Sartre Liberté

s'accrocher. Il ne trouve d'abord pas d'excuses. Si, en effet, l'existence précède l'essence, on ne pourra jamais l'expliquer par référence à une nature humaine donnée et figée ; autrement dit, il n'y a pas de déterminisme, l'homme est libre, l'homme est liberté. Si d'autre part, Dieu n'existe pas, nous ne trouvons pas en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite. Ainsi, nous n'avons ni derrière nous ni devant nous, dans le domaine lumineux des valeurs, des justifications ou des

excentrique, surchargé... Non lié à un art, une époque ou un pays. 1 Dans l’histoire des arts Né en Italie au XVIe siècle, il est premièrement architectural et lié à la Contre-Réforme. Il se répand en Europe ai XVIIIe siècle. Caractérisés par la liberté des formes, le goût des courbes et du mouvement, la profusion de l’ornementation, les trompes-l’œil... Dans la littérature française Au XXe siècle, redécouverte d’écrivains de la fin du XVIe siècle oublié par faute de classement. Contexte historique

Liberté et choix 1- Condillac, Traité des animaux, fin du chapitre X. "Je veux, ne signifie pas seulement qu'un chose m'est agréable, il signifie encore qu'elle est l'objet de mon choix: or on ne choisit que parmi les choses dont on dispose. On ne dispose de rien, quand on ne fait qu'obéir à ses habitudes: on suit seulement l'impulsion donnée par les circonstances. Le droit de choisir, la liberté, n'appartient donc qu'à la réflexion. Mais les circonstances commandent les bêtes, l'homme au contraire

Groupement de textes : Texte 1 : Rabelais, Gargantua, « l’abbaye de Thélème », 1534  Texte 2 : La Fontaine, Fables, III, « Les Membres et l’estomac », 1668 Texte 3 : Rousseau, Discours sur l’origine de l’inégalité entre les hommes, 1755 Texte 4 : Sartre, Huis clos, extrait de la scène 5, 1943 Exercices : Question de synthèse Lectures analytiques Lectures d’images Écriture d’invention Dissertation DS : commentaire sur Fénelon, les Aventures de Télémaque (La Bétique) Entraînement à l’épreuve

avant les faits, qu'elle avait le choix, et qu'âpres les fait elle reprend conscience de ce qu'elle a fait alors elle est REPONSABLE.  ON INTRODUIT UN DEGRE D'IRRESPONSABILITE SELON L'ETAT DE LA PERSONNE AVANT ET APRES LES FAITS Rq: probleme de libertés individuelles car les détectives doivent anticiper l'acte du criminel et peuvent avoir accès a toutes les informations dont ils ont besoin + anticipation par contrôle sur la population (le psychiatre dans les classes maternelles) ---> normalisation

Développement D’une manière générale, nous pouvons postuler que la responsabilité implique la prise de conscience. Parce qu’il est conscient, l’homme est à la fois acteur et spectateur de ses actes. « Toute conscience est comédie », nous dit Sartre. La prise de conscience introduit, en effet, une séparation, une mise à distance : si je prends conscience du monde , je me l’oppose en tant qu’objet ( ce qui est posé devant) à connaître et à transformer ; si je prends conscience de moi, je prends

LA LIBERTÉ On devient libre, on ne nait pas libre on le devient en faisant des chois et en acceptant des contraintes EX : le pianiste pourra improviser, jouer, créer faire preuve de liberté dans la mesure ou il aura acquis un certain nombre de structure de contraintes et de codes Nos potencialité ne peuvent se developper que par le travail (la contrainte, la repetition), et c'est par cela que l'on peut acquerir une liberté de penser. Ce texte nous permet de dialectiser les notions

métaphysique " = celle de Descartes ; " politique " = Aristote, Hobbes) Peut-il : 1) possibilité physique 2) morale Obstacle : ce qui empêche quelque chose : mais quoi ? S'opposerait-il à ma liberté par exemple ? Ne serait-il pas d'abord ce qui m'empêche de faire tout ce que je veux ? (Sartre pour une problématique métaphysique ; Hobbes pour une problématique politique -peut-être plus facile à utiliser pour un premier devoir). Qu'il y ait d'autres que moi, c'est bien le signe que je ne suis

incompatible avec la liberté ? La liberté... Un grand mot qui fait rêver, que tout le monde prône et que personne ne peut avoir. On vit en société donc on obéit à des lois, à des règles. La liberté paraît donc impossible si on la prend dans son sens premier, c'est à dire pouvoir faire tout ce que l'on veut, quand on veut, où l'on veut. L'obéissance est donc incompatible avec cette vision car obéir à une force supérieure inclus forcément de perdre le libre arbitre. Mais cette liberté, qu'on peut

l’inconscient exclu la liberté. Dans ce sujet on se demande donc si la responsabilité répond avec l’absence de conscience et donc puis-je être tenu responsable d’un acte que ma conscience a refoulé ? Pour répondre à celui-ci nous allons montrer dans une première partie que nous ne sommes pas responsable de ce que nous ne maîtrisons pas puis dans une deuxième partie ce dont nous sommes responsables et enfin dans une dernière partie nous allons nous demander que si la liberté appartient à l’homme conscient