Science Et Religion

La religion I. Les caractéristiques de la religion Les premières définitions: Sens général: « Une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c'est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée Eglise, tous ceux qui y adhèrent. » Durkheim Naissance du mot: La religion désigne d’abord le christianisme dans le monde romain. Le pouvoir religieux se sépare du pouvoir politique alors

Toutes les religions sont impérialistes et cherchent à "rassembler" le maximum de fidèles, fut-ce au prix de conversions forcées, de massacres et de guerres. Ds supl au voyage de B., Diderot montre les méfaits de la christianisation sur les peuples des iles. Ensuite parce que toutes les religions, oui toutes, pratiquent le lavage de cerveau, l'endoctrinement, la restriction de la liberté de penser , quand ce n'est pas la restriction de la liberté tout court (je pense en particulier aux femmes)

désigne la conviction de croire en une religion donc en un dieu, la raison vient du latin « ratio » qui veut dire calcul le concept de raison est donc une des facultés de l'homme à réfléchir, à raisonner, et à comprendre. La foi est-elle compatible avec la raison ? Nous allons donc parler dans une première partie de l'évolution des croyances de l'homme, dans une seconde partie de l'homme et de la raison, ensuite du rapport de la philosophies et de la religion, et enfin nous conclurons, et proposerons

être la connaissance. I. QU’EST-CE QUE LA PHILOSOPHIE ? I.1. La philosophie comme « amour de la sagesse ». Etymologiquement, l’expression « philosophie » vient du grec philein (aimer) ou philos (amour) et sophia (sagesse, savoir, connaissance ou science). Cet amour qui sous-tend la réflexion philosophique se confond d’avec le désir, se définissant comme ce mouvement qui arrache l’individu à lui-même et le porte vers l’objet qu’il imagine source de satisfaction. Platon a bien saisi cette essence du

Scultpure Mosaïque architecture Architecture Architecture Thématique Arts et politique Art et politique et religion Arts et politique et religion. Arts et religion. Arts et politique et religion. Arts et politique et religion. Arts politique et société Arts et religion. Arts et politique Art et politique Arts et politique et religion. Arts et religion Arts et politique et religion. Arts et politique 5e Moyen Age 5e Moyen Age 5e Moyen Age 5e Moyen Age 5e Moyen Age 5e Moyen Age

LA RELIGION I) CONNAISSANCE DE LA NOTION La religion vient du terme latin « religio » qui signifie pratique, culte et du verbe « religare » qui signifie attachement. La religion est donc un attachement de l’homme à la divinité. II) LA RELIGION, UNE PRATIQUE ALIENANTE � Argument 1 : dans ses manifestation la religion prive l’homme de bsa liberté � Explication : les contraintes exigées par la pratique religieuse brisent l’aspiration de liberté de l’homme. � Citation : « la religion est un

technologie nous éloigne lentement de la religion Personnellement, je trouve que cette affirmation est juste et je l’approuve. Le monde avançant vite et la science des technologies progressant rapidement, il est vrai que la technologie nous prend de plus en plus d’ampleur dans notre société. Le cellulaire dominant le marché, beaucoup de personnes à travers le monde en possède au moins un. On n’a qu’à se poser la question suivante afin de connaître la réponse : la religion s’éloigne-t-elle petit à petit à

l’intelligence puisse atteindre, cause de toute chose et plus que cause : Dieu. Cependant la faillibilité de l’intelligence humaine est aussi un fait d’expérience. En témoignent aussi bien les itinéraires personnels que l’histoire des sciences. Si même la connaissance de l’être sensible est soumise à l’erreur, comment imaginer celle de Dieu en sa transcendance ? C’est ici que Dieu lui-même vient au secours de l’esprit humain. Expérience collective et individuelle de la transcendance. La

traumatisante ou de mode intellectuelle. Dès les années 1980-1990, débouchant sur le rapport du recteur Joutard de 1989, les raisons de fond ont été maintes fois et sous divers angles développées qui militent, en profondeur, pour une approche raisonnée des religions comme faits de civilisation. Argumentaire connu. C’est la menace de plus en plus sensible d’une déshérence collective, d’une rupture des chaînons de la mémoire nationale et européenne où le maillon manquant de l’information religieuse rend strictement

Les récents débats sur la laïcité nous ont conduits à nous interroger sur la place de la religion dans notre société : doit-elle se vivre strictement de manière privée, comme un moine peut le faire, à l'écart du monde, où doit-elle interpeller publiquement et officiellement l'État sur les questions de société ? Quand les religieux ne prennent pas position (exemple Pie XII à qui on a reproché son silence sur les atrocités nazies), on le leur reproche ; quand ils s'impliquent, on le déplore également…