Sacrilège

l’Empire byzantin restent normales. Un évènement viendra cependant rompre les relations : les croisés en partance pour reprendre Jérusalem font une halte à Constantinople en 1204 et pillent, massacrent, brûlent la ville durant 3 jours. C’est un sacrilège incompris, un choc profond pour les Byzantins qui marque le début d’une rupture au niveau des mentalités : quelques tentatives de réconciliation ont eu lieu mais sans résultat. 2) Les relations entre l’Occident et l’Extrême Orient Au Moyen âge

Texte 1 : Oral français PHÈDRE : Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée Sous les lois de l’hymen je m’étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient

en forçant la sympathie elle pourrait l’aimer. René fit alors un sacrilège sur une figurine de cire représentant Marguerite. Puis, il continua en écrivant des mots sur une petite banderole qu’il passa dans une aiguille et il piqua le cœur de la statuette. Il lui dit que son amour percera et que la femme qu’il aime l’aimera. Soudain, les deux hommes aperçurent les deux femmes qu’ils aiment à l’extérieur de la maison, les sacrilèges ayant sans doute marchés. Ils réussirent à montrer leur amour pour

part, et (…) le ciel est fort jaloux de ces sortes de choses. ». Elvire était donc professe et dans un ordre cloîtré. Dom Juan et Elvire n’ont donc pas seulement commis le péché de luxure. Done Elvire a commis un sacrilège en rompant ses vœux. Dom Juan, lui, a commis un double sacrilège, pour reprendre la définition de Furetière, en faisant « quelque indigne traitement ( …) à une personne dévouée à Dieu(…) » Et en « abusant d’une Religieuse ». Il simule le repentir, et dit craindre « le courroux

que dépeint Andromaque. Elle revit intensément la guerre de Troie (vers 992-1011) : l’évocation de la mort d’Hector (vers 993-994 dans le chant XXIV de l’Iliade, Achille, vainqueur traine le cadavre d’Hector autour de Troie) et le double sacrilège que commet Pyrrhus (vers 995-996 : dans le chant II de l’Eneide, Pyrrhus tue Priam au pied de l’autel où chaque famille célèbre le culte des dieux domestiques). Pyrrhus dans sa tirade est associé au feu, au sang, et au carnage : « dans la

lourdement puni qu'un crime de sang (un duel par exemple) perpétré par un Noble. Si La Fontaine ne s'apitoie guère sur le sort de l'âne, il ironise sur la Cour et les Grands... Lorsque l’âne mange l’herbe des moines il mange l’herbe de Dieu, c’est un sacrilège. « quelque diable » v 52 fait supposer qu’il est possédé, qu’il est le responsable de la peste. 5ème partie, v 63-64 : la moralité. Le récit connaît une ellipse : nous ne saurons pas si ni comment l'âne a été exécuté, ni si la Peste s'est éloignée

qu'il a fait. Dom Juan a « forcé (...) l'obstacle sacré d'un convent pour mettre Done Elvire en sa puissance ». Done Elvire était sous la puissance de Dieu, mais Dom Juan se prend maintenant pour Dieu.═> Il est impie. 4)__Un personnage impie et sacrilège. ___■ Dom juan est un « hérétique » : il ne suit pas les règles de la religion catholique.___■ Il est comparé à un « diable » : il est l'ennemi de Dieu ; il est pire que le diable. ___■ Il est comparé à un « Turc » (: il n'est pas catholique. À

et non aux intérêts du royaume. Il existe donc une dimension politique dans ce monologue. Aux vers 401 et 402, l'évocation de l'effacement des prières dès que l'orage est calmé (la tempête = la foi en Dieu) permet l'affirmation de la dimension sacrilège de Cléopâtre. Il y a en effet rupture du serment en présence de Dieu : le prince peut ne pas respecter ses serments si l'intérêt de l'État est en jeu (cela fait encore écho à la pensée de Machiavel). —> Nous sommes ici en présence d'un machiavélisme

cette double figure d’Apollon. Apollon est certes un dieu de l’ordre divin, qui élimine le monstre Python pour remplacer les puissances primitives incontrôlées par l’ordre stable et définitif de Zeus ; et un dieu de la mesure, qui punit les sacrilèges impitoyablement. Mais c’est aussi un dieu de violence et de passion, amateur de sacrifices sanglants. Toutefois si l’on n’ a gardé aujourd’hui d’apollon que la dimension de beauté et perfection physique c’est en partie grâce au rôle qu’a

simple et voilée, portant la vie [là] où elle manque, dans cette petite tasse fragile, caressant sa chèvre en passant. […] il me semblait que, si j’avais essayé de l’aider, si j’avais étendu la main pour lui épargner un pas, j’aurais commis un sacrilège et touché aux vases sacrés. » P. 149 Observé de l’extérieur, décrite avec une passion enflammée, de façon quasi-mythique; Brigitte rejoint avec toute sa grandeur d’âme, un certain imaginaire religieux. L’évocation d’une perfection morale intouchable