Second Prêche Paneloux

Comment le roman de Camus peut-il se lire suivant de multiples lectures, sans pour autant qu'elles s'excluent entre elles? LECTURES ANALYTIQUES Texte1 : Incipit du roman, pp. 11-12, du début à « le hasard des cartes. » Texte 2 : Début du prêche de Paneloux, pp.91-92: "Il avait une voix forte, passionnée..." à "...les ténèbres de la Peste". Texte 3 : le débat avec Rambert, pp. 150-152, « Il demanda à Rieux comment marchaient les formations... » jusqu'à la fin de la partie. Texte 4: Explicit, p278-279

« Des origines à 1894 : Histoire d'un fléau immémorial, la peste », In herodote.net (???) – Wikipedia (2003), « La Peste » La Peste est un roman en cinq parties dont la première édition est apparue en 1947, soit deux ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale en Europe. Ce roman s'inscrit dans le « cycle de la révolte » définie par Camus lui-même, aux côtés de L’État de siège, spectacle en trois parties paru en 1948 qui aborde l'instauration d'un régime totalitaire au moyen de l'instrumentalisation

reconnut. C'était le père Paneloux, un jésuite érudit et militant qu'il avait rencontré quelquefois et qui était très estimé dans notre ville, même parmi ceux qui sont indifférents en matière de religion. Il les attendit. Le vieux Michel avait les yeux brillants et la respiration sifflante. Il ne s'était pas senti très bien et avait voulu prendre l'air. Mais des douleurs vives au cou, aux aisselles et aux aines l'avaient forcé à revenir et à demander l'aide du père Paneloux. — Ce sont des grosseurs

l’extrême cruauté de la maladie. Elle s’installe, s’incruste, envahit l’air, la terre et les corps et les englue dans son atmosphère épaisse et malsaine. De nouveaux personnages font leur entrée aux côtés de Rieux : Grand, Tarrou, Rambert, Cottard, Paneloux, chacun harnaché de son ballot d’espoirs, de doutes, de désillusions, de peines, ou de secrets. Des liens se nouent entre ces hommes séparés de leurs repères, prisonniers dans un cube virtuel aux frontières irradiées de mal. On les voit lutter, aider

grands malheurs sont monotones. » p.142 La plupart des personnages de premier plan sont des hommes. Les seules femmes présentes sont des mères et incarnent patience et douleur. Ils constituent des figures sociales : un médecin (Rieux), un prêtre (Paneloux), un journaliste (Rambert), un fonctionnaire municipal (Grand), un juge (Othon), un trafiquant (Cottard). À leurs côtés, Tarrou, ami du médecin, fait figure de philosophe solitaire. 3 Rieux, médecin, constitue, de facto, le personnage principal

multiplié par 4= 24, ce qui rappelle le cadran du'une horloge). - rimes riches (v.1, v.4, v.22, v.23) -rimes suffisantes (v. 2, v.3, v. 10, v.11) Champ lexical: Le temps: v.1 (horloge), v.4 (bientôt), v.13 (heure, seconde), v.10 (rapide), v.11 (autrefois), v.15 (les minutes), v.17 (temps), v.21 (heure), v.23 (tard). Vocabulaire: Sylphide: génie aérien féminin Folâtre: insouciant Gangues: sorte d'écorce autour de mineret Délice: c'est la vie (ainsi que

les contrariétés qu'il rencontre. |Sommaire | Synopsis Il est difficile d'essayer de résumer la Recherche sans tomber dans la caricature, comme dans le sketch des Monty Python organisant un « Concours du meilleur résumé de Proust en 15 secondes » [1]. On rappellera simplement, à titre d'aide-mémoire, les principaux éléments du cadre narratif. Marcel, jeune homme hypersensible né dans une famille bourgeoise parisienne vers la fin du XIXe siècle, veut devenir écrivain. Cependant la tentation

dit transformant l’explication linéaire en paraphrase inutile, pourrait y parvenir. Inversement, une démarche prenant du recul par rapport au texte au point de le perdre de vue paraît tout aussi condamnable. Proposons un exemple concret, le début du second chapitre de L’Ingénu. Voltaire y souligne les talents de l’Ingénu, bien né et bien disposé naturellement, et dénonce a contrario le laxisme des sociétés réputées civilisées, préférant à l’instar de la France du XVIIIe siècle se prélasser plutôt qu’agir

même temps, Racine, piqué au vif par une phrase de Nicole sur les poètes comparés à des « empoisonneurs publics », lance contre Port-Royal une petite lettre qui est un chef-d’œuvre d'esprit et un acte de noire ingratitude; il allait en publier une seconde, quand Boileau l'arrêta.   De 1667 à 1674, Racine donne, toujours avec succès, mais non sans luttes ni polémiques: Andromaque (1667), les Plaideurs (1668), Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672),Mithridate (1673), Iphigénie (1674). En

a été adopté : Une première partie expose l'absurde, qui pourrait être considéré comme étant l'état du monde sans Dieu ; face à cet absurde, une triple solution est possible : le suicide physique ou philosophique, et le maintien de l'absurde. Une seconde partie présente la condition humaine, situation de l'homme sans Dieu : elle est à la fois métaphysique et historique. Une troisième section expose la révolte contre la condition métaphysique et historique. Finalement, la dernière partie traite de