Sartre Huis Clos L Enfer C Est Les Autres

barbarie - lié à un contexte philosophique : Darwin, Nietzsche et mort de Dieu, Freud et trois blessures narcissiques infligées à humanité : scepticisme généralisé, relativisme, déchristianisation et pertes de repères des auteurs : Giraudoux, Camus, Sartre - le mouvement dit du "théâtre de l'absurde" ou "théâtre de la dérision" = Ionesco, Pinter, Adamov, O'Neill, et bien sûr Beckett le théâtre de l'absurde : - déconstruction de la pièce (cadre spatio-temporel), de l'intrigue, du décor, du costume

présent: il y a encore les thèmes de la guerre, de la blessure et des amis perdus. Il y a aussi une querelle entre la tradition et l’invention. Il fait de l’ironie en parlant des poètes qui lui ont tiré la langue. Il se juge à l’avantgarde et les autres doivent le remercier parce qu’il a vu l’invisible (la nouveauté). Il utilise un langage guerrier pour expliquer cette querelle. Dans la deuxième partie il introduit sa vie privée avec le langage poétique. La rose qui se fane est la perfection absolue

des enjeux, des champs d’action ou des issues. Mais c’est à la représentation que ces antagonismes donnent toute leur mesure, parce qu’elle permet de rendre ce type de situations concrètement visible, audible, et par là plus frappant que dans les autres genres littéraires, comme le roman. La représentation, création collective d’un auteur, d’une troupe, mais aussi de « techniciens », offre un large éventail de moyens pour mettre en valeur ces situations : dramaturgiques d’abord, ressources de mise

Misérables (1862) o Flaubert, Madame de Bovary (1857) o Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal (1857) o Emile Zola, les Rougeon-Maquart o Jules Verne, Le tour du monde en 80 jours o Paul Verlaine, Poèmes saturniens (1866), o Arthur Rimbaud, Une saison en enfer (1873) Remarque : Recul de la politique linguistique Les nouveaux moyens de transport, le service militaire et le début des médias répandent l’usage du français. Pourtant, l’élite intellectuelle reçoit une formation solide en latin et en grec. Le poète

médiocres comme la manière dont un mauvais garçon vient à la lecture dans Longtemps je me suis couché de bonne heure ( 2004). Dans Avec Vue sur le Royaume ( 2007),d’origine juive par ses parents, Jean Pierre Gattegno réunit dans un avion, au ciel ( enfer ou paradis ?) dans un au-delà improbable deux figures singulières : celle d’un descendant d’un bourreau nazi de la seconde guerre mondiale et d’un descendant d’une victime de la Shoah. Un autre motif vient nourrir son œuvre dans Une place parmi les

classique et rejette les règles du XVIIème siècle. Le théâtre au XXème siècle renouvelle les formes, les thèmes, la mise en scène te l'écriture, effaçant notamment les distinctions entre les genres. On distingue le théâtre d'idées ou théâtre engagé (Sartre, Camus) et le théâtre de l'absurde qui pose le problème de la condition de l'homme. B) La réflexion sur le genre et les règles : Corneille 4) Le cid de Corneille connaît un immense succès. En effet cette tragi-comédie a réunis tout Paris lors

des enjeux, des champs d'action ou des issues. Mais c'est à la représentation que ces antagonismes donnent toute leur mesure, parce qu'elle permet de rendre ce type de situa-tions concrètement visible, audible, et par là plus frappant que dans les autres genres littéraires, comme le roman.La représentation, création collective d'un auteur, d'une troupe, mais aussi de « techniciens », offre un large éventail de moyens pour mettre en valeur ces situations : dramaturgiques d'abord, ressources de mise

saynètes de plus en plus élaborées sont alors refoulées hors de l’Eglise, au porche puis dans la rue. « Théâtre en rond » : structure souple partagée en plusieurs « mansions », c'est-à-dire plusieurs lieux (pancartes explicatives : paradis, enfer, monde…) Les « mystères » deviennent « moralités » : personnages sont figures de la Bible, représentations allégoriques. A la longue : histoire sainte dans son ensemble (de la création du monde à la Passion et la Résurrection)

connus sont: Jean-Paul Sartre, Albert Camus et Simone de Beauvoir. Ils accordent tous une grande importance à la notion d’“existence“. L’homme doit, par ses actes, définir son existence, à la naissance il n’est rien. Il arrive dans un monde „absurde“. "Loin de constituer un "être" donné au départ et doué de raison, l'homme n'est d'abord que néant et le fait même d'exister est "absurde". En un mot, l'homme existe avant d'être (ce qu'exprime la célèbre formule de Sartre : 'l'existence précède

générale, du palais ou de l’antichambre. • L’unité d’action : elle n’est pas synonyme d’action simple mais implique que tous les fils de l’intrigue soient fortement tissés et que toute action (ou parole) d’un personnage ait une conséquence sur les autres. C’est donc un principe de cohérence : rien n’est gratuit, rien n’est superflu. e) Le but de la tragédie classique : la catharsis     La tragédie classique prétend remplir une fonction morale, conforme ainsi au principe d’ARISTOTE appelé la catharsis