Sceptre

prenait un soin particulier des parures et des ornements des femmes : c'est pour cela que, dans ses peintures, ses cheveux paraissaient élégamment ajustés. Elle présidait aussi à la monnaie. Elle est représentée en matrone majestueuse, quelquefois un sceptre à la main, ou une couronne radiale sur la tête ; elle a auprès d'elle un paon, son oiseau favori. L'épervier et l'oison lui étaient aussi consacrés : ils accompagnent quelquefois ses statues. Cérès (Déméter) Dans la mythologie romaine, Cérès

idée sinistre de vie après la mort et indiquerait la condition pour l’atteindre. Nous pouvons ajouter à cela d’autres éléments relatifs tels que la présence d’homme religieux mais surtout du Christ. Placé sur le haut d’un sceptre, encadré par le ciel, il relève encore une fois la spiritualité de la scène. Il représente le fait qu’à cette époque, l’Homme ne vivait et parlait que par la religion et était sous l’emprise de Dieu, notamment grâce au fait qu’il soit le personnage

cependant Napoléon aura pour sur son manteau, des abeilles : symbole du travail tandis que Louis XVI avait des fleurs de lys : symbole de la royauté française. Pour ce qui est du reste, Napoléon aura exactement la même tenue, épée, main de la justice, sceptre et couronne qui sera de laurier pour lui. Le décor : rideau, pilier et trône. Tout comme Louis XVI, Napoléon sera debout afin de montrer une certaine prestance, un certain pouvoir. L’expansion territoriale Devenu empereur, Napoléon accroît son

pape Pie VII, assis à droite, tend la main en signe de bénédiction. Napoléon prend ici ses distances avec le protocole monarchique et veut rompre avec l'héritage Bourbon. Néanmoins, les différents objets rappellent les regalia royales : couronne et sceptre sont présents. L'empereur est sacré et devient un monarque de droit divin auquel on doit obéissance au nom de Dieu comme l'exige le Catéchisme impérial imposé par décret impérial du 4 avril 1806 dans toutes les églises de l'Empire. Le décor antiquisant

la parole « Tu n'as plus la parole. A qui pourrais-tu parler ? » = solitude II- Ascension vers la mort A- Perte de ce qui est typique de l'homme Parole, cœur, respiration → à la fin du passage +quitte, abandonne sa fonction royale Image du sceptre, assimilé à 1 gourdin → dévalorisant B- La mort fait son œuvre avec 1 corps qui cède Passe de « raidit ses membres » à « immobile » +comparaison qui accentue le corps figé Reine prend possession de son corps -impératif → « donne » à « abandonne

religieuse, qui symbolise à la fois la dignité royale et de la piété chrétienne. Les sceaux officiels de Philippe II Auguste, roi de France (1180), montrent clairement une seule fleur-de-lys sur le revers. On peut remarquer le roi assis, tenant un sceptre dans sa main gauche et une fleur-de-lys dans sa main droite. Symbolisme religieux En ce qui concerne le christianisme, la fleur-de-lys représente la pureté associée à la Sainte Vierge Marie. L'église catholique romaine a attribué le lys comme

clercs d’avocat et notaires du Parlement, et les Enfants sans Souci, composés d’étudiants, de jeunes nobles désœuvrés, de poètes sans le sou, qu’on appellera aussi ‘les Sots’. Habillés comme des fous de cour, portant des oreilles d’âne et une sorte de sceptre à grelots. Les Sots fondent  la Sotie , une pitrerie satirique qui doit démontrer leur hypothèse selon laquelle la société toute entière est composée de fous. La Farce de Maistre Pathelin, écrite en

droite un sceptre qui pourrait caractériser le pouvoir politique et dans l’autre main il tient un livre qui pourrait être le livre « Cantique des Cantiques » un recueil que Salomon aurait rédigé à la gloire de Dieu. Il a lui aussi une auréole, qui prouve sa sainteté aux yeux de l’artiste. Voici un vitrail de l’Eglise Saint Aignan de Chartres datant de 1531. Le vitrail correspondrait à la venue de la reine de Saba en Israël. La reine est à genoux devant Salomon, il semblerait qu’avec son sceptre (qu’on

théâtre du monde, on est donc face à un jeu de mise en abyme où le théâtre dans le théâtre vient représenter la vie. Dans cette pièce le Monde est celui qui exécute et représente l’auteur : « tu ne garderas de mes mains cruelles ni pourpres, ni sceptres, ni lauriers. ». L’auteur quand à lui représente Dieu, ainsi c’est lui qui donne à chacun un rôle à jouer tout en restant muet sur l’interprétation. Le Monde est celui qui donne et reprend il est le porte parole de l’auteur ; de dieu. C’est donc

tel… -propositions juxtaposées: Plus j’y pense, et plus cela m’effraie. -le comparatif et le superlatif: plus effrayant que, le plus effrayant. -le complément circonstanciel de comparaison: «elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un sceptre de plomb à mes côtés». Il peut être introduit par des locutions prépositives: à la manière de, à la façon de, en comparaison de; des locutions conjonctives: ainsi que, de même que, la conjonction: comme. b) La métaphore : La métaphore est une figure