Segmentation Abc Et 20 80

par semestre TP 20 14 10 20 15 8 10 44 10 10 73 Volume horaire par étudiant TD Module CM Référence Module Coefficient SEMESTRE 1 UE 11 : Approche des transports et communication M1101 M1102 M1103 M1104 M1105 M1106 M1107 Total UE11 Anglais Économie des transports Éléments fondamentaux de la communication Géographie des échanges Informatique : outils de la bureautique Seconde langue Transport routier de marchandises : contexte et techniques 2 2 2 2,5 2,5 2 2 15 20 15 40 10 85 30 40

contribution des éléments ___________________________ 18 Résumé de la revue de la littérature________________________________________ 19 Traductions en termes de modélisation _____________________________________ 20 5.1 Le modèle « Tetraclasse »___________________________________________________ 20 5.2 Le modèle « Kano » _______________________________________________________ 22 5.3 Opposition des modèles ____________________________________________________ 24 6 7 Les hypothèses de notre travail

personnel, cotisations, …). Il n’y a, bien entendu, pas de « barrière de taille» absolue conditionnant le management d’une entreprise. L’UE préconise de distinguer les micro – entreprises (jusqu’à 9 salariés), les TPE – très petites entreprises (moins de 20 salariés), les petites entreprises (moins de 50) et les moyennes entreprises (de 50 à 250). Cependant, les PME sont parfois situées entre 10 et 500 salariés. Remarques : - en France, environ 40% des entreprises emploient de 1 à 50 salariés

global : Supply Chain étendue. a.1 La logistique traditionnelle. Caractérisée par un fort cloisonnement entres les différentes fonctions de l’entreprise et une faible communication entre les opérations marketing et ventes. (Des années 80 au années 90). La logistique remplissait des fonctions d’exécution des opérations physiques d’entreposage et de transport. Aucune réflexion sur les processus logistiques n’était entamée et la qualité ainsi que la fiabilité des prévisions étaient

fixé par le marché. Toutes les fonctions internes de l’entreprise cherchent alors à collaborer afin de satisfaire le client devenu « roi ». Les grandes firmes américaines ont réagi vigoureusement pour s’adapter à ces évolutions. Dans les années 70 et 80, sont développées les méthodes de management intégré des ressources de production (MRP-2) et de planification des ressources de distribution (DRP). Au Japon, les techniques de production Juste-à-temps trouvent un écho retentissant qui atteindra rapidement

10 exé ECONOMIE 9/06/06 11:17 Page 12 aimantin, n.m. ♦ Domaine : Économie et gestion d’entreprise. ♦ Définition : Objet décoratif aimanté. ♦ Équivalent étranger : magnet. Source : Journal officiel du 14 août 1998. analyse par segmentation ♦ Domaine : Économie et gestion d’entreprise. ♦ Définition : Méthode statistique de la mercatique consistant à définir des sous-ensembles au sein d’une population générale donnée. ♦ Équivalent étranger : clustering analysis. Source : Journal officiel

d’une part, que le bénéficiaire ait un comportement actif de recherche d’emploi ou, à défaut, suive une formation, et, d’autre part, qu’il ne refuse pas les propositions d’embauche qui lui sont faites. ♦ Équivalent étranger : workfare. analyse par segmentation ♦ Domaine : Économie et gestion d’entreprise. ♦ Définition : Méthode statistique de la mercatique consistant à définir des sous-ensembles au sein d’une population générale donnée. ♦ Équivalent étranger : clustering analysis. Source : Journal officiel

L’ENVIRONNEMENT SECTORIEL 16 La croissance française : le PIB 16 La croissance française : panorama par grande branche 17 Les créations d’entreprises 18 2. L’EVOLUTION DE L’ACTIVITE DU SECTEUR 19 2.1. LES TENDANCES DE L’ACTIVITE 20 A retenir 20 L’évolution des déterminants 21 L’analyse de longue période 22 2.2. LES INDICATEURS DE L’ACTIVITE 23 Le chiffre d’affaires de la profession 23 Les prix des prestations 25 2.3. LES PERFORMANCES FINANCIERES DES ENTREPRISES 27 La méthodologie

de la part des clients comme des utilisateurs ou des commanditaires. Il est clair que la plupart des gains de productivité sur le plan de la production, de la rationalisation des achats étant faits par la majorité des entreprises depuis les années 80, le seul champ qui s’ouvrait pour rechercher l’amélioration de la rentabilité globale était la rationalisation des coûts commerciaux. Le tournant de la « productivité commerciale » n’est pourtant pas toujours convaincant. En témoigne le balancier permanent

celui du tourisme et des loisirs. Ce marché est lui même divisé en sous parties : • • un marché principal, celui de l’évènementiel un marché ciblé, celui de l’organisation de mariages 1. Le marché global du tourisme et des loisirs Avec plus de 80 millions de visiteurs, la France a atteint un record en matière de fréquentation en 2007. Si la France est la première destination touristique mondiale, elle ne se classe qu'en troisième position en termes de recettes, derrière les Etats-Unis et