Saint Amant La Solitude

particulière aux gens habitués à vivre dans la retraite, et pour lesquels l’arrivée d’un parent ou d’un ami devient un bonheur. A quelques usages près, toutes les petites villes se ressemblent. Or, après plusieurs soirées passées chez sa cousine madame de Sainte-Sevère, ou chez les personnes qui composaient sa compagnie, ce jeune Parisien, nommé monsieur le baron Gaston de Nueil, eut bientôt connu les gens que cette société exclusive regardaient comme étant toute la ville. Gaston de Nueil vit en eux le personnel

Vandenesse fixe les conditions, circonstances et objets du récit qui suivra, je cite : « Aujourd’hui tu veux mon passé, le voici. ». Ce récit s’intéressera donc à la solitude vécue par Félix durant son enfance et sa jeunesse mais aussi à sa rencontre avec Madame de Mortsauf. Le récit de la jeunesse de Félix caractérisée par la solitude et l’abandon représente une caractéristique essentielle du roman d’apprentissage ou d’initiation. En effet, Félix de Vandenesse dans ce premier chapitre et dans tout

métaphysique et des dogmes religieux -tolérance et liberté -recherche du bonheur -le sentiment amoureux -le moi souffrant -la nature, confidente, infinie, maternelle -le mal de vivre, le Spleen, le mal du siècle, le vague des passions - la solitude du moi, inquiet et révolté, mélancolique et habité par la nostalgie du passé - la nuit et ses mystères ouvrant sur le merveilleux - le pittoresque et le fantastique du Moyen Âge GENRES CONCERNÉS Roman, essai, portrait, littérature didactique

de notre conscience. [...] — Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse... L'effet de flatterie ironique atteint un comble dans la description de Raminagrobis, présenté comme "un dévot ermite", "Un saint homme de chat", un "bon apôtre" (v. 32, 34, 43). L'ironie peut aussi prendre des formes plus subtiles encore, par exemple lorsque le fabuliste fait mine de s'étonner de trouver une ressemblance entre la cruauté de Raminagrobis et celle des rois :

recherches théologiques et alchimiques sont alors inconnues), qui sont les premiers à avoir donné la priorité à la raison et à l'expérience sur la Révélation divine et l'autorité religieuse. Ils critiquent les prétendues vérités relevées comme la vie des saints ou les explications par le surnaturel et en viennent même a critiquer la monarchie du droit divin. Le XVIII° siècle est donc appelé siècle des Lumières car cette période de l'histoire est marquée par le réalisme de la philosophie et par l'éloge des

banquier de ce nom. Elle a honte de la religion de son mari, très attachée à la sienne. Amoureuse de Duroy à s’en rendre folle. Elle est son amante pendant un temps. Compte de Vaudrec  : un ami très proche des Forestier, puis des Du Roy. On présume qu’il est l’amant de Madeleine. Il n’a pour famille qu’un cousin éloigné. Saint-Potin , de son vrai nom Thomas  : reporter à La Vie Française, ami de Duroy.

sujet d’une même femme, eut de graves conséquences pour l’État. Cependant, Nemours est transformé par la passion : maîtresses, amis, projet de mariage royal, il oublie tout, sans avouer ses raisons à personne. A quelque temps de là, le maréchal de Saint-André, autre soupirant de Mme de Clèves, donne un grand bal. Il compte ainsi éblouir la princesse, mais Mme de Clèves apprend que M. de Nemours ne peut se rendre à ce bal et qu’il regrette son éventuelle présence à cette fête. Aussitôt, prétextant

extraits complètement de leur époque : • la philosophie de Bergson, • l'impressionnisme, • la musique de Debussy, • l'affaire Dreyfus. Son style reste très particulier. Ses phrases très longues, si elles rappellent le style du duc de Saint-Simon, l'un des auteurs qu'il cite le plus souvent, nécessitent un souffle particulier pour rejoindre le point final. Ses contemporains témoignent que c'était à peu s'en faut la langue parlée de l'auteur, qui était pourtant asthmatique. Ce style particulier

chevronné, reconnu de ses contemporains. Pour composer la pièce, il s’appuie sur différentes sources chrétiennes (dont la Légende dorée de Jacobus de Voragine, XIIIe siècle) relatant la vie exemplaire de saints et de martyrs. Il n’a pas inventé ses personnages (Saint Cyprien d’Antioche, Sainte Justine d’Antioche), ni le thème du pacte avec le diable, qui est récurrent dans la littérature du Moyen Âge. Il est possible qu’il ait connu L’histoire du docteur Faust de 1587, voire la pièce de Marlowe

en 1841, il embarqua pour les côtes d’Afrique et de l’Orient. En rentrant,de son premier voyage, à Paris il écrivit ses premiers textes. Il tomba sous le charme de Jeanne Duval. Dans le plupart de ses poèmes Baudelaire exprime la mélancolie, la solitude c'est le spleen. Il a voulu se démarquer en tant que poète en associant : beauté et horreur (une charogne), violence et volupté (une martyre), mal et beauté (Les Fleurs du Mal). Auteur torturé il publia une seule œuvre Les Fleurs du Mal, recueil