Seigneuriage

centrale est jugée primordiale. Pour deux raisons: si elle est dépendante au pouvoir politique: * Si la BC est dépendante, les gouvernements vont être tenté de financer leur déficit budgétaire par émission monétaire: c'est ce qu'on appelle le seigneuriage. (donc hausse de la monnaie centrale: de la masse monétaire: donc dérapage sur l'objectif de stabilité des prix). * On cherche à éviter l'incohérence dynamique: si le gouvernement a réussit à stabiliser les prix, il peut profiter d'un effet

n’est pas rémunérée, sa valeur réelle est amputée par l’inflation et reniée par l’inflation. Elle représente la Taxe d’inflation ou droit de seigneuriage - L’inflation permet de réaliser une création monétaire supplémentaire pour maintenir constante la quantité de monnaie mise à la disposition de l’économie. - Droit des seigneuriage : principale source de revenu pour une banque centrale b) le cas d’une hausse mal anticipée. - conséquences sur

pièces d’or et d’argent, qui sont raccrochés à une marchandise or et argent). Les pièces sont frappées (= fabriquées) par le Trésor Public, ensuite il les vend à la BC, et c’est la BC qui les met en circulation. Dans l’intervalle existe un droit de seigneuriage = la différence entre la valeur des pièces à leur coût de production et la valeur au moment de l’achat par la BC. La BC achète des pièces à la valeur faciale (ex : pièce de 1euro => valeur faciale = un euro, mais le coût de production n’est pas

avec croissance et sans inflation (modèle américain) il faut que le taux d'intérêt réel soit inférieur au taux de croissance de l'économie, sinon, il y a encore boule de neige lorsqu'il y a dette publique avec croissance et inflation, c'est le seigneuriage. Spirale inflationniste. Le secteur privé Différentes théories tendraient à montrer que l'endettement des entreprises et des ménages serait dangereux, dans un marché où l'information n'est pas parfaite. Lorsque les marchés sont parfaits (informations

croissance 101 où rr désigne le rapport (constant) de la base monétaire aux encaisses nominales. Comme Love et Wen (1996), nous nous servons de cette relation pour distinguer l’agrégat monétaire qui importe pour la mesure des recettes de seigneuriage et celui qui sert à réduire les coûts de transaction. On peut démontrer que le transfert de ressources aux ménages par le jeu de la création de dépôts revêt la forme suivante : χ t Pt = ( M t+1 – M t ) – ( BM t+1 – BM t ) M t+1 – M t M t ⇒ χ t

monétaire potentielle est infinie. En outre, comme la banque n’éprouve jamais de difficultés à « financer » ses crédits (c’est-à-dire à conserver les dépôts créés), elle n’éprouve aucune incitation à exiger le « remboursement » des crédits. Son « seigneuriage » – la quantité de monnaie en circulation correspondant à des créances sur soi-même jamais remboursées – n’est pas financièrement borné. Mais il importe de bien comprendre que ces vues restent virtuelles, même dans un modèle à une seule banque

privilège ou, à défaut, les normes sur les réserves et la convertibilité doivent garantir la confiance indispensable à la valeur et elles règlent également, chose importante, le partage des profits que l'on peut tii-er de l'émission car avec le seigneuriage la monnaie était aussi un revenu que le souverain n'envisage pas aisément de perdre! La doctrine économique, en pleine formation, va d'ailleurs se préoccuper de cette question des normes d'émission et fixer certains principes de base au cours d'un

entreprises a la nécessité  de se procurer des devises ; donc, le taux d’intérêt va baisser et l’investissement va accroître . □ Entant que monnaie internationale en dehors des frontières de l’UEM, la banque centrale européenne va pratiquer un seigneuriage dont les gains seront pour partie conservés par elle et pour une autre réparties parmi les membres. □ La stabilité des prix et le contrôle des anticipations qui permettront la lutte contre l’inflation et l’accroissement de la compétitivité

la BCE et les institutions de la politique monétaire européenne (Slide 18) La BCE est une institution indépendante. Pourquoi faut il que la BCE soit indépendante ? 1er argument : le risque de seigneuriage L’idée est que le risque que les BC financent les dépenses gouvernementales par émission de monnaie. L’émission de monnaie est considérée comme une taxe sur la détention de monnaie. L’idée sous-jacente est la suivante : une émission

création monétaire des banques. Les banques ont une position particulière dans une économie monétaire car leur passif est accepté comme monnaie. Or l’existence d’un moyen d’échange crée l’occasion pour l’émetteur de percevoir quelque forme de seigneuriage mais cette équivalence à la monnaie centrale pose quelques problèmes au créateur de la monnaie centrale (=banque centrale). 3°) accent mis sur l’actif et le passif : fonction bivalente des banques Un certain nombre de ces aspects ont déjà été