Scène de crime

Néron. Il confie à Burrhus qu'il va faire exécuter Britannicus et qu'il ne recherche plus la faveur du peuple. Burrhus tente de le raisonner, lui rappelant qu'il peut toujours rester vertueux, mais que, s'il s'engage sur la voie du crime, il devra aller de crime en crime, soulevant tout le monde contre lui. Néron est presque convaincu, renonce à faire empoisonner Britannicus, mais Narcisse parvient encore à retourner la situation. Britannicus annnonce à Junie sa réconciliation avec Néron : n’est-il

sur le « destin des mortels » III. La scène du meurtre Partie 10 : Page 213 à 213 (Agamemnon, le Coryphée) Il s’agit de la scène du crime. Agamemnon gémit : il est blessé par deux fois. Le Coryphée l’entend et décide de se concerter. Partie 11 : Pages 213 à 214 (Les Choreutes) Concertation des Choreutes qui s’interrogent sur ce qu’il convient de faire. Partie 12 : Pages 214 à 220 (Clytemnestre, le Chœur) Clytemnestre avoue son crime et explique au Chœur les raisons de son acte

héros Thésée pour son beau-fils, Hippolyte; etc…). Il présente des personnages dans toute leur fragilité (là où Corneille nous peint plutôt des héros). - Théâtre classique: règle de la bienséance (interdiction de représenter une mort violente sur la scène) ; règle de simplicité: théâtre édifiant, dont on doit tirer un enseigment moral clair et consensuel (cf. ducere et placere = plaire et instruire). Théâtre qui se penche volontiers sur la question du pouvoir. - Extrait qui se situe vers la fin de

proiesBilan : Début de cette fable construit un monde chaotique, frappé par les malheurs et la douleur. Entre donc ds une situation initiale surprenante car négative ou immédiatement perturbée.2. Le discours du Lion et la confession de son crime (v.15-33) CitationsProcédésAnalysev.15-24Ch lex religion (« Ciel, péchés, coupable, céleste, sacrifie ») + ch lex négatif (« infortune, courroux, accidents... »)Discours marqué par le doute, l’incertitude « je crois », « peut-être »Argument

débrouillardise pour se vêtir … le narrateur ss prétexte de montrer la bigarrure du costume, donne des infos précieuses sur le caractère . paragraphe d’anaphore avec les « nous » , p. 25 « … nos races ,nos métiers .. » lecteurs témoins de cette scène ; « supercherie narrative » : prétexte du costume couverture contre le froid et élément comique en plus , ac transition «  on ne se ressemble pas » , paradoxe de soldats en uniformes qui ne se ressemblent pas , on va avoir construction de trois paragraphes

on le découvre vers la fin, Hippolyte. Ce triangle amoureux est remplit de honte, d’espoir, et d’incomprehéhension, et comme la pièce est tragique, cela se finit par la mort de deux personnages héroïques avec des destins fatals inévitables. A la scène 7 de l’acte V, la scèce finale de la pièce, Thésée est bouleversé par la mort de son fils mais le croit criminel parce que Phèdre et Oenone, la nourrice et confidante de Phèdre, l’on dit. Par la suite, Phèdre avoue le mensonge, professe la vérité que

Acte II scène 5 Le passage se trouve juste après la scène d’aveux d’Hyppolite à Aricie qui répond par les mêmes sentiments. Cela accentue la dimension tragique de passage : l’amour de Phèdre est impossible. Au début, Phèdre (1877) avoue ses sentiments en comparant Hyppolite à son père. Il répond ensuite qu’il comprend sa tristesse face à la mort de Thésée. Phèdre fait alors une déclaration d’amour à Hyppolite en assimilant tout ce qu’elle aimait chez Thésée aux similitudes dans les traits du

qu’est-ce-qui est à l’origine de ce suspense ? Pour commencer, André Malraux nous fait le portrait d’un individu qui n’éprouve aucune forme de pitié à tuer, comme il nous le montre ligne 4 : « Pris ou non, exécuté ou non, peu importait », commettre un tel crime pour Tchen, paraît banal : « Le tuer n’était rien ». D’ailleurs l’auteur nous laisse supposer que celui-ci a déjà été confronté à ce genre de situation en disant « qu’il savait combien il est difficile de frapper de haut en bas ». Tchen est donc présenté

roman policier rédigé par Stanislas-André Steeman en 1939. Il s’agit de son œuvre la plus célèbre et de l’un des seuls ouvrages de l’auteur à ne pas avoir subi de réécriture a postériori. Ce roman, qui prend place dans la ville de Londres, met en scène les efforts de Scotland Yard pour coincer le mystérieux Mr. Smith, un tueur en série insaisissable dont la particularité est d’habiter au 21 Russel Square, dans une pension de famille. L'insertion de l'action dans ce lieu est l’occasion pour l’auteur

Le corpus nous présente trois textes: Phèdre acte III et scène IV fait en 1677 par jean racine; Médée scène X fait au Ier siècle par Sénèque ; et Horace acte IV scène 5 fait en 1640 par Pierre Corneille. Les trois extrais de texte nous montrent un conflit qui se produit. Ainsi nous pouvions analyser puis nous demander comment les trois textes peuvent être comparais. Le texte de Pierre Corneille « Horace » nous raconte l’histoire de deux familles qui sont en guerre, Les Horaces tuent les