Saint-Tite

Commentaire de deux inscriptions triomphales (Tite-Live) Introduction Deux inscriptions dont le texte est rapporté par Tite-Live, historien de Rome, depuis sa fondation (ab Urbe condita). Présentation de l’auteur Présentation du contexte des deux inscriptions : Rome réprime une révolte des Sardes, conquis à l’occasion de la Première guerre punique (Sardaigne, province depuis 238, 231, 227 ? av. J.-C.) , le second texte illustre les opérations militaires contre Antiochos III le Grand, le

| | |militaire | | | | | | |TITE-LIVE, 2,23 (un plébéien|- Etapes du conflit |- commentaire (portrait physique du | | | |ruiné par les guerres |patriciens/plébéiens. |personnage, écho de sa valeur

NINOMIYA 16.02.12 Mayume1ES Traduction de “La mort de Cicéron” de Tite-Live Original : M. Cicero sub aduentum triumuirorum urbe cesserat pro certo habens, id quod erat, non magis se Antonio eripi quam Caesiri Cassium et Bruttum posse Mot par mot: M. Cicero sub aduentum triororum urbe cesserat pro certo habens id quod erat non magis [quam] Antonio [se] eripi Caesori Cassium et Bruttum posse | Cicéron près de l'arrivée des triuvirs était sorti de la ville ayant pour certain parce

s'essouffle un peu et se réduit souvent à une chronologie. Dans l’historiographie romaine il convient de distinguer 2 démarches distinctes : -l’annalystique, respecte la chronologie des événements en se basant sur les annales Maximi.(Ex : tite-live, tacite…) -la monographie, est le récit d’un événement particulier de l’histoire, souvent contemporain à l’auteur. Elle ne cherche pas a relater un fait révolu.(Ex : salluste) III. Les principaux historiens romains           

Léa Grieu Texte 3 : élaboration de la loi des XII tables. Tite-Live, Histoire romain « Quant aux récits relatifs à la fondation de Rome ou antérieurs à sa fondation, je ne cherche ni à les donner pour vrais ni à les démentir : leur agrément doit plus à l’imagination des poètes qu’au sérieux de l’information ». C'est avec ces mots que Tite Live commence son œuvre monumentale comportant 142 de livres dont seulement 35 nous sont parvenus. Tite Live retrace l’histoire de Rome de sa fondation jusqu’en

Andromaque, un triomphe qui n'est pas sans rappeler celui du Cid, trente ans plus tôt. En 1670, les deux auteurs se trouvent en concurrence lorsqu'ils créent simultanément une pièce sur le même thème. Racine triomphe avec son Andromaque, tandis que le Tite et Bérénice de Corneille ne rencontre qu'un succès mitigé. Face à ces drames complexes s’oppose la simplicité racinienne qui séduit le public. Corneille n'écrira plus dès 1674. Le théâtre de Corneille présente des héros d'une rare grandeur, confrontés

des personnages, leurs émotions face une situation « critique », leurs réactions et leur personnalité. L’auteur, Racine, a choisi le thème de la séparation de Titus et de Bérénice pour concurrencer Corneille, qui préparait au même moment sa pièce « Tite et Bérénice »

intrigues misent davantage sur le sentiment et apparaissent moins héroïques et plus humaines. La comparaison avec Racine tournera au désavantage de Corneille lorsque les deux auteurs produiront presque simultanément, sur le même sujet, Bérénice (Racine) et Tite et Bérénice (Corneille). En 1662, Pierre Corneille s’installe à Paris[4] avec son frère et sa femme chez son protecteur le duc de Guise, près de Molière qui, sous l'afflux des commandes, a besoin d'auteurs : ils écrivent notamment ensemble Le Dépit

l'Imitation de Jésus-Christ (1656). Il ne revint au théâtre qu'en 1659 avec Œdipe. En 1660, il publia trois Discours sur l'art dramatique, tandis que commençait la parution de son Œuvre en recueils. En 1670, Racine triompha avec sa Bérénice, face au Tite et Bérénice de Corneille, qui ne rencontra qu'un succès mitigé. Dès lors, le temps de Corneille était terminé, et ses deux dernières créations, Pulchérie (1672) et Suréna (1674), furent des échecs qui le poussèrent à cesser son activité de dramaturge

République. En effet, cette révolution réside dans l’organisation d’une cité avec ses cadres administratifs, ses institutions politiques et sociales. L’essentiel de cette œuvre révolutionnaire est attribué aux réformes serviennes, de Servius Tulius, dont Tite-Live en fait le tableau dans son ouvrage Histoire Romaine (Ab Urb). C’est donc à lui qu’est attribué l’organisation de Rome en cité, histoire majeur de l’histoire du VIe siècle. Toutefois, nous nous intéresserons ici plus particulièrement à son fils