Salpêtrière

création de ‘’maison de correction’’, hébergeant les vagabonds En France, dés 1656 : accueil des aliénés dans l’hôpital général A Paris : Hôpital de Bicêtre créer pour accueillir ‘’les fous’’ Hôpital de la Salpetrière créer pour accueillir ‘’les folles’’ • La tendance aliéniste : PINEL (1745-1826), ESQUIROL (1772-1840) : PINEL voulait approcher le phénomène de la folie d’un point de vue laïque, qui s’intéresse aux causes morales

Angleterre où il s’était réfugié en 1938. Il était médecin à Viennes et travaillait en laboratoire sur le système nerveux. Il se destinait à être chercheur en physiologie. A la fin du XIXème siècle, il est venu à Paris voir le Professeur CHARCOT à la Salpetrière qui travaillait sur les maladies nerveuses, plus précisément sur l’hystérie et pratiquait l’hypnose. FREUD remarque que sous hypnose, les patients racontent des choses et dont elles n’ont pas souvenir à leur réveil. Il se demande donc quelle est

personnalités importantes pour le développement de la psychanalyse, dont il est le principal théoricien. Son amitié avec Wilhelm Fliess, sa collaboration avec Josef Breuer, l'influence de Jean-Martin Charcot et des théories sur l'hypnose de l'École de la Salpêtrière vont le conduire à repenser les processus et instances psychiques, et en premier lieu les concepts d'inconscient, de rêve et de névrose puis à proposer une technique de thérapie, la cure psychanalytique. Freud regroupe une génération de psychothérapeutes

la Pitié Salpêtrière, Paris) Professeur de Nutrition à l’Université Paris VI, Faculté de Médecine Pierre et Marie Curie, Médecin des Hôpitaux, le Professeur Arnaud Basdevant a consacré l’essentiel de son activité à la médecine de l’obésité, aux programmes de santé publique destinés à la prévention et à l’organisation du système de soins dans ce domaine. Il est actuellement responsable du Pôle d’Endocrinologie-diabétologie-métabolisme-nutritionprévention vasculaire de la Pitié-Salpêtrière à Paris

scènes traumatiques. De se rappeler ces scènes a pour résultat de lever temporairement le symptôme. Une des patientes de Breuer dénomme cette méthode talking cure. En 1885 Freud se rend à Paris en stage chez J-M. Charcot, médecin chef à la Salpêtrière. Il est alors très impressionné par l’utilisation par Charcot de l’hypnose pour provoquer des symptômes hystériques ou les supprimer. De retour à Vienne, Freud s’inspire de ce qu’il a vu à Paris et des travaux de Breuer avec lequel il collabore

mettre au point des tests de diagnostic sérologique chez des patients infectés.Ce sont ces tests qui seront commercialisés en 1985. La collaboration s'étend bientôt à des immunologistes hospitaliers (Jean-Claude Gluckman et David Klatzman, Pitié-Salpétrière) et des cliniciens, comme le Dr Vilmer (hôpital Necker), ce qui permet, au cours de l'année 1983, de démontrer que les lymphocytes T CD4 sont la cible majeure du virus, et qu'ils en meurent. L'équipe prend également contact avec des biologistes

Necker-Enfants-Malades, Paris) a été longuement analysée et commentée par les 700 participants à cette rencontre organisé du 13 au 16 octobre à Antibes. Au terme de leur réunion présidée par le professeur David Klatzmann (groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, Paris), la Société européenne de thérapie génique a décidé de prendre publiquement position contre la décision, prise par plusieurs pays après la révélation de cette complication, de suspendre les essais cliniques de thérapie génique. Pour leur

sur les gens, orienté par l’intervention de réseaux sociaux. Le désir de Le Bon est de concevoir une nouvelle science. Il fait connaissance de l’hypnose dont l’un des initiateurs est Charcot, fondateur de l’école de neurologie de l’hôpital de la Salpêtrière. Le Bon entreprend de montrer que la manière d’agir de la foule répond à un processus analogue. Il en tire la conséquence que «  L’individu plongé depuis quelque temps au sein d’une foule agissante, tombe bientôt (…) dans un état spécifique, se

affaires scientifiques, Inpes (Saint-Denis) ; Marie SARAZIN, neurologue et gériatre, hôpital de jour neuropsychogériatrique, hôpital Bretonneau et centre de neuropsychologie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière (APHP, Paris) ; Marc VERNY, gériatre, centre de gériatrie, hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris). Vincent FOURNIER, chargé d’édition, direction des éditions et des stratégies de diffusion, Inpes (Saint-Denis) ; Jean-Charles VERHEYE, chargé de mission, direction de la communication

DOSSIER MAC DONALD’S FAST-FOOD ET TROUBLES DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE Miron CUSA Ce dossier a été publié en mars 2000 dans le « Trait d’Union », journal des étudiants en Psychomotricité de la Pitié-Salpêtrière, Paris. Je lui ai rajouté la partie consacrée aux animaux. ____________________________________________________________ ____________ MOTS-CLES : Rythme de vie, harmonie, équivalent masturbatoire, rapidité, grignotage, uniformité, imitation