Saynète Comique

courtes, parallèles et dégressives. Elles sont aux nombres de 2 ou 3 pour une mobilité moyenne (17,4). Dans le dessin humoristique, toutes les phases de décomposition du mouvement peuvent être représentées, de façon atténuée, pour créer un effet comique (l'effet stroboscopique). Parfois aussi le personnage ou l'objet en mouvement seront représentés simultanément dans leur phase de départ et leur phase finale, les deux réunies par des lignes de vitesses. Ce procédé accentuera la rapidité du déplacement

premier temps le jeu comique de personnages –du moins en surface- et dans un second l'aspect d'un monde pourtant tragique à travers les décors et l'amertume réelle du jeu comique. Dans cette pièce qui est tout de suite montrée comme une comédie de par le jeu des acteurs et de par la dérision du sujet de la mort -car c'est ici le thème central, et l'annonciateur de cette mort doit opérer une chasse à l'homme pour trouver ses interlocuteur ; poursuite qui se révèle comique- où Latsheck peine à faire

Une comédie sombre Avec l’Avare, on pense d’abord au registre comique si l’on s’en tient à l’énormité du propos, à cette exagération qui interdit au personnage d’exister dans la réalité. La pureté du type, le condensé des vices le conduisent à n’être qu’un produit du laboratoire littéraire. Ce parti pris est rassurant pour le spectateur qui voit en lui un repoussoir ridicule pour tenter de moraliser les relations sociales, tout particulièrement le conflit des générations entre parents plus qu’économes

Dans Le mariage de Figaro la complicité du spectateur est éveillée par la construction de la scène : une usurpation d’identité, ce qui suscite alors l’intérêt du spectateur qui voudra en savoir plus sur le dénouement. L’utilisation du registre comique va amplifier cette complicité déjà acquise. Dans l’œuvre de Rostand la complicité repose sur la relation que partage le public avec Cyrano. Ces derniers sont les seuls à réellement tout savoir de l’intrigue qui en devient presque une supercherie.

on parle de didascalies internes. L’ironie au théâtre On parle d’ironie théâtrale (ou ironie dramatique) lorsque les spectateurs d’une pièce en savent plus que le personnage qui est sur scène. L’ironie peut être la cause d’une situation : • comique, lorsque l’ignorance d’un personnage est source de quiproquos, de jeux de scène, etc. • tragique, lorsque la vie du personnage dépend d’éléments connus des seuls spectateurs ; • dramatique ou pathétique, si l’ignorance du personnage l’empêche d’atteindre

caricature. On observe enfin que, si Ionesco s’amuse dans cette scène et fait sourire le spectateur, il montre en même temps le tragique de l’existence humaine. Plan : I - Une « anti » scène d’exposition II - Parodie et caricature III - Comique / Tragique Conclusion : On peut donc dire que le début de « La Cantatrice chauve » manifeste le rejet des règles de la scène d’exposition, tout en conservant certains aspects propres à celle-ci. En effet d’un côté il fournit au spectateur certains

auxquels on peut penser en lisant Fin de partie ? La destruction de l’illusion théâtrale Pour éviter toute complaisance par rapport au sujet apparemment tragique de Fin de partie et pour permettre au public une mise à distance critique, le comique n’est pas seul utilisé. Beckett s’emploie aussi à détruire l’illusion théâtrale et à induire sur la scène un jeu - une « partie » - qui renvoie à l’univers du théâtre et le met ainsi en abyme. À plusieurs reprises, Hamm et Clov semblent jouer à

nid familial. Ainsi, le film Le père de la mariée (1991) raconte l'histoire d'un homme n’ayant pas vu sa fille grandir. Quand il apprend que celle-ci se marie, il fait tout en sorte pour que le mariage soit annulé. Mais aussi dans le même registre comique, il y a Tanguy (2001), film représentant un fils qui, à 28 ans, refuse de quitter ses parents qui font alors tout pour le chasser de chez eux. Cependant, une étude a été faite prouvant le resserrement des liens familiaux. Ainsi, les pères sont beaucoup

s’étouffer en pouffements ou éclater en quintes quelquefois hystériques. Ainsi défini lors du forum « Pourquoi rire », ayant eu lieu au Mans en 2010, le rire est employé dans diverses circonstance, pour désigner toutes sortes de choses : sourire, gaieté, comique, ridicule, grotesque, satire, raillerie, ironie, sarcasme, dérision, plaisanterie, farce, canular, caricature, pastiche, parodie, esprit, saillie, blague, et même humour. En ce sens, à quoi bon rire ? Rire, pour dénoncer une société ; rire, pour

littéraire (ou autre) est repris mais dans un registre plus comique. Au Bonheur des Ogres est une parodie de Au Bonheur des Dames car dans ce texte on y retrouve beaucoup de similitudes avec le roman d’Emile Zola. Notamment avec la description des grands magasins. On remarque aussi que les personnages ont une histoire pareille ou presque, ils travaillent pour un même but mais on parle de parodie car ce roman de Daniel Pennac a un registre plus comique que celui d’Emile Zola. 4 : Le portrait de Saint