Secteur Des Eaux Minerales

supérieur Filière : SMOT Marketing stratégique, étude de cas : Les Eaux Minérales d’Oulmès Réalisé par : EI Année universitaire : 2012/2013 Sommaire Table des sigles : ACHT : Actif Circulant Hors Trésorerie BFR : Besoin en Fond de Roulement CAF : Capacité d’AutoFinancement EBE : excédent brut d'exploitation FRF : Fonds de Roulement Financier Kdhs : Kilo-dirhams LEMO : Les Eaux Minérales d’Oulmès MC : Marge Commerciale Mdhs : Millions de dirhams PCHT :

  Observatoire  de  la  Communication         Dossier  écrit   Le  marché  des  eaux  minérales  naturelles                             Sommaire     I) Présentation  du  marché         II) Analyse  de  trois  principaux    annonceurs  du  marché       a) Evian   b) Volvic   c) Vittel       III) Conclusions  personnelles

| Chapitre i : Généralités SUR LES EAUX | | I.1. Les eaux de la nature | | I.2. Les différents types des eaux brutes | | I.3. Classification des eaux selon la salinité | | I.4. Classification des eaux selon la dureté | | I.5. La composition chimique d’une eau | | I.5.1. Les matières minérales | | I.5.2. Les matières organiques | | I.6. Classification des eaux minérales selon la salinité | | I.7. Classification des eaux minérales selon la composition chimique | |

jeu sont les hard discounter dont la par de marché en volume enregistre un bond de 29,3%. Le hard discount pèserait désormais pas moins de 7% du marché total des eaux embouteillées. Les 20% de volume restant reviendraient a la restauration en foyer ( rhf ) en grande partie par le biais de la restauration commercial. Le marché des eaux embouteillées en GMS a franchis en 2003 la barre des 2 milliards d’euros de CA annuel en hyper et surpermarché, soit un gain denviron 200 milions d’euros par rapport

TECHNOLOGIE UNIVERSITE NANCY 2 Etude concurrentielle et stratégique entre Nestlé & Danone sur les marchés des Ultra-frais et des eaux embouteillées. BARBEI Alexandre LHERAULT Benjamin ORY Sophie Jean-Pierre MOULINE LP CGCI 2007 SOMMAIRE Synthèse générale de l’étude page 4 Introduction page 5 Analyse concurrentielle du DAS « Eaux embouteillées » page 6 • Définition du système concurrentiel page 6-9 • Identification des acteurs page 9-13

Analyse du marché des Eaux Minérales Le marché marocain des eaux minérales est un marché en pleine expansion, il est évalué à 1.5 milliard de DHS avec la présence de 11 marques concurrentes et une consommation annuelle de 450 millions de litres. Entre 2006 et 2011 la consommation des eaux minérales a triplé pour atteindre 450 millions de litres, soit 15 litres par habitant et par an. Cette hausse peut s’expliquer par la multiplicité des marques présentes sur les marché (Oulmes, Sidi Ali, Sidi

présidence revient à Antoine Riboud. 1969 Echec de la tentative d'OPA sur Saint-Gobain. 1970 BSN prend le contrôle d'Evian, de Kronenbourg et de la Société Européenne de Brasserie. BSN devient de fait le leader français de la bière, des eaux minérales et des aliments infantiles. 1973 BSN fusionne avec Gervais Danone et devient le leader français dans le domaine de l'alimentation. 1981 Cession de Boussois qui marque la fin de la présence de BSN dans le domaine du verre et recentre définitivement

consommation des yaourts. C’est pourquoi il était nécessaire pour les producteurs de produits laitiers de trouver le moyen de vendre plus en innovant. 2007 est un tournant pour ces entreprises : en effet, les produits laitiers se lancent dans le secteur de la santé. A l’origine de ce tournant, Danone qui, fin 2006, lance son nouveau yaourt cosmétique : Essensis. Apparait alors le terme de dermo-nutrition. La tendance de la cosmetic-food est lancée. Le principe est d’obtenir un produit alimentaire

TPE :L’EAU MINERALE , UN PRODUIT MARKETING : Depuis plus de 100 ans, les distributeurs d’eau minéral dépensent des sommes astronomiques en campagnes de publicité pour convaincre le grand public de ses nombreux avantages : santé, jeunesse, goût, qualité minérale, site de captage exceptionnel praticité et, plus récemment, démarche environnementale. Mais ces entreprises ne vont-elles pas trop loin ? Les besoins individuels en eau potable sont estimés à environ 2 litres par jour pour un

l’expertise en matière fiscale encore mois des prérogatives quant au recouvrement. Cette situation entrainait non seulement une sous imposition de ses activités, mais beaucoup plus créait une réelle opacité dans le suivi des recettes provenant de ses secteurs. Par conséquent, l’impact fiscal qui en découlait était sans influence palpable sur le budget de l’Etat. Fort de ce constat, il s’est avéré impérieux et loisible d’apporter des réajustements dans un souci d’efficacité pour une mobilisation optimale