Sceptre

aussi par un festin, précédé d'un sacrifice : "nous fêterons notre hôte et offrirons de beaux sacrifices aux dieux" ; Alcinoos veut "immoler huit cochons aux dents blanches, douze brebis, deux boeufs à la démarche torse..." et il convie "les rois à sceptre" à ce banquet (VIII, v.24-26) Festoyer est à la fois une marque d'hospitalité et un divertissement : Des enfants d'Eole, Ulysse dit au chant X, v.8 à 11 : "eux, auprès de leur père et de leur souveraine mère, toujours festoient." et, dit Ulysse v

quelquefois trompette[1] ; Érato : couronne de myrte et de rose, tambourin, lyre, viole, cygne ; Euterpe : flûte simple ou double et un autre instrument de musique (trompette) ; Melpomène : cor, couronne de pampre de vigne, épée, masque tragique, sceptre à ses pieds ; Polymnie : couronne de perles, instrument de musique (souvent un orgue) ; Terpsichore : couronne de guirlande, instrument de musique à cordes (viole, lyre par exemple) ; Thalie : couronne de lierre, instrument de musique (souvent

deux reines, devant mais en symétrie. Quant au médecin, il sort par le même côté que le roi (examen médical ?) - 1er persg = le roi Bérenger Ier (nom récurrent chez Ionesco). Portrait l.20-23. Possède attributs royaux « manteau de pourpre, couronne, sceptre » + commentaire sur son allure « pas assez vif » qui est capital pour le déroulement de la pièce puisque l’on va assister à la déchéance physique de celui-ci tout au long du spectacle. 2ème persg : la reine Marguerite. Ordre « chronologique » des

Activité : reconnaître les symboles royaux a. 9; b. 5; c. 8; d. 3; e. 4; f. 10; g. 7; h. 6; i. 2; j. 11; k . 12; l. 2; m. 3; n. 1; o. 4 Le pharaon porte les symboles du pouvoir : une couronne appelée Pschent qui symbole l’union de l’Egypte, des sceptres qui symbolise l’autorité (crosse et bâton de berger) une coiffure (Nemes) surmontée de deux animaux protecteur (le cobra et le faucon) III Les dieux Les Egyptiens sont polythéistes. Les dieux sont généralement représentés avec un corps d’humain

plusieurs pouvoirs : Il contrôle le temps. Il est le dieu de la pluie et du vent. Et contrôla foudre. L’éclair est un de ses symboles. Il est le symbole des armées Il est le dieu de la famille Il fait les lois. Les symboles de Zeus sont : le sceptre en bois de cyprès, symbole de sa royauté tenu de la main gauche. l'égide qui est une arme, elle sert aussi à déclencher les orages. la foudre, qu'il brandit de sa main droite a été fabriqué pour lui par les Cyclopes. L’aigle.

Louis XIV. La phrase " chien a un collier d'or ", chien qui est ici les forces armées, nous renvoie aux dépenses conséquentes de Louis XIV dans sa politique de guerres et de conquêtes . " La houlette " l.16 qui est la bâton du berger nous renvoie au sceptre que détient le souverrain et qui est le symbole du pouvoir. CONCLUSION : Ainsi La Bruyère dénonce les excès de l'absolutisme royale en aynt recours à un cadre pastorale et en utilsant deux genres littéraires : l'apologue et le récit. Il veut que

d’oliviers en or (La couronne de laurier en or représentait le lien entre la statue et les Jeux Olympiques, car les gagnants des jeux portaient une couronne de laurier). La Victoire que le dieu tient dans la main droite (statue de la déesse Athéna) et le sceptre surmonté d’un aigle en or, se dresse du coté gauche, ensuite vient les sandales en or et le manteau drapé de la même matière. Le socle de pierre noir sur le quel reposait la statue avait une bordure destinée à contenir de l’huile pour conserver la

novembre 1799 qui met en place le Consulat. Continuité ou rupture avec l’ancien régime ? Un pourvoir héréditaire, Napoléon met en place une nouvelles dynastie. Un pouvoir absolu, Attribut du pouvoir (légion d’honneur hérité de la monarchie (sceptre pourvoir exécutif, main de justice pourvoir judiciaire). Symbole hérité du pourvoir de l’empire romain la couronne de lauriers et la couleur pourpre des habits. Il ya de nouveau symbole, abeille. Cérémonie du sacre le 2 décembre 1804 mais il ya eu

souffrances de ce héros ; elle songe avec douleur que le fils de Laërte est encore retenu dans les demeures de la nymphe Calypso. 7 « Jupiter, dit-elle, et vous tous, dieux immortels et fortunés, écoutez-moi. Que désormais aucun des rois portant le sceptre n'ait plus dans son cœur ni bienveillance, ni affection, ni tendresse pour son peuple ; qu'il ne conçoive plus en son âme des pensées équitables et justes ; mais qu'il soit toujours cruel et ne commette sans cesse que des injustices. Car nul ne se

tragédie, le genre le plus élevé du théâtre selon Aristote, se déroule le plus souvent dans un palais et représente la chute de rois ou de reines. Beaucoup d’éléments de la mise en scène connotent la royauté. Les objets d’abord : trônes, couronnes, sceptre, symboles du pouvoir. Le décor, contrairement à la didascalie initiale de la pièce, ne comporte pas d’élément gothique mais des murs pourpres. Ceux-ci évoquent à la fois le rideau du théâtre et les rideaux de velours qui servaient d’arrière-plan