Scientisme

de toutes les facultés 3. Que deviendrait la vie humaine si elle était effectivement régie dans toutes ses parties par la science ? Mécanisation de la société et destruction de l’homme comme subjectivité. – Rejet d’une telle perspective : le scientisme repose sur un oubli de l’activité créatrice de l’esprit et de la subjectivité humaine dans l’élaboration de la science. – La culture est nécessaire non seulement pour l’esprit, mais pour la science elle-même ; et cette culture doit être universelle

(alphabétisation) ⇨ Les élites préservent leurs valeurs ⇨ Apparition de la « masse » I. Du culte de la science à la fin des tranquilles certitudes A. Le moment positiviste et scientiste 1. Définition et diffusion du positivisme et du scientisme ( Auguste Comte, entre 1830 et 1857 : La science est la religion de l’avenir et permet de percer les mystères de la nature, les mécanismes de l’univers et les secrets de la création. ⇨ Foi absolue en la science qui conduit l’humanité au

2)Les limites de l évaluation a)Le cadre légal b)Notion de pouvoir de contrôle et de puissance L’évaluateur détient le pouvoir par la hiérarchie, le contrôle est donc une obligation légale. Selon le MEDEF c’est de la responsabilité de l’entreprise, donc du manager de conduire l’évaluation. Mais l’évaluation peut aboutir à de la pression, une souffrance des salariés. La responsabilité de l’entreprise est engagée car elle délègue le pouvoir d’évaluation au cadre. L’entreprise est caractérisée

Utopie et Liberté (la vérité comme errance) Les différentes dimensions de la vérité (conformité, vérification, impartialité, authenticité) peuvent donner l’illusion qu’il suffirait de "rétablir le sens des mots" comme le voulait Confucius, rejoignant une idéologie scientiste et logiciste, où les problèmes bien posés et un langage bien employé permettrait un accord et une certitude supprimant tout conflit. Pourtant dans ce monde objectif (psychotique en fait) il n’y a plus de nécessité d’échange

S’il est un lieu commun répandu aujourd’hui, c’est que nous serions débarrassés des croyances. L’athéisme indifférent de l’homme post-moderne regarde la croyance comme un phénomène étrange qu’il tolère comme une curiosité culturelle. On fait le parallèle avec les idéologies en pensant que se débarrassant des idéologies politiques, nous avons perdu toutes nos croyances. Les nostalgiques du positivisme, ceux qui professent une attitude scientiste, diront aussi qu’avec la science moderne, nous nous

3e partie : les pratiques humaines A. La croyance en la science Introduction : La science décrit ce qui est (un jugement de fait) et la croyance s’interroge su ce qui doit être (un jugement de valeur). Ex : « cette chose est blanche », description. « Cette chose est bonne », lui attribue une valeur. Or, « ce qui est » ne peut-il encore être une croyance ? Affirmer l’objectivité des connaissances n’est-ce pas encore un objet de croyance ? Définir la notion de « croyance » : 1) simple opinion (croire

l’échec, ou à la dictature, toute tentative de planification de l’activité économique. Par contre, il existe des « ordres » naturels ou spontanés – en particulier le marché – qui conduisent à une « harmonie » qu’il nomme catallaxie. Opposé au « scientisme » en économie – l’habillage mathématique n’étant pour lui que de la poudre aux yeux – Hayek est plus proche des classiques que des néoclassiques. Dans les années 1970, paraît Droit, législation et liberté. Pour Hayek, la perspective d’une justice

dévitalisation de l’être. Nous sommes passés d’un cosmos platonicien au sein duquel l’âme est fonction de la grandeur de cohérence rationnelle à un cosmos scientifique dont l’âme, ou tout autre type de principe formel, sont niés. Ce passage du monde grec au scientisme moderne fut rendu possible par le passage du judéo-christianisme dont la charge fut de retirer la présence d’une âme au sein du monde afin d’affirmer plus radicalement la création du monde par Dieu, ce dernier étant le seul principe cosmologique

Les Progrès des sciences expérimentales vont-ils à l'encontre de la foi religieuse ? Les sciences expérimentales sont basée sur la théorie, la vérification par l'expérimentation puis sur leurs mises en pratique. Elles s'apparentent donc aux sciences "dures", seules susceptibles de nous apporter des vérités définitives, de dégager des lois universelles. La foi religieuse, elle, se base sur la croyance, sur la conviction de l'existence d'un Dieu créateur. Ainsi, pour Kierkegaard, "la Foi est une

"Définition" du symbolisme d'après http://www.site-magister.com/symbolis.com :  e symbolisme correspond à une réaction contre le matérialisme scientiste, dont la forme littéraire triomphante au XIXème siècle est le naturalisme : celui-ci est accusé de ne proposer qu'une vision mécaniste de l'homme et de l'univers, enclose dans une description objective. C'est au contraire à la suggestion que s'attacheront ces jeunes poètes qui partagent encore du Romantisme le pessimisme désabusé : Charles Cros