Science Immorale

de ce sujet ? Mais même si elle est possible, n’est-elle pas immorale dans la mesure où elle aboutirait à considérer le sujet comme une chose, à le réifier ? La question Qui suis-je ?admet-elle une réponse exacte ? Pour le savoir, nous nous demanderons tout d’abord si c’est le sujet qui est seul capable de savoir exactement qui il est puisqu’il apparaît a priori comme celui qui se connaît le mieux. Puis, si ça n’est pas la science qui est à même de nous fournir les connaissances les plus complètes

que nous avons enregistré le plus de génocides et de massacres monstrueux. Ce n’est pas ici la pire représentation qu’on peut se faire de la technique ? Il n’est pas légitime d’utiliser la science et la technique à des fins cruelles et meurtrières. Or ce n’est pas interdit, c’est strictement illégitime et immoral, mais pas interdit. Voilà pourquoi notre sujet insiste sur le terme de « légitimité » et non pas de « légalité ». On montre ici l’absence de moralité de l’homme face au progrès de la technique

quelque chose, c’est tenir pour vrai, donner son assentiment à une idée, c’est donc une adhésion de l’esprit à une idée. Dans ce sens tout jugement est une croyance, des croyances vraies dont le savoir et des croyances probables, invérifiables, immorales. Il faut distinguer vérité et certitude car une certitude peut être fausse, il existe des certitudes subjectives et des certitudes objectives.il faut distinguer plusieurs types de croyances : Croyances vérifiées, démontrées Croyances dogmatiques

émergent dans le monde, le lecteur prend peur et remet en question les valeurs, et les principes qui animent les hommes. Le meilleur des mondes de Huxley est un avertissement sur les dérives de la société. Il montre les dangers de l’évolution et de la science : on se rend compte que le société présentée dans le livre, sur certains aspects, annonce la nôtre. Le monde d’Huxley est hiérarchisé, les membres sont crées artificiellement et conditionnés, leur gouts et leurs activités sont prémédités, tout est

La connaissance est subjective car on n’a pas le même expérience. La science elle, essaie de connaître mais c’est purement abstrait (on ne peut pas en faire l’expérience par les sens). Je connais de l’intérieur les lois scientifiques. On n’a pas de connaissance scientifique de l’autre. Il y a une approche scientifique possible pour les hommes (approche impersonnelle, abstraite). Il y a les sciences de la nature et les sciences humaines. Il y a deux types de connaissance : * Connaissance par

DEVELOPPEMENT I) Le monopole du savoir 1) La théologie : reine des sciences 2) Une hégémonie dans toutes les sphères de l’enseignement : l’inexistence de la science laïque 3) Un savoir dogmatique II) L’omniprésence de l’Eglise 1) L’inquisition : la justice de Dieu 2) Des relations houleuses III) En faveur du développement des Sciences 2ème PARTIE : L’EFFRITEMENT DU POUVOIR CLERICAL : LORSQUE LA SCIENCE ECHAPPE A DIEU I) La fragilisation de l’Eglise 1) Les premières

 de  choisir  seul  (ex  œuvres  de  Rabelais)   - conception  optimiste  de  l’homme  à  condition  de  recevoir  une  éducation  complète  (langues  anciennes,   sens  artistique,  science,  techniques,  nature  (cf  Gargantua  Pantagruel  de  Rabelais…)       2  La  contestation  des  vérités  de  l’époque   - Homme  mis  au  centre  de  la  réflexion    n’apparaît

que pour pouvoir vivre et aller dans le sens de la Vie, dans le sens du Christ (notre but et notre finalité), il fallait commencer par vouloir vivre, et cette décision était uniquement d'ordre morale. En théorie seuls les actes sont jugés moraux ou immoraux, mais pour le nouveau testament la moralité commence au sein même du sentiment. C'est d'ailleurs ce sentiment qui par envie, pousse à passer aux actes, tant dans le sens de la moralité que de l'immoralité. Morale et éthique [modifier] En français

; il n’en est pas moins vivant ; il est même seul vivant, car ses copies, toujours changeantes et périssables, méritent à peine le nom d’êtres, et, parce qu’il existe réellement, qu’il est éternel et immuable, il peut être connu et être objet de science. Platon a illustré sa théorie des Idées dans la célèbre allégorie de la Caverne, où les hommes sont comparés à des prisonniers enchaînés qui ne peuvent tourner le cou et n’aperçoivent sur le fond de leur prison que des ombres projetées par des objets

également citer le combat des lumières. Kant a écrit : « qu’est ce les Lumières ? La sortie de l’homme de sa minorité […] Ais le courage de te servir de ton propre entendement ». L’idée de raison et de démonstration permettront le développement de la science et de multiples découvertes inattendues, comme l’imprimerie. Idées qui permettent d’acquérir la connaissance et de sortir de l’obscurantisme. Les lumières sont pour la liberté et le libre arbitre. La tache des Lumière n’aura pas été aisée, sur tous