Sans aucun doute

 Marco Polo : un marchand devenu mythe Il est sans doute l’un des personnages les plus célèbres de l’histoire mais il est sans doute aussi l’un de ceux que le mystère et la légende entourent d’un voile que la réalité peine parfois à déchirer. Qui est Marco Polo ? Quelle est sa vie ? Le récit de son périple en Orient, Le livre des merveilles, correspond-il à la réalité des régions visitées au treizième siècle ? Autant de questions qui, aujourd’hui encore, restent ouvertes. Depuis le douzième

restera pendant la majorité de la pièce avec comme seule preuve de vie le bruit régulier de sa respiration produisant un bruit fort et régulier. Le fait que le mari soit dans cet état ne veut certainement pas signifier qu’il est malade mais montre sans doute l’état du dialogue entre les époux : nul, si ce n’est le fait qu’il soit contraignant, la femme doit lui promulguer des soins régulièrement, même dans la maladie il régente ses journées et instaure une routine encore et encore répétée. Alors commencent

Introduction : "Doutons même du doute " conseillait Anatole France pour réussir à combler notre besoin de certitude Ainsi nous pourrons nous demander s'il est possible de douter de tout . Pour cela, il faudra d'abord définir le sens de la question puis nous réfléchirons sur le fait qu'il existe des raisons de le penser et nous montrerons enfin ce que cela apporte à l'homme, voire à la société en général. . Elle consiste à remettre en cause toutes nos certitudes (ou, du moins, ce qu'on considère

importants dans la question de vérité. Un discours perd donc toute crédibilité lorsqu’il repose sur le mensonge. Ainsi les êtres humains ne peuvent pas passer toute leur vie dans le mensonge, dans l’erreur, dans l’illusion, dans l’ignorance, dans le doute, dans le préjugé et dans l’opinion. Ils peuvent passer une partie de leur vie ainsi, par exemple le propre de l’enfance est de rester pour un certain temps dans l’ignorance mais le propre d’un enfant c’est aussi le fait de devenir adulte et donc de

Un doute qui change le monde : « Se croire le nombril du monde », voilà l’état d’esprit de l’homme vivant en Occident, avant la période de la révolution copernicienne. En effet, aussitôt qu’au début de la philosophie grecque antique, on croyait que la Terre était au centre de l’univers et que l’humain, l’être élu des divinités, était le centre du « cosmos ». Pouvons-nous réellement les blâmer? Considérons pendant un moment que la science moderne, et les découvertes qui en sont découlées, n’existaient

mots, est atteint depuis des lustres par des chimpanzés et autres grands singes (voire certains oiseaux), mais on ne le savait pas encore. Sur la même page : "(...) Il [un tropi] n'a montré aucune curiosité pour les dessins que Pop multipliait devant lui, et d'une manière générale, pour aucune image, aucune photographie. Il est patent qu'il ne les "voit" pas. Les singes étaient supposés incapables de voir ce qu'il y a dans une représentation à deux dimensions, ce qu'on appelle une image. On sait

certitude égale à la certitude mathématique.  Il s’agit à ce stade du Discours de trouver une vérité indubitable, absolue mais les considérations préalables le poussent à abandonner les sciences comme moyen de s’élever à cette vérité car il n’y trouve aucun fondement certain.  Le "livre du monde" : Il se tourne vers le «　livre du monde　» mais s’en détourne assez vite car une connaissance encyclopédique des siècles passés éloigne trop du siècle présent. Il choisit l’introspection comme moyen de

LES PLUS VISITES Dificile d’etablir une liste concrete. La seule chose que l’on pourrait signaler est que la majorite des pays profites de conditions climatiques assez agreables. Une autre caracteristique des pays les plus frequentes est son aucun doute la presence de la mer surtout en ete ou de montagne en hiver. Bref des conditions naturelles doivent etre particulieres. Dans la liste des pays les plus frequentes on pourrait citer tous les pays qui ont une bordure avec la mer. Toutes les iles

bien qu'il nous suffise, à nous autres qui sommes fidèles, de croire par la foi qu'il y a un Dieu, et que l'âme humaine ne meurt point avec le corps, certainement il ne semble pas possible de pouvoir jamais persuader aux infidèles aucune religion, ni quasi même aucune vertu morale, si premièrement on ne leur prouve ces deux choses par raison naturelle. Et d'autant qu'on propose souvent en cette vie de plus grandes récompenses pour les vices que pour les vertus, peu de personnes préféreraient le juste

moi-même en me prenant comme objet d'étude ? b). La conscience de soi : fondement de toute notre connaissance Texte de Descartes, Discours de la méthode : « Ainsi, à cause que nos sens nous trompent quelquefois, je voulus supposer qu’il n’y avait aucune chose qui fût telle qu’ils nous la font imaginer. Et, parce qu’il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismes , jugeant que j’étais sujet à faillir autant qu’aucun