Schopenhauer Extrait Le Monde Comme Volonté Et Comme Représentation

Devoir de philosophie n°3 Schopenhauer, philosophe allemand du 19ème siècle, exprime sa vision de la conscience dans son ouvrage Le monde comme volonté et comme représentation. Dans cet extrait l'auteur s'oppose à la vision traditionnelle de la conscience. Comment Schopenhauer montre-il son opposition à la vision traditionnelle de la conscience ? Pourquoi le fait-il ? Avons-nous réellement connaissance de nos souhaits ? Quelles sont les raisons qui nous poussent

un texte de Schopenhauer issu de « Le monde comme volonté et comme représentation ». Le thème s’articule autour du désir. Nous montrerons dans cette explication de texte la thèse de l’auteur, les étapes de son argumentation et enfin une critique sur ce problème philosophique. Dans cet extrait l’auteur explique sa pensée sur la notion du désir. Le désir est une envie : C’est le fait, la nécessité de vouloir quelque chose, d’avoir un besoin de quelque chose... Dans son texte Schopenhauer ne parle pas

plus heureuse vie. Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860) Schopenhauer qui, plus que tout autre, a voué sa vie à la philosophie, est l’homme d’une intuition unique, d’un seul livre fondamental : « Le monde comme volonté et comme représentation ». Schopenhauer affirme lui-même que son « système philosophique se forma dans sa tête, en quelque sorte sans sa volonté, comme un cristal dont tous les rayons convergent vers le centre ».  La célébrité tardive et posthume de Schopenhauer est due, non à l’armature

nous procurer le bonheur, la satisfaction de nos désirs ressemble ainsi davantage à une forme de déception. C'est à ce phénomène que s'intéresse Schopenhauer dans ce texte extrait du Monde comme volonté et comme représentation. Il y explique en effet que nous n'accédons à la satisfaction et à la jouissance qu'indirectement et en réalité négativement, comme annulation de la privation et de la souffrance que représente le désir. Par là, il apporte des éléments de réponse à la question suivante : pourquoi

esprit un idée qui est toujours présente : « J’aimerai posséder cette voiture ou cette demeure ». C’est ici qu’apparaît le désir. Cette idée est en fait la recherche du plaisir mais cette recherche enveloppe aussi la douleur. Dans le texte de Schopenhauer, il est expliqué que la satisfaction ou le bonheur ne vient pas seul, qu’il n’y a satisfaction que parce qu’il y a désir en premier lieu. L’auteur explique que le malheur ou la souffrance existe elle aussi grâce au désir, par le manque. Tentons

Commentaire de texte : Arthur SCHOPENHAUER Arthur SCHOPENHAUER, dans cet extrait de Le monde come volonté et comme représentation qui est un de ses ouvrages le plus connu, nous explique comment, d’après lui, l’histoire ne peut pas être considérée comme une science au même titre que les mathématiques ou la physique. Du début jusqu’à « elle est condamnée à ramper sur le terrain de l’expérience » (l.10), il nous expose sa thèse et nous explique la différence fondamentale entre l’histoire et les sciences

Métaphysique de l’amour – Schopenhauer Métaphysique de l’amour, extrait de Le Monde comme volonté et comme représentation est un texte d’Arthur Schopenhauer écrit en 1818. Il évoque les thèmes du désir amoureux,  qui est d'abord caractérisé par la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir ; et de l’inconscience, qui relève de l’ensemble des phénomènes psychiques dont nous n’avons pas conscience. Il avance une théorie selon laquelle les hommes ne sont pas maître de

1/ Qui sont les sophistes ? Nous avons vu que les philosophes s'intéressaient surtout au monde, à l'univers. Mais, à partir de 450 av. JC, à Athènes, le centre d'intérêt changea : l'étude de la nature fit place à un questionnement sur l'homme et sa place dans la société. Apparaissent ici des personnages sans doute plus intéressants pour l'histoire que ce que la tradition n'en retient généralement : les Sophistes, dont deux représentants célèbres, représentés par Platon dans ses dialogues, sont

image. Basil a parlé de lui au chap. I comme d’un jeune homme aimant à être flatté, et manifestement égocentrique (il lui arrive de faire souffrir Basil par insouciance). b) Un Narcisse qui s’ignore encore Cpdt, Dor, encore jeune, n’est alors cst ni de sa beauté ni de ses aspirations. L’image flatteuse et l’avenir de jouissance que LH lui propose ne peuvent que séduire un tel héros, et trouver des résonances en lui. Dès lors, il s’abandonne à cette représentation de lui-mm qui devient l’objet de son

1782 (donc fin 18ème). Ce roman est une publication posthume et inachevée. La partie finale de ce roman, qui se compose en 10 promenades, avait été rédigé quelques semaines avant la mort de Rousseau. La cinquième promenade dont notre extrait est tiré, fait l’éloge de la « far niente » (d’une activité sans contrainte). Ce texte a été rédigé selon les souvenirs de Jean Jacques Rousseau à la suite d’un voyage sur l’ile de Saint Pierre au milieu du lac de Bienne en Suisse. ▪ Résumé