement exagérée par les historiens anticléricaux de la fin du xixe et du début du xxe siècle1. En fait, dans la mesure où les dévots qui étaient présents à la Cour critiquaient le libertinage

royale. Molière écrit une comédie-ballet dans laquelle les intermèdes de danse sont rattachés à l’intrigue. Puis une série d’ouvres importantes sont suivit sa comme écrivant. Tartuffe C’est une ouvre qui parle de la Compagnie du Saint-Sacrement qui a semé le désordre dans les familles sous prétexte d’en reformer les mœurs. Dom Juan et le Misanthrope En 1665, Molière devient chef de la troupe du Roi et joue L’amour médecin, une comédie ballet avec une satire des médecins de la cours

présentée pour la première fois en 1664, en réaction contre la Compagnie du Saint-Sacrement. Celle-ci parvient à faire interdire la pièce pendant des années, malgré le fait que le Roi Louis XIV l'ait appréciée. Il faut attendre 1669 pour que l'autorisation soit donnée de jouer publiquement la pièce. Cela est (entre autres) dû à l'évolution de la situation en France, de la dissolution de la Compagnie du Saint-Sacrement à la signature de la « Paix de l'Eglise » entre Louis XIV et le Pape. Tartuffe

juan à son goût pour la présenter au public. Il traite dans sa pièce la question du libertinage et veut remettre en avant les questions religieuses. Sa scène fut exposée une fois de plus (après celle de Tartuffe) aux membres de la compagnie Saint-Sacrement (organisation secrète qui œuvre avec violence pour une religion intransigeante et contre toutes les formes de libre pensée et de divertissement). Son oeuvre fut directement reniée par cette organisation ce qui remonta directement son avis au roi

fait scandale. C’est le début de la « querelle du Tartuffe ». Dès sa première représentation, la pièce qui compte trois actes et dont le protagoniste à l’allure d’un prêtre est condamné par les dévots et les hommes d’église. La compagnie du Saint-Sacrement dont la mère de Louis XIV est membre fait pression sur le roi. Louis XIV interdit donc la pièce. Molière adresse au roi un placet en août 1664 où il expose ses véritables intentions. Le dramaturge n’hésite pas à faire des lectures privées de la