Say Marx Keynes

classique Historique Cette théorie date de la fin du 19ème siècle. On l’appelle néo car elle reprend les mêmes idées et même conclusion que la théorie tout court. Cette dernière date du 18ième siècle. Elle est notamment fabriquée par A. Smith, Malthus, Say Les néoclassiques sont donc des gens ont modernisé la théorie classique. Ils ont intégrés les maths à la théorie classique. Walras, Pareto, Ricardo A leur époque il y a un capitalisme pur et dur et leur théorie va leur montrer que ce système est parfait

Epargne et Investissement « L’expansion se caractérise par un excès de l’investissement sur l’épargne et la récession se caractérise par un excès de l’épargne sur l’investissement » Keynes, 1931. L’épargne est la part du revenu non consommé immédiatement ou l’excès de revenu sur ce qui est dépensé pour la consommation. Il y a l‘épargne des ménages, des entreprises et des A.P.U.. L’investissement permet de créer ou d’acheter des biens de production. Il peut être matériel, c’est par exemple, l’achat

pdfmail.com ANALYSE COMPAREE DES PRINCIPAUX COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE Courant classique Auteurs principaux Système économique Moteur de l'activité économique Courant Keynésien Courant Marxiste K. MARX (1818 - 1883) A. SMITH (1723 - 1790) J.M. KEYNES (1883 J.B. SAY (1767 - 1823) 1946) Capitalisme Initiative individuelle Capitalisme Initiative individuelle Socialisme Intérêt collectif Recherche du profit Principes fondamentaux Propriété privée des moyens de production Principe

de la Révolution industrielle. Les ambitions d’A. Smith, de J. Say, de T. Malthus et de D. Ricardo sont les fondateurs de la pensée économique libérale. L’économie classique naît avec l’ouvrage de Smith. Elle rassemble les travaux de divers auteurs qui reconnaissent que son œuvre fonde la science économique. Le classicisme s’imposera alors comme la doctrine dominante jusqu’aux années 1870. A partir de cette date, les critiques de K. Marx et la révolution marginaliste des néoclassiques ouvriront la

Divergences entre les trois écoles Chapitre 2 : Les débats théoriques du XXème 2.1. Rationalité, incertitude et équilibre 2.2. L’analyse de l’Etat : néowelfarisme et choix publics Chapitre 3 : Les grands débats d’économie politique 3.1. Le New Deal, Keynes et les monétaristes 3.2. La globalisation et le développement 3 I NTRODUCTION GENERALE Qu’est-ce que nous allons faire pendant ce cours ? 1. étudier la pensée économique 2. faire de l’histoire Il est fondamental de réaliser que le but premier

variable globale des economie (le produit interieur brut, la conso des menage, l’invest des entreprise, les importation et les exportation. La plupart de probleme eco est d’origine macro croissance, chomage, inflation etc.. , la macro eco de j m keynes theorie generale de l’emploi. 3) L’ecole mercantiliste et les physiocrates 15 ème 16 siecle Fin du moyen age, l’europe contexte eco difficile, recherche de la juste prix, mercantile s’est commerce, un ensemble d’auteur espagnol, Ortiz ,

cela des économistes classiques qui vont fonder le libéralisme. Si le rapport théorique n’est pas décisif, leur politique économique violemment condamnée depuis le courant libéral à fait recette et on reconnait certains termes mercantilistes chez Keynes. 1) Les Physiocrates : la richesse vient de la terre, liberté du commerce. Les auteurs Physiocrates sont : ⁃ François Quesnay (1694-1774) : Economiste français. Il fait publier un tableau économique où il y représente l’économie comme un

de l'individu rationnel - supériorité de l'économie de marché – limitation du rôle de l'Etat (justice, défense, sécurité) Les auteurs classiques (18ième siècle) - Adam SMITH : théorie de la main invisible (+ avantage absolu) - Jean-Baptiste SAY : l'offre crée sa propre demande : les consommateurs utilisant l’intégralité de leur revenu, pour stimuler la croissance, il faut stimuler l’offre. - David RICARDO : spécialisation des Etats dans l'échange : théorie de l’avantage comparatif Les

sont autant d'approches doctrinales que les économistes contemporains ont tendance à oublier. Vouloir s'affranchir de toute idéologie aujourd'hui est non sens pour Valier : l'auteur, sans le citer, fait sienne la critique de l'idéologie développée par Marx pour qui l'idéologie se présente comme une vision du monde, c'est-à-dire une construction intellectuelle qui explique et justifie un ordre social existant, voile au devant de la réalité destiné à cacher la poursuite d'intérêts matériels égoïstes en

centre des débats entre les économistes et/ou les hommes politiques. Deux courants de pensée vont alors donner deux réponses différentes : les libéraux, inspirés par les néoclassiques qui s'opposent aux interventionnistes largement inspirés par KEYNES Les premiers prônent une activité économique entièrement livrée à l'économie de marché dont ils reconnaissent les vertus intrinsèques. Ils incitent aussi à limiter au maximum l'intervention de l'État qui ne pourrait qu'entraver le libre fonctionnement