Satire Ironie

Dans ce conte philosophique qu’est Candide, Voltaire se propose de démontrer que les philosophes optimistes ont tort de prétendre que « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ». Pour ce faire, l’auteur met en scène un héros, Candide, qui découvre toutes les formes du mal au cours de ses aventures. Au début du chapitre 3, Candide a été chassé du château du baron Thunder-ten-Tronck et découvre la guerre, le premier mal du monde. À travers l’attitude de son héros naïf, Voltaire critique

d’ironie. II- L'ironie est omniprésente 1. 1er § Les 2 premières phrases sont redondantes (elles veulent dire la même chose) : phénomène d'insistance qui met en éveil sur le contenu de ces 2 phrases. • Antiphrase : l.3 : "un bel autodafé" à ironie • Périphrase par rapport à l'autodafé : l.4-5 : "Le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu", "spectacle" = voyeurisme et "petit feu»: antithèse = horreur 2. 2e § Absurdité des condamnations qui reposent toutes sur des apparences (parfois

Fiche de lecture sur Candide Candide, ou l’Optimisme est un conte philosophique. Cette œuvre, ironique ( raillerie, plaisanterie, qui consiste à dire ou écrire le contraire de ce que l'on veut faire entendre ) dès les premières lignes : On perçoit immédiatement, dans la fin de ce premier paragraphe de l'œuvre, Voltaire critique le conservatisme social de la noblesse arrogante. Candide est également un récit de formation, récit d'un voyage qui transformera son héros éponyme en philosophe. C4est

La ville de Florence m'apparait dans l'oeuvre de Musset comme un personnage à part entière. Et si elle semble belle, et imposante on ne peut s'empêcher de la trouver triste, lugubre, désireuse de jours meilleurs. Elle est le centre de toute l'histoire et subi chaque intrigue l'une après l'autre... Les femmes s'y dévergondent, les hommes s'y divertissent, même les hommes de foi (cf. le Cardinal) ne résistent pas à son ambiance malsaine. Les personnages s'adressent d'ailleurs directement à elle à plusieurs

SEANCE 2 : LE MAHOUTE Introduction Dès les premiers mots du récit, le personnage de Madame Rosa occupe une place centrale. C’est qu’elle occupe aussi une place centrale dans le cœur de Momo. Comme la santé et les finances de la vieille dame se dégradent, le jeune garçon tente de s’occuper d’elle le mieux qu’il peut, en utilisant ses relations. Ainsi, le Mahoute, diabétique et héroïnomane, vient-il lui faire sa piqûre. Nous analyserons l’humour noir de la situation avant de nous intéresser aux

ici T. Ce choix formel correspond à une véritable stratégie argumentative de l’auteur, qui adopte une forme plaisante, susceptible de mieux retenir l’attention du lecteur, tout en détournant les codes propres au texte juridique oriental, par une ironie cinglante qu’il convient à présent d’analyser en détail. II. La dénonciation par l’ironie (voir proposition de rédaction infra) 1) La présentation caricaturale muphti hyperboles, amplifications et caractère outrancier ridiculisant les propos de l’énonciateur

éloigné dans le temps: il y a moins de 100ans Erreur du passé, donc proche, peut se renouveler. Ironie de l'auteur pour prouver qu'il n'y a pas de support réel : "prétendre" "miraculeux" ne relève pas de la science (doit être rationnel) "en la même année", "était encore", "deux ans après", "aussitôt" -> accélération des choses+présent : se déroule en même temps que l'auteur écrit. 3) ironie de l'auteur + registre polémique Hyperbole ironique : faux éloge (par antiphrase), ils ne sont pas

Français : Ces deux auteurs nous livrent des réquisitoires contre la guerre : de quelle façon la dénoncent-ils ? Texte 1 : voltaire , candide. Texte 2 : La bruyère «  du souverrain ou de la république. «  INTRO : Ce corpus qui nousde texte est composé de deux œuvres ; la premiere est un passage tiré du chapitre 3 du conte philosophique de voltaire : Candide Ecrit en 1759, et le deuxieme est passage « du souverain ou de la republique «  extrait de les caracteres ecrit par Labruyère en

Fiche d’identité de l’œuvre Candide philosophique. Auteur : Voltaire, XVIII e Genre : conte (ou roman)  siècle. Objets d’étude : Registres : ironique et satirique. Structure : trente chapitres. Forme : récit fictif en prose. Principaux personnages : Candide, le conte philosophique ; les Lumières ; le narratif ; le roman ; la délibération et l’apologue. Cunégonde, Pangloss, la vieille, Cacambo, Martin, frère Giroflée, Paquette. Sujet : le conte relate la formation intellectuelle

réelle. Il n’y a aucune explication : il y a des monstres, des objets animés, des fantômes, souvent écrit à la première personne … il entraîne le lecteur à s’interroger sur la nature du monde actuel, le conduit au doute. Satirique : moquerie avec ironie visant à démasquer une hypocrisie en la critiquant, utilisation donc d’un vocabulaire familier, de termes péjoratifs pour discréditer, d’idées très caricaturales. S’utilise beaucoup pour le portrait aussi avec des hyperboles. Il appartient au registre