Sadisme

on a envie de faire mal à l’autre. Elles doivent être par ailleurs limitées dans l’espace et le temps : supprimer une sortie ou l’utilisation de l’ordinateur pendant 48 heures par exemple. Mais priver de foot un jeune qui est passionné, c’est du sadisme » . Certes, éduquer un adolescent est un art d’équilibriste. « C’est à la fois une question de savoir-faire, mais aussi de volonté de bien faire, nuance-t-il. Autant que les comportements, c’est l’intention qui compte. Le rigide bienveillant

l'opposition violence/douceur à plusieurs reprises + propension à jouir de la souffrance infligée à autrui + dans sa rêverie : réitère la scène, mais cette fois c'est lui qui est en action et qui inflige la souffrance, et qui l'aime : vers 21 + menace mais sadisme réversible en masochisme :" trop tard, je lui demandais grâce " scène imaginée où de toute façon elle est celle qui se refuse puisqu'il essaie de la convaincre : même dans la rêverie, ne rêve pas à l'accomplissement de l'amour mais simplement au

la société « actuelle », beaucoup plus évoluée  pseudo caution historique, qui renverse la situation « conseiller de la Tournelle » 2) Un récit ironique  Cela fait toujours passer une heure ou deux »  « il se donne le plaisir … » sadisme de ceux qui le torturent. Avec un ton ironique + détails « grande et petite torture » qui contribue à dénoncer la torture sadique  Antithèse entre « plaisir » et « torture »  Présence du chirurgien qui va contribuer à la mort alors que son

torture pour faire parler 3- L5-9 : le sadisme légal Antithèse plaisir/torture = ironie. Dénonciation de la torture et sadisme des juges. Perversion du corps médical. Non respect du code moral. L’ironie : comme si c’était un jeu « après on recommence ». B- §2 LA BANALISATION DE LA CRUAUTE 1- L10-11 : le juge dans sa vie privée Ironie faire ses expérience sur son prochain = torture Opposition entre la cruauté (torture) et la fraternité (son prochain). Sadisme des juges qui s’opposent a grave = apparence

intro : il se réjouit du rapt de Junie, mais il croit que c’est par objectif politique : il conçoit l’enlèvement de Junie comme un acte politique. Narcisse et le spectateur vont découvrir que le dessein de Néron est tout autre --> naissance du sadisme de Néron (c’est un « monstre naissant » comme dit Racine). - L'action se noue avec l'introduction de la thématique amoureuse qui va faire basculer la tragédie. Lecture S'entraîner : rythme de l'alexandrin, diérèse, "e" muet, césure... Lecture

du traitement. Il pointe aussi du doigt le rôle du chirurgien qui n’est pas là pour soigner mais pour dire qu’on peut continuer la torture. Il insiste sur le passe-temps sadique de l’application de la torture. La tonalité ironique insiste sur ce sadisme par la disproportion entre la comédie des Plaideurs parlant d’un divertissement et la réalité des faits. - Dans le §2, c’est cette fois la disproportion entre le ton léger utilisée par la femme et l’expression familière : « mon petit cœur »,

écrivain et philosophe Donatien Alphonse François de Sade, plus connu comme Marquis de Sade. Né en 1740 à Paris et mort en 1814 à Charenton-Saint-Maurice1. Son nom est passé à l’histoire sous forme de substantif et courant philosophique; le sadisme. Le but du sadisme est la recherche de plaisir dans la souffrance volontairement infligée à autrui, il est fréquemment associé avec des activités sexuelles. Connu comme un des écrivains maudits grâce à ses œuvres chargées de violences, dépravation et érotisme

I sadisme au sacrilege la progression du dialogue montre bien le rapport pervers de persecution qui va s'installer entre Dj et le pauvre en présence de Sganarelle qui est le témoin des mauvais actes de son maitre et aussi son complice. tentative de séduction du pauvre elle est progressive , avance de répliques en réplique. Pour DJ la séduction est le fait de détruire l'autre , ses croyaunces, détruire la foi du pauvre et le soumettre a DJ. pour se faire les paroles des mendiants

élève. D’autre part, il nous fait voir le sadisme ainsi que la cruauté de l’homme par le meurtre fait sans aucune raison morale valable. «Ce n’est pas ma faute! Elle ne voulait pas apprendre! Elle était désobéissante. C’était une mauvaise élève! Elle ne voulait pas apprendre.»[2] Voici les raison pour lesquelles il là tué. Selon la morale, il ne s’agit pas d’une bonne raison valable pour enlever la vie à quelqu’un. Encore ici un bon exemple de pur sadisme humain. Bref, on perçoit la férocité et l’atrocité

garde même des "trophées" qui lui permettent de revivre cette satisfaction de possession et cette expérience lui apporte la jouissance qu'il recherche. Ted Bundy est un criminel dit "mixte" à tendance plutôt organisé. Il éprouve du plaisir dans le sadisme et la nécrophilie. Il cherche à établir une relation sociale qu'il veut a tout prix maîtriser. La nécrophilie, par exemple, lui permet de jouir de ses victimes et de montrer sa supériorité même après la mort. Les motivations conscientes de Ted Bundy