Sans Autrui Y Aurai T Il Des Desirs

par choix, par désir. La psychanalyse étudie avec attention toutes les stratégies du psychisme lui évitant de souffrir. Le refoulement en est la forme la plus élémentaire et la plus efficace. Il s’agit de rejeter hors la conscience les idées, les désirs et les représentations qui risqueraient d’affecter l’esprit s’il en avait conscience. Mais le refoulement est un processus inconscient, non délibérée et non volontaire. Par conséquent il serait faux de penser que l’on désire l’inconscience par le

étant un état de plénitude durable et entier, on dit qu’il est illusoire, et c’est davantage la satisfaction de tous nos désirs qui peut nous donner ce sentiment profond. Pour cela, il faudrait que le monde s’adapte à nos attentes, ce qui n’est pas le cas. Pour être heureux, l’homme n’a, semble-t-il, pas de meilleure alternative que d’accepter sa condition en adaptant ses désirs et besoins à la réalité de son existence. Mais par nature, n’est-il pas enclin à toujours essayer de transformer l’ordre

demeure-t-il pour lui « le plus lointain » ? En quoi l’homme, dont la conscience ne prétendre à la transparence totale, est-il limité à une connaissance partielle de lui-même ? L’homme peut-il prétendre à la connaissance de son être, et en quoi autrui est une condition nécessaire de cette connaissance ? ? idées directrices I, II, III arguments  exemples ex I- L’homme a conscience de lui-même et de ce qu’il est  Préciser le sujet: conscience immédiate/conscience réfléchie; conscience

fortement contestable : sans doute, travailler est une nécessité sociale et même une nécessité vitale ; sans doute aussi, je ne décide pas des techniques à mettre en œuvre quand je travaille ; mais est-ce que je décide davantage de mes besoins et de mes désirs en général ? Est-il en mon pouvoir de désirer ceci plutôt que cela ? À dire vrai, il s'agit là d'impulsions qui toujours s'imposent et tendent tyranniquement à faire la loi en nous. Mais alors, leur laisser libre cours, loin d'être la marque d'une

Autrui Autrui : Les autres, tout ceux qui ne sont pas moi, mais sont des sujets pensants. Autrui est celui qui me ressemble et qui se distingue de moi. Il a la même dignité que moi et possède la même singularité. Autrui c'est l'altérité, le rapport aux autres, l'intersubjectivité. Les animaux, les objets et végétaux n'appartiennent pas à l'altérité. L'altérité n'est pas rare, au contraire c'est le vécu de l'être Humain qui devient humain au contact des autres. (cf : L'enfant sauvage) . Heidegger :

des gothiques ce sont etre comme tous le monde mais ils paraissent pour le regard des parent comme pour le regard d’autrui des etres pas comme les autres : l’homme choisiit dc detre celui qu’il est malgré le regard dautrui en se fiant juste a ses desirs. « je suis ce que suis » personne ne peut me faire changer Par ailleurs, la conscience est ce qui nous permet de choisir. En effet, nous avons conscience de qui nous sommes par les actes que nous accomplissons, on peut donc penser qu'il nous est

suffit à lui même. → L'art peut tout exprimer, cela dépend de l'artiste lors de la création de son oeuvre (ses aspirations, ses sentiments...). → L'art est vu de différentes manières : l'artiste voit des choses dans son inspiration alors que pour autrui, impression personnelle (divergente pour chacun d'entre nous). → Toute la personnalité d'un artiste s'exprime dans son œuvre. → L'oeuvre d'un peintre est une partie de lui-même, œuvre personnelle («J'ai mis en lui trop de moi-même»). → Un artiste

devrions nous pas tout simplement nous contenter de la réalité tel qu’elle et serai-ce dans cette mesure que de renoncer au désir ? Ne pourrions-nous pas vivre simplement avec la notion du désir vu de notre imagination ? Et faut-il toujours associé désirs insatisfaits et souffrances ? N’y aurait-il pas un certain bonheur sous jacent à la simple évocation du désir dans notre esprit bien qu’il soit insatisfait ? Nous étudierons ces pistes de réflexion au cours de la démonstration suivante. Lorsque

L’esprit se définit traditionnellement comme un principe individuel de la pensée par opposition au corps. Il est ce qui n’est pas tangible, le bastion de nos pensées, inaccessible à autrui. L’esprit est assimilable à la pensée, qui elle-même se rapproche de notre raison. Du fait de son immatérialité, il nous semble souvent impossible que quelqu’un puisse l’influencer ou l’atteindre. Ainsi nous nous targuons d’être des libres penseurs. Mais qu’est-ce vraiment qu’un esprit libre ? Une réponse simple

voudrait-il alors dire mettre sa personne de coté, surpassé son moi pour aller vers quelque chose de plus absolu ? Pour être bon, il faut se couper de ses désirs ,les censurer. Tels est l’idée proposée par Kant dans son ouvrage « critique de la raison pure ». Ainsi un choix qui impliquerait une décision raisonnée, ne doit pas se fier aux désirs personnels, car la bonté suggérait quelque part de faire preuve d’une sorte d’altruisme. La subjectivité est donc rayée de la notion de l’action morale, laissant