Say Marx Keynes

la loi des débouchés. En effet , il évoquera les effets négatifs d'une épargne trop développée. Il se distingue également des autres économistes classiques par sa conviction que c'est la demande qui stimule l'offre et non l'inverse comme le pense Say * L’insuffisance dans la demande rend possible une surproduction * Selon MALTHUS, « il n’est pas possible qu’une nation s’enrichisse par une accumulation du capital provenant d’une baisse permanente de la consommation ». en effet ceci entraîne

économistes classiques par sa conviction que c'est la demande qui stimule l'offre et non l'inverse comme le pense Say. Mais Malthus resta partisan d’une politique économique libérale et se montra hostile aux mesures d’assistance sociale prises par l’État. Certaines de ses idées influencèrent directement Ricardo (rôle de la monnaie, rente foncière), mais aussi Marx (qui le critiqua fortement) et Keynes avec ses conceptions de l'épargne et de la demande. Ses idées influencèrent la formation du concept de

plus cohérente et autonome par rapport à la moral, religion politique. Aristote est le premier en -400 avant JC après rien pendant 1500 ans et puis les mercantilistes => Physocrates (F quesnay) => Classiques ( A. Smith ; Ricardo ; Malthus ;JB say ) Il n’y a pas eu d’économie pendant 1500 à cause de la condamnation de l’argent par Aristote. I/ Les précurseurs et les origines de la science économique. C’est une science jeune, et aujourd’hui on ne peut comprendre la diversité des explications

 WEBER  capitalisme, rationalité (sociologue moderne) Contre Marx Éthique protestante favorise le développement capitalisme - l'ascétisme : un mode vie fait de sacrifices dans un but de perfection morale et spirituelle. - chez Luther, le travail est un objet moral : seul moyen de vivre de façon agréable à dieu. - pays ou Weber observe la naissance de l'esprit du capitalisme : En Europe occidentale, surtout en France, Allemagne, Angleterre. - rôle de la religion

Section 2 : la théorie classique Sous-section 1 : Adam Smith Sous-section 2 : L’école historique allemande Sous-section 3 : Karl Marx Chapitre II : L’intervention de l’ETAT après la crise 1929 Section 1 : l’école keynésienne : Sous-section 1 : John Maynard Keynes Sous-Section 2 : William Beveridge Section 2 : les néoclassiques Sous-section 1 : l’économie de bien être néoclassique

THEORIES DE KEYNES BOULEVERSE ET INFLUENCE GRANDEMENT LA PENSEE ECONOMIQUE. A) La pensée keynésienne est en opposition avec certains principes économiques traditionnels. * différences dans les politiques économiques à mener : chômage, rôle de la monnaie, pas d’autorégulation du marché. * Ex du New Deal. * Etat Providence * B) Les théories keynésiennes sont marquées par un héritage intellectuel qui se trouve dans les différents courants se réclamant de Keynes. Cf exposé

est KEYNES qui donne une analyse économique globale sous forme de circuit. a) Les économistes classiques. Ils sont contemporains de la révolution industrielle qui a 3 caractéristiques importantes : Le passage de l’artisanat à l’industrie Transformation de l’agriculture rendue nécessaire par la transition démographique De multiples innovations technologiques (machine à vapeur) qui conduisent à une organisation plus efficace des manufactures (OST). L’appellation classique est du à Marx qui

de la pensée économique Le courant classique : Adam Smith : est un philosophe et économiste écossais des Lumières.  Professeur de philosophie, il consacre dix années de sa vie à ce texte qui inspire les grands économistes suivants, ceux que Karl Marx appellera les « classiques » et qui poseront les grands principes du libéralisme économique. Définition de la valeur : Caractéristique mesurable d’un objet en tant que susceptible d’être échangé. la notion de la valeur à 2 significations, celle distinguées

comme ce sont principalement les particuliers qui jouissent de l’aisance générale qui en est la suite, on ne doit pas considérer l’économie politique comme l’affaire des hommes d’État exclusivement. Elle est l’affaire de tout le monde. Jean Baptiste Say, 1826 Encadré 2 : Méthodes d’approche et nature de l’économie a– Les méthodes d’approche en économie Il existe deux approches de l’économie : - Approche Macro-économique : L’économie est saisie dans sa globalité. On s’intéresse à un groupe,

soit affecté aux besoins d’autres populations parmi les habitants des autres villes » Précurseur de la valeur-travail et la notion de surplus, suivi quatre siècles plus tard par David Ricardo (net produce ou surplus of produce) et plus tard par Karl Marx Al Makhrizi : « Cette année 1166, les contraintes de la rise touchèrent tous les habitants de l’Egypte, car l’or et l’argent sortirent du pays et n’y revinrent pas ;ils disparurent et on n’en trouvent plus.Les gens s’adonnaient à chercher ce qui