Sandoz

sont tout aussi dangereux et mortels que ceux qui surviennent entre bandes mafieuses. Deux êtres, amis en apparence se haïssent profondément, l’Un nommé AURISPA est Président des Industries Réunies. Très connu, tout le monde l’honore. L’Autre, Maître SANDOZ avocat de renom va mourir, assassiné, après avoir échangé, lors d’un repas commun avec le premier, un billet qui met en exergue une possible Association subversive terroriste : « Les Amis de 89 » référence faite à la Révolution Française pour railler

influence. La CJCE a souvent rappelé qu’ « il suffit que la stipulation mise en cause soit l’expression de la volonté des parties. Il n’est pas nécessaire qu’elle constitue un contrat obligatoire et valide selon le droit national » (CJCE, 11 janvier 1990, Sandoz c/ Commission, aff. C-277-87, R, 1-45). Par ailleurs, la forme de l’accord est indifférente. Une convention parfaite au regard du droit des contrats relève bien entendu de la définition de l’accord. Mais la notion d’accord déborde largement la notion

est trop respectable en apparence pour marquer les esprits. Gagnière : - il peint mais sa véritable passion est la musique. - Il en parle souvent et fait des comparaisons avec la peinture (« Delacroix est le Berlioz de la peinture ») Les Lettres Sandoz : - journaliste tourmenté - type de l'écrivain qui réussit tout en restant fidèle à ses convictions profondes. - Il est un peu l'égal de Claude car tous deux veulent faire une révolution dans leurs domaines respectifs. Il veut : «étudier l’homme

préfèrent les renvoyer. Journaliste:Donc vous avez commencé très tôt a vendre des livres. Et tandis que nous parlons de livres, j'ai lu le livre que vous avez publié cette année, «L'Oeuvre» et il y a une très grande ressemblance entre la vie de Sandoz et la votre, avez vous choisi de faire une autobiographie? vous vous êtes inspiré de votre vie? Zola:Oui sans doute je me suis appuyé sur mes expérience, tout comme j'ai fait pour Claude qui n'est en réalité qu'un reflet de Paul Cézanne. Journaliste:À

hippie ont commencé à vraiment se diffuser. Les psychotropes Le LSD (ou « acide ») fut découvert en 1943 par Albert Hofmann dans le laboratoire suisse Sandoz mais sera déclaré illégal aux États-Unis le 6 octobre 1966, ainsi que par l'ONU comme stupéfiant dans une convention de 1971. Jusqu'à cette interdiction sur le sol américain, la firme Sandoz met le LSD à disposition des chercheurs sous la forme d'une préparation appelée delysid. Le LSD apparaît d'abord comme prometteur dans le traitement de

noir, cuisiné au bitume, avait fait place à un Salon ensoleillé, d’une gaieté de printemps » Mais au même moment les continuelles chamailleries, et rivalités disloquent le groupe des impressionnistes : dans l’Oeuvre , le dernier dîner organisé par Sandoz ( ami de Claude) consacre la « cassure » de la petite bande d’amis autrefois si unis. Le roman s’arrête là. La reconnaissance de la peinture dite moderne exigera encore de nombreuses années : certes en 1882, la légion d’honneur est décernée à Manet

base de nombreuses erreurs dans la communication. C’est souvent prendre le risque d’offrir un discours instable et qui va forcément changer avec l’arriver de nouvelle information. L’une des crises où on a pu voir cette erreur est celle de l’usine Sandoz de Bâle, où on a vu différent discours se succéder. Dans un premier temps le déni, la dissimulation, la discrétion et enfin l’amalgame. Cette pluralité de discours permet uniquement une discréditation de l’organisation. ➢ La communication

peut plus prétendre au statut de héros. Ex : les personnages secondaires de L'Oeuvre offrent une touche de réalisme de part leur défaut physique, tel Mahoudeau (p.88) ou leur caractère médiocre, qui éclate au grand jour leur du dernier dîner de Sandoz. 2. La voix du peuple. Le personnage principal des romans réalistes est souvent issus des « basses classes ». De fait, cette part du peuple n'était pas jugée digne par certains auteurs d'être représentée dans la mesure où elle n'inspirait pas le

L’Oeuvre de Zola, par ses descriptions irréalistes de Paris, créent un contraste entre la vérité brute et dure de l’hérédité sociale et l’onirisme apporté par ses descriptions poussées. De plus, la présence intérieure de Zola à travers le personnage de Sandoz trouble l’objectivité de l’étude. Ces romans, par leur tentative de reproduction exacte et de photographie sociétaire, rendent, de façon paradoxale, un aspect bien plus irréaliste que recherché. Une autre forme de roman, dit romantique, dénonce

manque d’éducation…) Il faut qu’ils jouent un rôle, qu’ils endossent un costume. D) D’un texte à l’autre 2 : Emile Zola, « L’œuvre », 1886 (p159) Objectif : étudier l’explicit d’un roman naturaliste (réalisme extrême) On est dans les pensées de Sandoz. Celles-ci sont tristes. Il a aussi des attitudes tristes. On ajoute de l’émotion à quelque chose qui était déjà très triste et réaliste à la base. C’est là où se trouve le naturalisme => Pousse à l’extrême. Cela ne fait qu’ajouter du morbide. Les