Secteur De La Haute Joaillerie

une politique expansionniste de ses marques, le groupe possède un portefeuille prestigieux englobant un total de plus de soixante marques, à travers une grande variété de secteurs tels que : * Les vins et les spiritueux * La mode et la maroquinerie * Les parfums et les cosmétiques * Les montres et la joaillerie * La distribution sélective Entre créativité et excellence, le groupe possède 2545 magasins et à établit un chiffre de vente de 20320 millions d’euros pour l’année 2010

fakir | Sommaire : I-Secteur de la beauté au Maroc  II-Historique de la beauté au Maroc  III- l’activité du secteur de la beauté  A- La maison CHANEL  B- Coco Chanel une création captivante et sensuelle  C- La clientèle ciblée D- -La qualité (stratégie prix) E- La stratégie de distribution F- Chanel, Yves Saint-Laurent &Vuitton relancent la guerre du parfum. G- Les implantations H- Fonction de chaque associé  CHANEL I-Secteur de la Beauté au Maroc :

les Russes ont pu récupérer les rives de la Volga grâce à l’implication des Cosaques (une caste guerrière), ainsi pour les récompenser de leur contribution à la victoire contre les Mongoles, les russes leur ont laissé la gestion de la pêche dans ce secteur contre quelques fourrures et du caviar qui ne valait à cette époque pas grand-chose. C’est à cette époque donc qu’arrive le caviar en Russie et séduit les premiers Romanov, en 1675 le tsar Alexis 1er déclare le caviar monopole impérial, il arrive

Rapport final Analyse stratégique de l’entreprise Hermès Le cas Hermès, c’est celui d’une success story atypique dans le secteur du luxe. En effet, dans un secteur dominé par les grands groupes industriels comme LVMH ou PPR, Hermès est resté une entreprise familiale. Aujourd’hui encore, après six générations, les héritiers du fondateur Thierry Hermès possèdent plus de 70% de la société. Cette réussite repose sur une stratégie finement pensée et maîtrisée. Hermès

Les jeunes et le luxe - Génération caméléonCONSOMMATIONModes de vie ISSN 0295-9976 N° 57 - 3 1 mars 1991 Les jeunes et le luxe Génération caméléon Danielle Altérés Au cours des années quatre-vingt, le secteur de la mode a connu un engouement certain, et le marché des produits de luxe s'est développé à un rythme de 7% à 8%, près de deux fois plus rapide que l'ensemble de la consommation. Cette demande explosive est accom­ pagnée de l'apparition de marques de plus en plus nombreuses, françaises

globalisation et d’enrichissement des populations, le luxe est devenu un symbole mondial de réussite sociale. Ce phénomène lié à la flexibilisation de l’accès au crédit constitue un élément explicatif non négligeable de la croissance du profit du secteur de luxe. Si d’un côté les populations s’endettent pour donner une ‘’bonne image sociale’’ en détriment de leur propre confort, de l’autre les maisons du luxe stimulent ce comportement en investissent très fort en marketing et notamment dans des lignes

qui permet de concevoir un objet grâce aux logiciels accessibles et le produire avec un coût relativement abordable. Actuellement appliquée dans plusieurs domaines tels que la médecine, l’industrie aéronautique, aérospatiale, architecture, mode et joaillerie, alimentaire ; elle fait poser plusieurs questions sur ses retombées économiques, sociales et technologiques. Cette technologie aura des répercussions très considérables sur notre façon de produire, consommer et créer. Elle ouvra la porte pour plusieurs

économiques moroses. Selon le Xerfi, il devrait continuer de croître pour atteindre 1,4 milliard d’ici 2013, soit une progression de 17% par rapport à 2010. Cette progression ne doit pas faire oublier les efforts continus que les spécialistes du secteur devront faire pour se différencier sur un marché dont les perspectives de croissance attirent des acteurs de plus en plus nombreux. Une multiplication des acteurs Largement atomisé et en évolution permanente, le marché de la bijouterie fantaisie

% (+ 3 ,5 % pour la vente à distance, + 6,1 % pour les chaînes spécialisées dans l’habillement et + 9,8 % pour les hypermarchés). Hors chaussures, le secteur des accessoires a augmenté de 4,9 %, dont 4,2 % pour les sacs et la maroquinerie (ceintures...) par rapport à 2010. Si la grande distribution (hyper et supermarchés) a réalisé dans ce secteur de très bons scores avec des taux de croissance de 15,5 à 16,2 %, et si les chaînes spécialisées dans l’habillement ont-elles aussi bien fonctionné avec

Cosmétique I. Le marché Mondial Un marché de 425 milliards d’euros, dynamique et porteur. Le marché global de la cosmétique mondial est un marché de 425 milliards d’euros avec une croissance d’environ 2 % dont 154 milliards d’euros pour le secteur du sélectif. C’est un marché particulièrement solide, qui connait un développement régulier, tout en étant très résistant dans les moments économiques les plus difficiles. Le consommateur n’a pas changé de comportement depuis la crise. Le marché