Say Marx Keynes

échanges. La création de la valeur est la création de nouveaux produits ou services, inventés dans le but d'échanger et par des gens motivés par des buts personnels : Achat d'une maison, offrir les études aux enfants, réaliser un rêver, etc... 2. Karl Marx (1818-1883) B. Le marxisme 1. La référence 2. Les fondements Le marxisme fait un bilan très négatif du système capitaliste et considère qu'il n'y a eu aucun progrès social avec les classiques, malgré les progrès technologique. Théorie de la valeur-travail

classique (ou mouvement libéral) milieu du 18eme-début 19eme La Richesse des Nations A. Smith (1776) Principes de l’Economie Politique et de l’Impôt D. Ricardo (1817) 4 principaux auteurs : A. Smith (1723-1790) D. Ricardo (1772-1823) J.B. Say (1767-1832) T. Malthus (1766-1834) I.1. Le triomphe des nouveaux principes : l’environnement dans lequel est né le courant classique Siècle des lumières et des grands encyclopédistes. Succède à l’humanisme et à l’individualisme de la Renaissance

concentre sur la « rareté ». Pourquoi ? 12 les besoins humains sont illimités Le besoin économique est un manque qui peut être satisfait par l’acquisition ou la consommation de biens et services. Tout le monde éprouve des besoins. John Maynard Keynes dans « essais sur la monnaie et l’économie (1930) » distingue 2 catégories de besoins : ❑ Ceux qui possèdent un caractère absolu (boire et manger par exemple) ❑ Ceux qui ont un caractère relatif, que l’on éprouve au contact des autres, et qui

coup, obscurcissent souvent la clarté du discours ricardien. Les conclusions que Mill tirait de l'analyse classique étaient diamétralement opposées à celles qu'en tirait Karl Marx (1818-1883). Marx reformula l'analyse de Ricardo dans le cadre de sa propre philosophie de l'histoire. Le large champ couvert par la pensée de Marx porta son oeuvre au-delà des limites étroites de l'économie classique, mais d'importants éléments de son analyse dérivent des conceptions classiques. Comme toutes les généralisations

recul (une régression) du bien-être mondial, et une allocation irrationnelles des ressources économiques rares, à des échanges inégaux et appauvrissant, c’est du moins le sens de la critique marxiste. ¤ La critique marxiste : Point de vue de K. MARX. Fidèle à son approche dialectique, il commence par admettre l’explication ricardienne selon laquelle le commerce international et le libre-échange a pour fondement les différents coûts relatifs de production, mais à la différence de RICARDO, il

place jusqu’à la fin de la 2nd Guerre Mondiale. Puis avec l’intervention de Beveridge, la France se tourne vers une logique d’assistance. * « L’Etat au cœur du développement ». Les mercantilistes Adam Smith détestait les mercantilistes, mais Keynes (à ses débuts) était pour le protectionnisme. L’Etat met en place un politique conjoncturelle (court terme) pour lutter contre l’inflation et le déficit, c’est une politique de rigueur (libéral). Pour lutter contre le chômage et la récession, il met

qu’il faut définir la valeur d’échange) - La théorie de la répartition : comment s’établie la répartition entre les propriétaires terriens (la rente différentiel), les travailleurs (salaire en contrepartie de leur travail, souvent de subsistance (//Marx)). - Théorie du commerce international (avantage comparatif, Ricardo prône le libre échange entre les nations). Malthus, 1798 : Essai sur le principe de population. Certain pessimisme. Il élabore la loi de la population. La production des subsistances

moderne. Période de révolution industrielle, économie en pleine transformation. • SMITH (1723-1790), Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) • MALTHUS (1766-1834), Essai sur le principe de population (1798) • SAY (1767-1832), Traité d’économie politique (1803) • RICARDO (1772-1823), Principes de l’économie politique et de l’impôt (1817) 1) Théorie de la valeur travail SMITH et RICARDO distinguent la valeur d’usage et la valeur d’échange des biens

1 Economie Ière PARTIE : LES FONDEMENTS DE LA CONNAISSANCE ECONOMIQUE LES GRANDS COURANTS DE PENSEE ECONOMIQUE Trois grandes courants économiques se dégagent : le keynésien (Keynes), le marxisme et le libéralisme. La première révolution industrielle est agricole, elle se traduit entre autres par la production d’engrais, par la fin de la jachère, ce qui entraîne un surplus, et donc l’épargne, pour des industries telles que la métallurgie ou le textile. Tous cela entraîne également une augmentation

jusqu’à la fin du XIXème siècle, marquée par la naissance de la pensée classique puis la critique qu’en fait Marx ▪ Celle qui va de la fin du XIXème siècle jusqu’au début des années 30, caractérisant le retour en force des idées classiques, en réponse à la critique marxiste ▪ Celle qui va des années 30 jusqu’au début des années 70, période où s’établit la pensée de Keynes, qui s’affirme fortement dans les années 30 et qui sera effectivement mise en œuvre dans les pays développés