Scepticisme

la morale" ; la première partie du texte suggérait l'existence de "critères objectifs" du juste et de l'injuste "Il est juste que ce qui est juste soit suivi.", tandis que dans la deuxième partie, la pensée de Pascal s'infléchit vers un certain scepticisme. Pascal ne se réfère pas à la moralité privée, mais aux lois qui règlent les rapports à l'intérieur d'une société donnée, les deux sphères n'étant pas nécessairement sécantes. Pascal prend acte de la variété et de la relativité des coutumes

prendre conscience qu’il n’y a pour moi de vérité que si je fais cet effort de vivre humainement en m’arrachant aux faux immédiats, aux faux absolus. Ne faut-il pas refuser le dogmatisme (attitude à rejeter le doute et la critique) et faire preuve de scepticisme ? N’est-ce pas le doute qui arrache aux fausses certitudes ? Le doute est l’état d’esprit incertain de la réalité d’un fait de la vérité d’une annonciation, de la conduite à adopter dans une situation particulière. Je n’adhère plus aux choses, je

collectif et à des psychologies diverses. * Montaigne a insisté sur le fait que tout est multiple et varié Pourquoi une morale serait plus favorable ? * Scepticisme souple : tout est douteux ; scepticisme dure tout est douteux même ce qui est douteux. * Le scepticisme est une forme de générosité car elle donne raison à tout le monde. II. Une morale qui est relative ne mérite pas ce nom * Si toutes se valent, aune ne mérite

démonstration n’est pas leur obscurité mais au contraire leur extrême évidence, ce manque de preuve n’est pas un défaut, mais plutôt un perfection ». - Scepticisme/ dogmatisme : Pascal propose une alternative entre le scepticisme (douter de tout) et le dogmatisme (seule la raison permet d’atteindre la vérité). Le dogmatisme est le contraire du scepticisme, c’est affirmer les vérités sans les démonter. - Selon Pascal, l’homme se divertit pour oublier sa condition. De plus, à la fois grand et misérable

Occident, dans l’antiquité grecque, avec les penseurs présocratiques puis avec Socrate. On le considère comme le véritable père de cette discipline. Les philosophes. Cette discipline se développe avec le stoïcisme, l’épicurisme, le cynisme et le scepticisme. Les présocratiques : Ce sont des philosophes qui, dans la Grèce antique, ont participé aux origines de la philosophie et ont vécu du milieu du VIIe siècle av. J.-C. jusqu'au IVe siècle av. J.-C., c'est-à-dire pour la plupart avant Socrate (470-399

Comment éviter le dogmatisme et le scepticisme ? Le projet critique est né d’un sentiment de mécontentement à l’égard de la philosophie : alors que les sciences de la nature se sont déjà engagées avec assurance dans la voie du progrès, la philosophie, considérée comme science de la sagesse reste encore à inventer, elle « n’est que la simple idée d’une science possible qui n’est donnée nulle part in concreto ». D’ailleurs et compte tenu des faits, c’est-à-dire au travail des différentes écoles

des certitudes négatives de l'esprit contemplant son impuissance. Le scepticisme est cet effort pour arraché la pensée au nihilisme propres aux premières pensées de l'esprit immergé de l'expérience. Le scepticisme de peux pas se laisser réduire à des dogmes tels que « tout est faux », « rien n'est vrai », lui qui a justement pour but de combattre tout dogme. Le sceptique ne dogmatise ni positivement, ni négativement. Le scepticisme se contente d'affirmer un relativisme qui considère que notre perception

nous permet pas de savoir que l’air est pesant. Il faut faire l’hypothèse de la pression de l’air pour pouvoir ensuite le vérifier par des expériences de laboratoires. II Les attaques contre la vérité (et les réponses…) A/ Le scepticisme Le scepticisme désigne l’attitude philosophique qui affirme qu’il n’est pas possible d’atteindre la vérité. Le sceptique prétend qu’on ne peut jamais savoir quelque chose avec certitude : il doute de tout, ‘‘ suspend son jugement ’’. C’est-à-dire qu’il

« absence de troubles ») apparaît d'abord chez Démocrite et désigne la tranquillité de l’âme résultant de la modération et de l’harmonie de l’existence. L’ataraxie devient ensuite le principe du bonheur (hêdonê) dans le stoïcisme, l’épicurisme et le scepticisme. Elle provient d’un état de profonde quiétude, découlant de l’absence de tout trouble ou douleur. Cette notion apparaît à l'époque d'Épicure. L'état d'ataraxie n'est pas uniquement une affaire mentale. L'étude rationnelle d'une éthique et d'une

plutôt que de rechercher si ce fait est exact), mais il n'a pas élaboré un modèle de pensée complet. Il le reconnaît du reste dans cet extrait :" la connaissance des causes …essence". Il a ici une attitude sceptique ; le scepticisme est une doctrine φ selon laquelle l'homme ne peut atteindre la vérité. On peut expliquer cette attitude pour une raison historique : les sciences exactes balbutient à la Renaissance et bon nombre de phénomènes sont incompré-