Satire Tartuffe

poèmes anticléricaux, nous pouvons citer entre autres : Le Châtiment de Tartufe, Accroupissements, Le Mal et Les Pauvres à l’église. Dans Le Châtiment de Tartufe, nous voyons clairement apparaître une forme de mépris, d’aversion (v.14 -Peuh ! ) pour les représentants de l’église qu’il qualifie de doucereux, d’hypocrite. Accroupissements est aussi un poème satirique très violent envers l’Eglise, tout comme pour le Châtiment de Tartufe, Rimbaud utilisa un représentant de l’église. Le Mal et Les Pauvres

Tartuffe : comédie ou tragédie ? Introduction : Bonjour, aujourd’hui nous allons vous parler du comique et du tragique dans Tartuffe. Lorsque l’on parle de tragique, l’on parle ‘’d’une action destinée à provoquer la pitié ou la terreur par le spectacle des passions humaines et des catastrophes fatales qui s’en suivent.’’ En quoi l’intrigue de Tartuffe est-elle comique ? L’intrigue de Tartuffe est comique car elle met en scène des éléments proches des gens au 17ème siècle, ainsi qu’un

retiré du monde » (VII,3) Jean de la Fontaine extrait des Fables (1678) Introduction La Fontaine : moraliste du XVIIème siècle Conclusion : - objectif traditionnel didactique => ici : satire des religieux qui ne s'appliquent pas leurs préceptes -ouverture : Tartuffe de Molière => dénonciation des dévots (analogie dans description « gros et gras, le teint frais la bouche vermeille » v.234) -« Le songe d'un habitant du Mogol » fable 4 du livre IX => comparaison entre

personnage dans l’histoire, le comique de mots, dont l’effet comique est produit par les paroles des personnages, le comique de caractère, et le comique de mœurs, qui produit l’effet comique grâce aux usages d’une classe d’hommes ou d’une époque, c’est la satire d’un comportement social. Nous pouvons aussi citer la commedia dell'arte, qui est un genre de théâtre populaire en Italie, où des acteurs masqués improvisent des comédies marquées par la naïveté, la ruse et l'ingéniosité. Ce genre est apparu avec

avares, les jaloux, les cocus...) et a pour but de peindre ou de développer un caractère principal, par exemple le Misanthrope et l’Avare de Molière. Pour faire rire, les traits de ces personnages sont exagérés. Et enfin le comique de mœurs qui est la satire d’un comportement social. Le comique de mœurs ridiculise les manières de vivre, de penser, de parler à la mode. Il s’attaque aux préjugés et au mauvais fonctionnement de la société. Dans Le Malade imaginaire, Molière dresse un portrait plutôt satirique

Molière dans son premier placet sur Tartuffe reprend et cite la devise latine « Castigat ridendo mores » (châtier les mœurs en riant) et définit le nouveau but de la comédie. Il fait également dire à un de ces personnages dans « l’Impromptu de Versailles » : « l’affaire de la comédie est de représenter tous les défauts des hommes, et principalement des hommes de notre siècle. » On peut se demander si effectivement toutes les pièces comiques sont des satires sociales ou si certaines n’appartiennent

dans le dialogue entre les personnages Harpagnon et Valere suite à un malentendu C) La comédie de caractère -utilise le comique de situation: ex. Moliere dans son oeuvre Tartuffe pendant la scène ou Elmire révéla sa flamme à Tartuffe dans le but de monter à son mari, qui est caché sous la table, l hypocrisie de Tartuffe qui n est pas conscient du fait que le mari d Elmire écoute leur conversation II) La comédie sert également à dénoncer A) La comédie d intrigue vise à critiquer: ex. L École

le roi. 1659 : célébrité grâce aux Précieuses ridicules, il obtient du roi la salle du Petit-Bourbon, puis celle du Palais-Royal. Il connaît alors un grand succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. 1664 : première représentation de Tartuffe à Versailles. Critique de l’hypocrisie des faux dévots : scandale, pièce interdite par le roi sous la pression des dévots. 1665 : Dom Juan suscite également des remous, pièce retirée malgré son succès. Molière bénéficie toujours des faveurs du roi

personnels. Pour autant, il est certains que les marquis, par exemple peuvent reconnaître certaines de leurs attitudes dans la peinture qui est faite par l’acteur. C’est d’ailleurs pour cette raison que Molière eut tant de problèmes avec sa pièce Le Tartuffe, les faux dévots se reconnus dans le personnage éponyme. Peindre les caractères en général : « L’affaire de la comédie est de représenter en général tous les défauts des hommes et tout particulièrement les hommes de notre siècle

flegme, la bile et l’atrabile) dont l’équilibre est condition de bonne santé. Le sous-titre du Misanthrope est d’ailleurs L’Atrabilaire amoureux ; quant aux autres héros, ils sont clairement présentés comme relevant de tel ou tel type de caractère : Tartuffe, « gros et gras, le teint frais, la bouche vermeille » (v. 233) est visiblement un sanguin, ce qui explique sa nature concupiscente, alors que Dom Juan est un colérique, prompt à s’enflammer, comme à oublier. Pour utile et clair qu’il soit, ce soubassement