Satan 666

ce que je dis, le diable humaniste : http://www.youtube.com/watch?v=KkkWrmeNlx4 Abordons désormais un tout autre thème que la peinture ou le cinéma. La poésie, et commençons par un poème de Victor Hugo, intitulé « La plume de Satan », extrait du recueil inachevé La fin de Satan. J'ai choisi ce poème car l'on retrouve une nouvelle fois cette petite chose qui me plaît particulièrement dans le thème du diable. Je ne supporte pas du tout cette idée du manichéisme. D'un côté, les anges tout blancs et

le « Spleen », c'est-à-dire l'ennui (angoisse). Cette section montre la misère et la grandeur de l'homme, vu comme le combat éternel de l'homme, sans issue : « Il y a dans tout homme, à tout heure, deux postulations, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan » (Baudelaire). L'homme est condamné à vivre ces deux forces. « Tableaux Parisiens », constitué de trente poèmes, consiste en une description de Paris, considéré comme une ville fourmillante et pleine de rêve. L’angoisse du poète face au spectacle

Lucas: Lucas, jeune homme d'une vingtaine d'années célibataire également, défend le parti de Lucifer, du mal. Lucas à l'air de s' accommoder de n'importe quel métier, tant qu'il apporte du pouvoir. Il s'implante dans l'immobilier et devient un conseiller peu scrupuleux. Il connaît la luxure, l'excès dans tout et a beaucoup de gourmandise. Il aime voler des voitures et les voir disparaître dans l'eau peu à peu. Lucas est un personnage très sombre, mal poli, méchant, il roule vite, il fume et il

réalité grands esprits contempteurs, Chercheuses d’infini, dévotes et satyres, Tantôt pleines de cris, tantôt pleines de pleurs (…) »[10]. La cinquième partie c’est la Révolte, qui est sur le plan symbolique le moment de la compromission avec Satan et la colère contre Dieu. Pendant le procès, l’auteur a été accusé de blasphème. La révolte est proposée comme un moyen offert à l’homme de dépasser sa condition misérable. Il est possible que Baudelaire n’exprime pas sa révolte, mais la révolte, celle

pécha. Il voulu s'élever au-dessus de Dieu, mais Dieu le rejeta. Depuis, il travaille à détruire l'œuvre de Dieu, depuis la création du monde (Genèse 3) jusqu'au temps où Dieu le punira et l'enverra en enfer. Qui est le diable? Le diable ou Satan à reçus plusieurs nom montrant qu'il est Universelle comme Mara qui tenta Boudda, Belzébuth chez les Philistins , Ham Shatan pour les Hébreux, Ahriman chez les Perses, Lucifer pour les Babyloniens et les pères de l'église chrétienne, et Iblis qui refusa

pouvoir : "Je te tiens écumant sous mon talon de fer !" => symbole de la supériorité de Ruy Blas sur Don Salluste. II. L'affrontement du Bien et du Mal A- Un personnage mauvais : Don Salluste - Allégorie du Mal : champ lexical du diable : "Satan", "serpent", "Enfer", "Démon". - Don Salluste est déshumanisé : "Cet homme n'a point d'âme.", "monstre". - Personnage cruel qui a fait souffrir Ruy Blas. - Ruy Blas utilise un vocabulaire péjoratif pour désigner Don Salluste ("traître", "fourbe

A. Comprendre le sens des mots B Comprendre l’origine et la formation des mots et des expressions Exercice 7. Les 4 mots sont : merveilleux - admirable Exercice 8. 1. Les cinqs adjectifs sont : Fantaisiste : qui n’obéit qu’aux caprices de son imagination Fantomatique : qui tient du fantôme : une personne imaginaire Fantastique : créé par l’imagination Fantasmatique : relatif aux fantasmes, représentation imaginaire traduisant des désirs 2. On retrouve « fant »

4.7 ; 1 Pierre 5.8-9 ; 2 Cor. 2.11 Le diable est aussi connu sous le nom de Satan (Ap 12.9). À l'origine il était un chérubin, créé par Dieu (Éz 28.12-14), et il était un archange (Ap 12.7 ; Mt 25.41). Par la suite, il s'est rebellé contre Dieu en s'élevant à la position de Dieu. À cause de cela, Dieu l'a jugé (És 14.12-15 ; Éz 28.15-19) et il est devenu Satan, l'adversaire de Dieu. Dans le texte original, le mot Satan signifie « un opposant, un adversaire ». Le diable s'oppose à tout ce que fait

second temps, nous analyserons son appel au secours futile. Tout d'abord, nous allons établir quelles figures représentent le mal dans ce poème. En effet, hors-mis dans certains vers où le mal est directement cité comme le « Diable » (v.30) ou « Satan » (v.47), le Spleen se cache dans des êtres bien moins maléfiques : Baudelaire a beaucoup recourt au champs lexical de la nature et des animaux. Il cite souvent des animaux bien connus des Fables de La Fontaine à la seule différence qu'il fait de ces

tentation, vers l'animalité et l'idéalité, est explicable grâce au poème «Mon cœur mis nu», où Baudelaire dit qu’il y a dans l'homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan. L'invocation à Dieu, ou spiritualité, est un désir de monter en grade ; celle de Satan, ou animalité, est une joie de descendre. Une fois transfigurée par la poésie, la femme est aussi pareille à «l'immortel soleil», éternelle source de vie dans «L'Aube spirituelle». Elle est également haïssable