Sadisme

Sicile. Acte I : Sganarelle présente Dom Juan à Gusman, serviteur de Done Elvire, que le Héros a épousée et quittée. Dom Juan prône les plaisirs de l'inconstance amoureuse ; il a décidé d'enlever une jeune fiancée. Il traite avec désinvolture et sadisme Done Elvire, qui le menace de la vengeance céleste. Acte II : Un paysan, Pierrot, raconte à sa promise comment il a sauvé des eaux un gentilhomme et son valet. Dom Juan aperçoit Charlotte, et lui fait aussitôt la cour, en présence de Sganarelle. Pierrot

nouveau non respect de Cléanthis pour son ancienne maitresse supériorité de Cléanthis notion d’ordre, hiérarchie destructurée elle cherche à se mettre en valeur, à s’affirmer et l’apposition de moi le renforce ton autoritaire, forme de vengeance, sadisme, cruauté montre la rancœur montre qu’elle a bien décidé de prendre sa revanche qu’elle attende : impératif nombreux impératif pronoms : moi, moi, je impératif : souffrez les forme emphatique : ce qu’elle m’a fait apposition : quand je pourrais

vers »Tu m’as donné de la boue, et j’en ai fait de l’or » Quid de la valeur du singulier « le mal » ? Le mal vise toutes les formes de souffrance et de misère : Le mal social (les êtres déchus peuplent l’univers de Baudelaire) Le mal moral (sadisme et goût du crime hantent les âmes) Le mal physique (souffrance du corps et des nerfs du poète) Le mal métaphysique (celui d’une âme angoissée par l’absence de Dieu et assaillie pourtant par le tourment du pêché et de la damnation) La structure

_____________________________________________________ __________________________________________________________________________________________________________ 11. Je subis sa force, sa brutalité, sa cruauté, son sadisme. (Thème : L’héroïne vit de la violence conjugale.) Nom de la figure : ____________________________________________________ Mots-clés de la figure + sens : ______________________________________________________

faire. Les dieux étaient ils, à ce point, manipulateurs pour que la mère et le fils ne s’aperçoivent de rien ? ~~~~ Les dieux manipulent Œdipe en mettant au point la pire machine infernale pour anéantir ce mortel. Ils exercent alors une forme de sadisme. Ils s’amusent de voir tomber leur victime de haut. En effet, ils prennent plaisir à persécuter le héros. Ils le comparent à un rat écervelé. Comparaison pas le moins du monde élogieuse car un rat est un animal bête et l’adjectif « écervelé »

d’évolution positive typique reconnue par tous, illustrée notamment par la peinture italienne qui utilisait des techniques particulièrement raffinées et complexes. D’autre part, l’homme serait aussi capable du pire, c’est pourquoi l’auteur parle du sadisme, qui est une sorte de plaisir éprouvé face à la souffrance de l’autre, et qui est donc une forme de cruauté. Merleau-Ponty parle ensuite de l’homme comme capable de « miracle », mais ce mot est associé aux notions de hasard et de chance, et c’est

encore une syllepse de sens (double sens), le mal, au singulier, actualisé par un article défini désigne toutes les formes de souffrance, le mal physique autant que métaphysique, le mal social (le poète s’intéresse aux êtres déchus), le mal moral (sadisme et gout du crime). A cela s’ajoute une intention ironique, le mot « fleur » en tête d’un recueil poétique rappelle les anthologies ou les florilèges mais il désigne ici des fleurs vénéneuses avec lesquelles Baudelaire entend bien empoisonner son lecteur

mauvais sentiments humains) que l'Albatros côtoie, il n'aurait pas eu de valeur poétique. Toutes ces qualités qui indiquent sa supériorité (beau, virtuose, mais aussi "compagnon" fidèle) ne peuvent qu'injustement faire l'objet d'humiliation et de sadisme de la part de l'homme : plus dure sera la chute... et plus touchante la poésie de ce sort tragique. Le récit que contient le poème est marqué par la répétition : dès le premier mot, l'adverbe "souvent", suivi de présents d'habitude (et de passé

réassurance * Présentatrice froide, connue, belle + public enthousiaste= représente un certain engagement. L’individu va se sentir ridicule et passer pour minable et continue donc son processus de réassurance. * Premiers rires = petite marque de sadisme * Plus les volts sont importants moins les rires sont fréquents, le candidat a alors recours à la tricherie = processus de déculpabilisation. * N’écoutent plus le candidat= on dénie la victime. * Déresponsabilisation : on dit que les candidats

de Sganarelle, lui qui avait si peur de Don Juan a une espèce de rire qui méprise celui qui est mort, il s'en moque, il a quelquechose d'un petit peu lâche. Conclusion : Ce tableau est ambigu : il nous rappelle la perfidie, l'insolence, le sadisme à l'égard de cette femme mais il garde une dimension mythique et reste un héros. Les victimes sont peut-être trop humaines alors que Don Juan rejoint la catégorie de la statue de pierre. Don Juan rentre dans un éternel temps infini, il reste au dessus