Sans aucun doute

d'accentuer le rôle précieux qu'il détient au sein de l'épopée. L'aède octroie à Ulysse plusieurs surnoms, qui mettent le plus souvent en valeur ses qualités peu communes. Tout d'abord, Ulysse, désigné comme « Ulysse l'endurant », possède sans aucun doute de la force et de la bravoure. Ces caractéristiques se manifestent lorsqu'il affronte, comme au chant V par exemple, la tempête épouvantable que Poséidon déchaîne contre lui. Il possède une résistance physique redoutable et une obstination revêche

terme scepticisme désigne le doute de l’efficacité de quelque chose tandis que le conservatisme est le fait que l’on reste dans les normes et qu’on ne veut rien changer. À ce sujet, Montaigne est un sceptique faisant preuve de tolérance. Il est ouvert au fait que oui, les autres religions existantes peuvent être tout aussi bonnes que le catholicisme. Pour ce faire, il s’intéresse à la religion comme il s’intéresse à plein d’autres choses, dans le sens où il ne porte aucun jugement avant même de savoir

- chimiques et de tout ce qui existe . Dieu est la condition indispensable pour établir la science et connaître le monde .« Cogito ergo sum >>> « Je pense donc je suis » est la première certitude cartésienne , atteinte dans la solitude du doute . L'homme prend conscience d'être une conscience qui pense . Ce retour sur soi cette réflexion - caractérise l'homme . Le cogito est immatériel alors que le corps est matériel

pourrait l’appeler « un premier principe ». Afin d’atteindre ce fondement irréfutable, Descartes se dote d’un outil conceptuel, le « doute méthodique ». Il va utiliser ce doute pour vérifier la solidité des connaissances ou des sources de connaissance dont il dispose. En premier lieu ; il s’attaque aux sens. Nos sens nous trompent quelquefois, en vertu du doute méthodique, il faut faire comme s’ils nous trompaient toujours (l’exemple du bâton dans l’eau). Ayant rejeté les sens comme trompeurs

Un des préceptes essentiels de la logique cartésienne est de « conduire » ses pensées « par ordre ». Et chacun connaît l’ordre cartésien, qui se retrouve, semblable à soi dans le Discours, dans les Méditations, dans les Principes : je doute, je sais que je doute et par conséquent que je pense et suis, je sais que Dieu est, et qu’il ne peut être trompeur, je puis donc fonder une science du monde sur les idées claires, et tirer enfin de cette science les applications techniques qui me rendront

suspense : on n’a aucune information concernant l’intrigue à venir… Que va-t-il se passer ? Les indices Le récit est à la première personne. Le narrateur parle en « je » Extrait : « 16 mai – Je suis malade, décidément ! Je me portais si bien le mois dernier ! J’ai de la fièvre, une fièvre atroce, ou plutôt un énervement fiévreux, qui rend mon âme aussi souffrante que mon corps. J’ai sans cesse cette sensation affreuse de danger menaçant, cette approche, ce pressentiment qui est sans doute l’atteinte d’un

personnelle, et non sans danger : car il faut savoir rejeter ce qui nous a été enseigné, en étant capable de conserver que l’on juge vrai. Or les vaniteux et les impatients jetteront tout d’un bloc, sans plus aucun repère pour continuer à vivre. Mieux vaut se tromper de principes que de n’en suivre aucun. Souhaitant découvrir le fondement ou point de départ d'une philosophie et d'une science certaines, soit une première certitude, à partir de laquelle sa raison pourra s'exercer avec méthode, Descartes

d’un impératif de prudence ou d’un devoir, d’une exigence que le sujet se fixerait à lui-même ? Dans le même sens, il était tout aussi important d’analyser la notion de doute et la manière de douter que le sujet contraignait d’envisager : le doute dont il est question dans le sujet est un doute volontaire, provoqué, et non un doute subi. Il s’agit donc d’une décision du sujet qui réfléchit, hésite, soupèse les arguments, hésite à trancher, cherche la vérité, ce que renforçait le « faut-il ». I/

distraction Il s'agit de deux prosternations que le prieur doit accomplir pour corriger les défauts commis lors de la prière pour cause de distraction. Les causes de ces prosternations sont au nombre de trois : a) L'ajout. b) La diminution. c) Le doute. Chapitre 1 : L'ajout - Si le prieur ajoute volontairement une inclinaison, une prosternation, une position assise ou le fait de se mettre debout, sa prière devient alors invalide. - Si l'ajout est involontaire et que le prieur ne s'en rend compte

pense, je doute donc je suis". Il met donc en évidence que pour accéder à l'essence, donc à la conscience, il faut passer par le détour du doute. C'est en ce sens que dans cet exposé de thèses démonstratif extrait de Manuscrits Alain met en relief que le doute permet l'accès à la conscience qui est donc conscience réfléchie et morale, puisque issue d'un raisonnement rigoureux et d'une remise en question du moi séparant le sujet pensant de l'objet de sa pensée. Cependant, ce même doute peut parfois