Schneider Electric

plus est, un secteur de coûts réductibles. Ce « continent noir de l’économie », comme aurait dit Peter F. Drucker, est un des domaines où pour beaucoup d’entreprises il existe des possibilités importantes de gain. Une entreprise telle que Schneider Electric a positionné la fonction logistique au plus haut niveau de l’entreprise et c’est selon un plan de marche très ambitieux que cette entreprise déroule depuis 2006 un ensemble de mesures destinées à atteindre des objectifs en ligne avec les benchmarks

entrants en Chine18. La présence des entreprises françaises s’élevait à 1800 implantations pour 850 sociétés, parmi lesquels la plupart des grands groupes français : Carrefour, Lafarge, Alstom, Airbus, PSA, Saint-Gobain, Suez Environnement, Schneider Electric, Sanofi, etc. Au total ces entreprises employaient en 2007 plus de 250 000 personnes et se répartissaient pour 50% dans le domaine de l’industrie, 40% dans le secteur des services19 et 10% dans celui de l’agro-alimentaire et des biens de consommation

Présidente du Groupe Financière Centuria (GFC) – Présidente de Financière Accréditée (filiale de GFC) – Présidente de Centuria Luxembourg (filiale de GFC) – Présidente de Financière Centuria Asset Management (filiale de GFC) – Président d’Honneur de Schneider Electric SA et de Square D – Membre du Conseil de Surveillance de Lagardère SA – Membre du Comité d’Audit de Lagardère SA – Administrateur de Fleury Michon SA – Administrateur de BIPE Association – Administrateur de Swiss Helvetia Fund (États-Unis) –

des Sciences et Techniques de Tanger Détails des équipements pour chaque CTA: CTA N° : 8 Position de l’armoire A côté (10m) Commande Marche/Arrêt manuel M400 MFV 54 PS45 LG-Ni1000 QAM 2120.40 Plage de Mesure : -50, +80 °C Vanne régulatrice Schneider d’eau de refroidissement Sonde de température Variateur de vitesse Régulateur Puissance du moteur CTA N° : 9 Position de l’armoire Vanne régulatrice de l’eau de refroidissement Sonde de température Variateur de vitesse Régulateur Moteur CTA N° :

électrotechnique, 24% de l’informatique, 21% des pièces et sous-ensembles électroniques et 11% des machines et automatisation. Principaux investisseurs : Panasonic, Siemens, Bosch, TYCO Electronics, Celestica, Foxxcon. Présence française : Schneider Electric, M.L.S. Holice – groupe Leroy Somer. LA MECANIQUE Constructions métalliques et équipements mécaniques : En 2006, le CA était de 9,7 Mds d’euros et les exportations représentaient 4,7 Mds d’euros. De nombreux investissements étrangers ont permis

personne.p Claire Gatinois La «légalité» et la pertinence du choix d’Alstom-Schneider pour reprendre Areva T&D sont fortement contestées Les patrons des deux groupes repreneurs défendent l’intérêt de leur offre industrielle E Le rendez-vous des jeunes diplômés et des entreprises qui recrutent st-ce vraiment « un heureux hasard » si Areva T & D est tombé dans l’escarcelle du consortium français Alstom-Schneider Electric, comme l’affirmait, mardi 1er décembre, la ministre de l’économie, Christine

de l’élaboration du reporting interne sont identiques à celles utilisées pour l’établissement des comptes consolidés. 27 NOTE 3. PERIMETRE DE CONSOLIDATION A- Variation du périmètre de consolidation Le 20 janvier 2010, Alstom et Schneider Electric, agissant dans le cadre d’un accord de consortium, ont signé un accord avec Areva en vue de l’acquisition de ses activités Transmission et Distribution (« Areva T&D »). Suite aux approbations des autorités de la concurrence, l’acquisition a

 Le plus important précurseur de la communication en Gestion. 61 §3 – L’étude du terrain (E. Mayo) A - L’expérience d’Hawthorne George Elton Mayo (1880-1949), Universitaire d’origine australienne. Série d’expériences (1924-1932) à la Western Electric /Hawthorne, Chicago Les expériences : difficultés / hypothèses d’origine plutôt tayloriennes  But : quel impact des conditions de travail sur la productivité ?  Deux groupes étudiés  La productivité augmente… dans les deux groupes … 62 B -

rémunération versée. Il met donc en place un salaire au rendement, seul susceptible de stimuler la productivité des salariés. E. Mayo (1880-1949) s’éloigne radicalement de cette approche. Ses études les plus connues, menées au sein de la Western Electric Company de Chicago, lui permettent d’identifier un autre facteur de motivation : les relations humaines. Selon lui, l’intérêt et l’attention portés au travail des ouvriers provoquent une augmentation de leur motivation et de leur productivité. A

conséquent, plus productifs ». 14 Elton Mayo, et la naissance des théories psychologiques de la motivation Le psychologue australien Elton Mayo est l’un des premiers à s’intéresser à la psychologie du travail, dans les années 1920. En 1924, La Western Electric, basée à Hawthorne, souffre du « mal taylorien » (démotivation à cause des conditions de travail et isolement des travailleurs) et décide de tester le rôle de l’éclairage sur la productivité. L’objectif est de savoir s’il est possible de répondre