Satyre

les pièces de Molière sont des comédies de mœurs. b) Un idéal de sagesse et de modération ou le bon sens de l’honnête homme Tirade de l’hypocrisie dans Dom Juan de Molière V, 2 p 76 . On remarque dans le théâtre de Molière l’évolution de la satyre => dénonciation virulente : Dom Juan => Tartuffe => Misanthrope. L’auteur dénonce de + en + acerbe ( corrosive ) : l’hypocrisie sociale de la Cour : Dom Juan • « La profession d’hypocrite a de merveilleux avantages ». = périphrase : courtisan

à l’historien grec, Hérodote. D’ailleurs, le narrateur souligne que ces êtres lui rappellent les monstres de la mythologie : « C ette aventure me fit souvenir de ce que jadis j’avais ouï conter à ma nourrice, des sirènes, des faunes et des satyres ». c) Un monde qui suscite l’étonnement Une autre caractéristique de la relation de voyage rés ide dans sa fa- culté à souligner et susciter la surprise, la stupéfaction. Le caractère merveilleux des Sélénites est mis en relief par l e lexique

spectateurs de deviner tout de suite le statut du personnage (roi, déesse, esclave) ou ses émotions (tristesse, joie, pitié…).Ils avaient également différentes couleurs qui permettaient aux spectateurs de reconnaître les personnages (rouge pour les satyres, blanc pour les femmes, etc.). Les acteurs portaient des cothurnes (chaussures à épaisse semelle de bois) , qui les grandissaient et leur donnaient un air majestueux conforme aux rôles de rois ou de héros de la mythologie, ainsi qu'une tunique(chiton)

du romancier, quand il crée ses personnages, est de porter à travers eux un regard critique sur la société dans laquelle il les fait évoluer au cours de son roman ? L’auteur a-t-il pour but, à l’aide des personnages qu’il fait naître, de faire la satyre de la société ? Nous allons voir dans un premier temps qu’il est récurrent qu’un auteur utilise un personnage de roman pour traduire ses idées et sa conception du monde. Nous prouverons ensuite que le romancier ne donne pas nécessairement vie à son

pourront pas être vengés. La société n'est pas organisé autour de lois et d'institutions, en particulier celle de la justice qui est parodiée dans la fable de Jean de la Fontaine Les Animaux malades de la peste en 1678. On peut en effet observer une satyre de la justice : le plus faible est sacrifié pour les besoins personnels des « puissants ». Dans l'œuvre de Voltaire, on remarque une justice religieuse qui n'en est en fait pas une. La religion est ici transformée en superstition, comme le montre

Si la « lune » est liée aux « besoins les plus immédiats », la « petite machine » semble liée aux peurs. – Baptisée par la mère, la petite machine semble aussitôt menacée. Bizarrement, sous prétexte de parler de la nature, apparaissent serpents et satyres : présence inquiétante, qui rappelle les « images » de violence des illustrés, et les faits divers, interdits à l’enfant comme le furent plus tard les journaux grivois. Le long circuit de ce paragraphe ainsi résumé, laisse entendre que la crainte

chez d'autres personnages qui perdent ainsi leur identité au fil du roman. Le personnage de Pedro Surplus incarne en effet 3 personnages différents qui apparaissent et disparaissent au cours de l'aventure. Il passe de Pedro Surplus qui semble être un satyre à un policier du nom de "Trouscaillon" pour finalement devenir à la fin "Aroun Arachide". II- Dans le Film - même éléments que dans le livre Dans le Film Zazie dans le métro de Louis Malle adapté du roman, on retrouve une partie des éléments

Voltaire en soulevant le problème de la religion, l’histoire se passant juste après la révocation de l’Edit de Nantes. C’est le chapitre incipit, situation initiale. Traité de façon humoristique, mise en évidence du caractère excessif des Bretons => satyre de la société de l’époque, les femmes parlent de la religion sans savoir ce que c’est. I. Parodie du dialogue A. Un dialogue sous forme de questions/ réponses C’est un dialogue car il commence sous forme d’une question/ réponses : 1ère question

Saints', 'tous les gens querelleurs', jusqu'aux simples matins' (antithèse) • 'Un loup quelque peu clerc' : le narrateur dit savant pour sous-entendre cruel, ignoble c. Bilan : • La Fontaine est clairement contre les puissants et pour les faibles. Sa satyre attaque le fonctionnement de cette cour à son époque où les puissants s'attribuent tous les droits et n'en reconnaissent aucun aux faibles. • Il ironise aussi sur leur hypocrisie, leur fait de feindre de se conformer à la morale, de faire un examen

mariage, ou encore le symbole de la « piqûre » de l'amour. L'ouvrage montre le dieu de guerre romain Mars et la déesse de l'amour Vénus dans une allégorie de la beauté et de la vaillance. Vénus regarde Mars allongé et endormi, tandis que deux satyres enfants jouent avec son armure et un autre repose sous son bras. Un quatrième souffle dans une conque à son oreille afin de le réveiller. La scène se déroule dans une forêt, avec, en arrière-plan, la mer où Vénus est née. Un bosquet de myrte, l'arbre