Sartre Situations Ii Tout Ecrit Possede

...................................... 70 L’autre comme condition de ma liberté .....................................71 Texte 19 : Condamné à être libre, J. -P. Sartre (1905-1980) ..... 72 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 73 Texte 20 : L’homme est responsable de ce qu’il est, J. -P. Sartre (1905-1980) .................................................................... 74 Pour mieux comprendre le texte ............................................

mesure où les y engageaient des préoccupations techniques, les écrivains latins ont bien marqué d'ailleurs par leurs emprunts terminologiques l'obligation où ils étaient de renouveler leur lexique de l'imaginaire, et c'est vers le grec qu'ils se sont tout naturellement tournés par une série d'emprunts dont l'usage français a lui-même bénéficié. De l'équivalent grec de l'imago latine, c'est-àdire de l'« icône » (eikyn), on dissociera le fantasme (fantasma), c'est-à-dire l'objet de la fantasia (fantaisie)

qualité de moi. La conscience est réflexible. Avoir conscience de soi c’est avoir une image de soi. «  Du seul fait que ma croyance est saisie comme telle, elle n’est déjà plus croyance elle est croyance troublée » = JP Sartre. Etre conscient c’est être constamment en changement. II/ Le sujet de la conscience 1) L’identité du sujet Avoir conscience de soi c’est être sujet de la conscience et son objet. De ce fait il y a une distance permanente entre moi et moi-même. Etre un sujet c’est être

d’auteur Table des matières Avertissement ........................................................................... 6 Avant-propos ............................................................................ 8 Un débat sur les conditions de tout débat ................................. 10 La tradition analytique .............................................................. 12 La critique du langage ............................................................... 14 La critique de la Culture

univers absurdes chez Camus. ➞ La Métamorphose (1915) de Kafka, traduite par A.Vialatte, révèle l’univers absurde d’un personnage dont on devine sans en avoir la certitude qu’il est un cafard. Les auteurs emblématiques de l’après-guerre (Malraux, Sartre, Camus) font évoluer leur personnage : conscient de l’absurdité du monde, il choisit néanmoins de se révolter et de s’engager. Sa vie retrouve alors un sens. ➞ Les héros de Malraux (La Condition humaine, L’Espoir, 1937) trouvent ainsi les chemins

LECLERC A la lettre E, on chercherait vainement une entrée au nom d'Emma dans un dictionnaire des mythes littéraires, là où l'alphabet et sa nature lui donneraient légitimement place, entre D comme Don Juan et F comme Faust.Celle que Flaubert appelle tout au long de sa Correspondance "ma petite femme" ne compte pas au rang des grandes figures mythiques du désir et du savoir. Faut-il se résigner à ne voir en elle qu'une version affadie, "sérialisée", comme le dit Lévi-Strauss du mythe d'origine tombé

SEMBLE PAS ETRE UNE ILLUSION A- L’être humain est libre parce qu’il est doué́ de raison Le libre arbitre est une notion fondamentale de la liberté. En effet celui-ci est une volonté libre, non contrainte. Ce libre arbitre s’emploie dans diverses situations, comme l’expression « libre comme l’air » veut donc montrer l’absence de contrainte. Mais au-delà de ce libre arbitre se trouve un être humain qui possèderai cette absence de contrainte car il sera doté de raison. En effet c’est ce qu’essaye de

seigneur, vous vous croyez un grand génie ! ... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus. Du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs, pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes : et vous voulez jouter... [...] (Il s'assied sur un banc.) Est-il

le Noir qui veut blanchir sa race est aussi malheureux que celui qui prêche la haine du Blanc. Dans l'absolu, le Noir n'est pas plus aimable que le Tchèque, et véritablement il s'agit de lâcher l'homme. Il y a trois ans que ce livre aurait dû être écrit... Mais alors les vérités nous brûlaient. Aujourd'hui elles peuvent être dites sansfièvre.Ces vérités-là n'ont pas besoin d'être jetées à la face des hommes. Elles ne veulent pas enthou­ siasmer. Nous nous méfions de l'enthousiasme. Introduction

théories contractualistes au fondement des sociétés politiques 1. La première théorie contractualiste : HOBBES 2. La société civile et la naissance du libéralisme : LOCKE 3. ROUSSEAU le second état de nature et la décadence de la société II. L’Etat comme instance nécessaire à la société A. La théorie hégélienne de l’Etat, une critique de la société civile HEGEL B. La théorie marxiste de l’Etat, de la nécessité transitoire au dépérissement 1. MARX et la suppression de l’Etat