Scientisme

sans conditions de cette connaissance comme un savoir absolument vrai c'est-à-dire non critiquable positivement s’appelle le scientisme . La science se rapproche alors d’une théologie rationnelle . Le qualificatif scientifique a longtemps été considéré comme un gage de fiabilité absolu par le grand public . Dans cette perception de la science qui se rapproche du scientisme de nombreuses personnes ont été amenées à croire que les scientifiques font dans leur travail, la preuve de l’infaillibilité

l’État à encourager les activités économiques de production et d’échange. Question 6 Qui a parlé pour la première fois, en France, d’« économie politique » ? A. Antoine de Montchrestien B. Jean Bodin C. Colbert D. Karl Marx Réponse 7 B. Le scientisme est une idéologie apparue au XIXe siècle, selon laquelle la science est seule capable d’organiser l’humanité car elle explique tout. Ce qui est démontrable scientifiquement est institué comme vrai. Les scientistes prônent ainsi le règne de la raison

danger pour les autres disciplines est-il un danger pour l’homme ? Ne faut-il pas au contraire se réjouir du « triomphe de la science » sur l’obscurantisme, l’ignorance ou le mensonge dans lequel s’abritaient les pires régimes ? III) Le danger du scientisme : Cette dernière partie remet en question la domination de la science dans le domaine de la vérité. On s’interroge ici sur ce qu’est au fond une « vérité scientifique ». Pour Husserl par exemple, une vérité scientifique est une vérité de fait. La

{draw:frame} {draw:frame} {draw:frame} _ Quand les manches d'un costume sont trop grandes. Pour l'ajuster, est-ce que l'on retaille les manches ou l'on coupe les bras du client ?_ Un des papes de l'ultra libéralisme Hayek (Scientisme et sciences sociales) ironise sur le "scientisme". J Généreux conclut :" La victoire politique du néolibéralisme ne peut s'afficher comme une victoire des riches sur les pauvres… il lui faut donc maquiller sa victoire politique en nécessité scientifique...pour décourager

réflexion citoyenne. Le mythe de la croissance ne nous abuserait-il pas ? Depuis l’époque dite « moderne » les technologies nouvelles fascinent l’humain qui s’en émerveille. Les technologies sont érigées au niveau d’une religion de la science (scientisme) qui place l’humain dans une perspective de d’évolution, de croissance des biens qui semble infinie. Les textes bibliques interprétés au cours des siècles par la religion et les pères de l’église justifient l’idéologie de la croissance en référence

 3) La démarche expérimentale. - observation des faits - élaboration de l'hypothèse - vérification expérimentale  4) Vérification et falsification. (théorie et réalité) -(Texte 5 d’Einstein, extrait de l’Evolution des idées en physique). 5) Le scientisme en question : les limites de la science. III La valeur de la vérité. 1) La recherche de la vérité : un idéal incontestable? - a) La vérité comme condition du sens de notre pensée. -b) Devoir de vérité ou droit au mensonge? (Toute vérité est-elle

«Le ''miracle'' de l'homme par l'homme.» 1. Une argumentation explicite. 1.1 Une thèse clairement exprimée au début et à la fin. 1.2 1er argument : un phénomène historique exceptionnel. 1.3 2ème argument : L'idéologie trompeuse du scientisme. 2. Une argumentation implicite. 2.1 1er argument : les limites de la nature. 2.2 2ème argument : les atteintes à l'humanité. 2.3 Deux arguments liés. Texte n°3 «Réconcilier l'homme et la nature.» 1. Une apologie de son engagement

obstacles épistémologiques - la science progresse grâce à des erreurs passées. La somme de connaissances présente en science aujourd'hui est susceptible - on a tendance à croire que la science a réponse à tout et que ses réponses sont éternelles (scientisme) - certains discours philosophiques peuvent paraitre logiques dans leur raisonnement mais faux en réalité (syllogisme sophistes) - la philosophie n'apporte pas de réponse précise à un problème donné (ex : doit-on abolir la peine de mort

que la recherche du plaisir et l’évitement du déplaisir constituent l’objectif de tout être humain. (doctrine reprise également par F. Herzbeg dans sa théorie de l’organisation du travail, qui ne sera pas abordée dans cette fiche de lecture.). Scientisme : vision du monde qui fait l’éloge de la science, qui place la science au cœur de tout domaine. Le développement de la science entraine le progrès des sociétés selon les scientistes. Taylorisme : Théorie de Taylor édictée en 1906 qui reprend le

anthropologique : subjectiviste, humaniste et rationaliste. Ces neuf qualificatifs recouvrent autant d'erreurs capitales et fatales qui ont entrainé l'Occident dans une absurde vision du monde fondée sur le conflit de tout contre tout. Le positivisme, le scientisme et le darwinisme en sont les déclinaisons directes. L'industrialisme, le financiarisme et le consumérisme aussi. Toute la pensée de Descartes se construit sur ce fameux point d'appui qu'est la première et seule certitude directement accessible