Saint-Esprit

FICHE DESCRIPTIVE D’ACTION PROFESSIONNELLE TOURISTIQUE N° : 1 (n° en lien avec le tableau récapitulatif) Intitulé : Voyage d’étude à Paris Nom et contact de l’organisme, entreprise partenaire : Lycée Saint Esprit - Rue Emile Souvestre 29400 LANDIVISIAU Date de l’action : du 15/09/2009 au 30/03/2010 Durée : 6 mois Nom des acteurs impliqués dans l’Action Professionnelle touristique : Etudiants Professionnels Directeur du Lycée : Mr Harzel CPE : Mme Bague Objectif initial

sujets, Louis XIV est désigné par Dieu pour guider les autres. - La fleur de lys : Elle est le symbole de la puissance de Dieu. - Le collier d'or et la croix de l'ordre du Saint Esprit : Le collier est composé de fleurs de lys et de langues de feu, rappel de la Pentecôte ( 50 jours après Pâques, descente de l'Esprit saint sur les apôtres). Au centre de la croix se trouve une colombe qui, symboliquement descend du ciel lors de la cérémonie du sacre, le roi devient alors sacré. - Le manteau du

la vie. Il est la base de la fidélité ; l'amour qui cherche toujours le meilleur pour l'autre. Mais cet amour n'est pas naturel chez l'homme, il découle d'une relation intime avec le Seigneur. "L'amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné." Romains 5. 5

h Ou : « que », « en ce que ». a 1 nouvellea n’est pas venueb à vous en parole seulement, mais aussi en puissance, et en Esprit saint, et [en] toute certitude, carc vous savez ce que nous sommes devenus parmi vous, pourd vous. 6 Vous êtes vous devenus des imitateurs de nous et du Seigneur en accueillant la parole, dans une grande tribulation, avec joie d’Esprit saint, 7 si bien que vous êtes devenuse un exemple pour tous les croyants dans laf Macédoine et dans l’Achaïeg. 8 De [chez] vous, en

de poing causant une fracture du nez. Domenico est impressioné par le travail founi de Michel-Ange alors il le recommande à Laurent de Médicis le maitre de Florence qui place Michel-Ange dans un atelier de sculpteur dans les jardins de la place de Saint Marc. En 1490 il devient le petit protégé de Laurent. Il l'éloge dans son palais pour que Michel-Ange est de la concentration en tant que nouveau sculpteur. Il commence par copier un masque de faune, Laurent le récompense de cinq ducats par mois.

troisième chapitre montre l’authenticité de la foi mystique du cœur simple de Félicité. Dans la scène du catéchisme, Félicité mène la fille de Madame Aubain, la petite Virginie, tous les jours au catéchisme. Dans l’église, elle entendait l’histoire sainte, et elle s’imagine« le paradis, le déluge, la tour de Babel, des villes tout en flammes, des peuple qui mouraient, des idoles renversées[3] ». Nous voyons que cette imagination est très importante dans la vie de Félicité, et surtout pour sa foi, parce

maîtresse, la vieille servante le fait empailler. À la mort de Madame Aubain, Félicité reste seule dans la maison qui tombe en ruines, avec son perroquet pour toute compagnie. Une gravure l’amène à identifier progressivement son perroquet empaillé au Saint-Esprit, et Félicité s’éteint doucement, entourée de voisines, tandis que se déroule au dehors la procession de la Fête-Dieu, et que Loulou trône, selon son dernier souhait, sur le reposoir dressé devant la maison.

transsubstantiation et de la trinité5. Accusé formellement d'athéisme et d'hérésie par l'Inquisition, notamment pour ses écrits jugés blasphématoires (notamment sa proclamation que Jésus-Christ n'est pas Dieu mais un simple « mage habile », que le Saint-Esprit est l'âme de ce monde, que Satan sera finalement sauvé (apocatastase6)), et son intérêt pour la magie, il est condamné à être brûlé vif au terme de huit années de procès ponctuées de nombreuses propositions de rétraction qu'il paraissait d'abord

Certains le nomme Yahvé, Seigneur, Saint-Esprit ou Allah, d'autres l'appellent Éternel, Être Suprême ou Créateur. D'autres encore utilise le terme Destin ou Hasard. Personnellement il n'y a pas qu'un seul nom que je donne à Dieu, cela dépend des moments, de la situation ou même plus simplement de l'état d'esprit dans lequel je me trouve. En effet, lors d'une prière par exemple, j'aurais tendance à dire « Seigneur ». Si un événement me paraissant particulièrement incertain a finalement une issue

infinie d’âmes pressées. La ville apparait donc comme un endroit surréaliste et inqualifiable. Cette ville étrangère vue par Bardamu est enfin comparée à un endroit froid et sale. Il la décrit comme « malade », « triste », « crasseuse »…etc. Cet esprit morose est encore plus renforcé quand les immeubles de la ville sont comparés à des « parois d’ombre lisse » comme une « muraille » impénétrable qui renferme ses habitants. Ce sentiment de claustrophobie ressenti par le protagoniste donne au lecteur