Science Immorale

wikipedia.org/wiki/Rationalisme#Le_rationalisme_moderne OU ALORS A. loi fondées sur dieu (descartes spinoza modernes), MODERNES DIEU Transition : mais dieu, donc métaphysique et hors de la nature  lois physiques positvisme B. loi fondées sur la science pure, POSITIVISME SCIENT Dans une conception plus radicale, Auguste Comte fonda le positivisme, pensant que le monde pouvait se réduire à des phénomènes explicables par des "lois" exprimées en langage mathématique. Cette position a été discréditée

représentation (lois de la physique, etc.) objective (vraie) de la réalité qui nous entoure. Cependant, il y a d’autres formes de connaissances qui s’éloignent de ce modèle scientifique comme, par exemple, l’histoire, la sociologie ou la psychologie (sciences dites « humaines »). Qui plus est, la raison a également une dimension pratique et morale où il ne s’agit non pas tant de connaître que d’agir. Le sujet invite donc à interroger ces formes diverses que peut prendre la raison humaine et demande quelles

rechercher les causes ; il n’est désiré que par les sots, les crapules et les tyrans. C’est le malheur et la peur qui fondent Dieu. - Il faut donc réhabiliter la Nature en la rendant à ses droits. Il faut développer les sciences de la nature tout en développant les sciences de la société (L’Encyclopédie). On veut démontrer que l’homme est naturellement sociable, qu’il peut trouver dans la nature les conditions de sa perfection. - Il y a donc lieu de recréer la société : Dieu ne peut plus être

 Cette fiche de lecture a été réalisée dans le cadre du cours "Formation d'adultes", donné par Madame BERTOGAL au sein de la Licence de troisième année Sciences Humaines et sociales, spécialité Sciences de l'éducation. Table des matières..................................................................................2 1. Introduction 3 2. L'auteur et son œuvre 3 2.1. Biographie 3 2.2. Place de l'ouvrage dans la vie de l'auteur 4 3. Résumé de l'ouvrage 4/5 3.1. Plan de l'ouvrage 5-9 4. Commentaires

avoir un comportement qui conduit vers cette idée du bien. Pour Platon c'est dans le domaine de l'idée pure que ce trouve la seule norme dans laquelle il est possible de ce référée quand on veut bien ce conduire dans la vie. Ainsi donc, toute la science du philosophe qui tend à contempler et a connaître les idées les plus hautes va nécessairement vers le bien et tout ce qui va ce faire va être émenté par cette idée du bien. Éthique de l'idéalité, qui trouve donc l'essentiel de sa force dans le

pas forcément. Ce n’est pas pour autant que chaque personne ne pense pas connaitre la vérité. Bien au contraire, chacun croit en son opinion et pense fortement que c’est lui qui détient la vérité. En effet, lorsque l’on se réfère au domaine de la science, tout homme ayant trouvé en premier une réponse à un problème, c’est directement convaincu d’avoir découvert la vérité. Mais sans pour autant chercher à savoir si une solution meilleure que la sienne avait été détenu et qui donc, dépasserait à la

condamner les comportements que cette dernière réprime. On peut donc dire que le droit annule les contrats pour cause immorale. Cette morale est une source d’inspiration du droit, même dans les parties les plus complexes de ce dernier, par exemple, pour la création de la loi du 24 juillet 1994 relative au respect du corps humain, l’avis du Conseil consultatif national d’éthique pour les sciences de vie et de la santé a été réclamé. Le rôle de ce conseil est de donné un avis morale sur la recherche et les

sceptique Faut-il alors reconnaître que la croyance est dénuée de tout fondement rationnel, et que la raison doit nous contraindre à ne plus croire ? Non pas : la foi doit demeurer ce qu'elle est, un objet de croyance, elle ne doit pas prétendre être une science procédant par raisonnements et démonstrations. Du pur point de vue théorique donc, les grandes questions de la croyance religieuse (la foi en l'existence d'un Dieu, la foi en l'immortalité de l'âme) sont purement et simplement indécidables, et le

Ensemble particulier de règles de conduite (syn. morale) ; Partie théorique de la morale. Le Petit Robert quant à lui donne : Morale : science du bien et du mal, des principes de l'action ; théorie de l'action humaine en tant qu'elle est soumise au devoir et a pour but le bien… Éthique : science de la morale ; ensemble des conceptions morales de quelqu'un ; décrit un comportement. Liée à la notion de mœurs, la morale prend en compte toute une dimension esthétique

s’impose à tous. Sociologie comme science des déterminismes. M. WEBER (1864-1920. Fondateur de l’école allemande de Sociologie), insiste sur la relation sociale c'est-à-dire que le comportement d’un individu s’explique par le jeu des relations qui s’établissent avec autrui. Mon agir est conditionné par la perception que j’ai d’autrui et par le jeu d’interrelation. Le milieu social est le produit de l’interaction entre les individus. Sociologie comme science des interactions sociales. Deux conceptions