Sanctus

Il s’éteint le 23 décembre 1164 après vingt-quatre ans de gouvernement prudent et fidèle. Déjà dix ans avant sa mort, l’empereur Frédéric parlait de lui en disant «vir venerabilis Hartmannus». Cinq ans après sa mort, on le dit «beatus» et en 1241, «sanctus». Pensée spirituelle : «Un démolisseur en une journée fait plus d’ouvrage que cent maçons en un mois.» (Antoine Chevrier) Courte prière : «Rendez-moi courageux, mon Seigneur, fortifiez-moi contre l’accablement, rendez-moi indifférent aux résultats

irae (choeur) — Tuba mirum (soprano / alto / ténor / basse) — Rex tremendae (choeur) — Recordare (soprano /alto / ténor / basse) — Confutatis (choeur) — Lacrimosa (choeur) — Domine Jesu (choeur / soprano / alto / ténor / basse) — Hostias (choeur) — Sanctus (choeur) — Benedictus (choeur / soprano / alto / ténor / basse) — Agnus Dei / Lux aeterna (choeur/soprano) | 12/159 L'Oiseau Lyre 452 604 | Mozart Musique de ballet d'«Idomeneo» KV 367 Marche en ré majeur KV 335 n° 1 Sérénade en ré majeur

moment où il plonge dans les recherches alchimiques. En outre, Newton fera certainement partie d'un réseau secret d'alchimistes probablement constitué à partir du cercle Hartlib de Londres64. Il se choisit également le pseudonyme alchimique Ieoua Sanctus Unus qui signifie en français : « Jéhovah Unique Saint », mais qui est aussi une anagramme d’Isaac Neuutonus65. Durant plus de 25 ans, Newton conservera le secret sur ses activités et surtout sur ses contacts, desquels il reçoit de très nombreux ouvrages

GÉRONTE En aucune façon. SGANARELLE, se levant avec étonnement. Vous n’entendez point le latin ? GÉRONTE Non. SGANARELLE, avec enthousiasme. Cabricias arci thuram, catalamus, singulariter, nominativo, hæc Musa, « la Muse bonus, bona, bonum. Deus sanctus estne oratio latinas ? Etiam, « oui ». Quare, « pourquoi » ? Quia substantivo et adjectivum concordat in generi, numerum, et casus. GÉRONTE Ah ! que n’ai-je étudié !36 JACQUELINE L’habile homme que velà ! LUCAS Oui, ça est si biau que je n’y entends

rituellement transférés aux humains. Religiosus Ce terme désigne les lieux ou les objets marqués par la mort : les lieux foudroyés (intervention divine) ou les tombes. Au sens élargi, religiosus pouvait être appliqué à des temples ou des individus pieux. Sanctus « Saint » est ce dont la violation est sanctionnée d’une peine. Sous cette catégorie tombent les enceintes urbaines, certaines lois, les traités, les tribuns de la plèbe, les ambassadeurs du peuple romains. Les objets ou personnes « saintes » ne

irae (choeur) — Tuba mirum (soprano / alto / ténor / basse) — Rex tremendae (choeur) — Recordare (soprano /alto / ténor / basse) — Confutatis (choeur) — Lacrimosa (choeur) — Domine Jesu (choeur / soprano / alto / ténor / basse) — Hostias (choeur) — Sanctus (choeur) — Benedictus (choeur / soprano / alto / ténor / basse) — Agnus Dei / Lux aeterna (choeur/soprano) 12/159 L'Oiseau Lyre 452 604 Mozart Musique de ballet d'«Idomeneo» KV 367 Marche en ré majeur KV 335 n° 1 Sérénade en ré majeur

Vous n’entendez point le latin ! GÉRONTE : SGANARELLE , GÉRONTE : Non. SGANARELLE , en faisant diverses plaisantes postures. : Cabricias arci thuram, catalamus, singulariter, nominativo hæc Musa, « la Muse », bonus, bona, bonum, Deus sanctus, estne oratio latinas ? Etiam, « oui », Quare, « pourquoi ? »Quia substantivo et adjectivum concordat in generi, numerum, et casus. Ah ! que n’ai-je étudié ! L’habile homme que velà ! GÉRONTE : JACQUELINE : LUCAS : Oui, ça est si biau, que

celle d’un livre. Le texte entier était effectivement limpide. Jeova Sanctus Unus. Elle en saisit aussitôt le sens. Cette phrase était récurrente dans toutes les traductions modernes des Écritures. Dans la Torah, le Dieu des Hébreux portait plusieurs noms – Jeova, Jehovah, Jeshua, Yahweh, la Source, Elohim – mais, dans de nombreuses traductions latines, cette nomenclature confuse avait été contractée en une seule locution : Jeova Sanctus Unus. — Un seul vrai Dieu, murmura-t-elle. Comment cette phrase

passeraient insignifiantes ou vulgaires » Il convient à la perspective scénique. Hugo garde les éléments de la versification classique : il est très attentif au mètre pour respecter le décompte des syllabes (encor, la diérèse v1403 prédicti-ion; 1780 sanctu-aire). Il reste fidèle à la rime, il utilise souvent les rimes riches (funèbres-ténèbres), il respecte la forme canonique de l’alexandrin comme édictée par Boileau qui écrit « Que toujours dans vos vers le sens coupant les mots,Suspende l’hémistiche

  GÉRONTE:  Non.   SGANARELLE:  en  faisant  diverses  plaisantes  postures.  Cabricias  arci  thuram,  catalamus,  singularitar,  nominativo   haec  Musa,  «la  Muse»,  bonus,  bona,  bonum,  Deuz  sanctus,  estne  oratio  latinas?  Etiam,  «oui»,  Quare,   «pourquoi»?  Quia  substantivo  et  adjectivum  concordat  in  generi,  numerum,  et  casus.   GÉRONTE:  Ah!  que  n'ai-­‐je  étudié?   JACQUELINE: