Seigneuriage

entraîne des déficits de la balance des paiements et des déficits budgétaires. Comme le dollar est la monnaie pivot du système (la seule convertible en or avec des parités fixes) les Etats Unis en tirent profit. C’est le privilège d’émission (seigneuriage). Mais les pays développés membres du SMI contournent la difficulté en détenant de l’or à la place du dollar. On crée en 1969 les droits de tirage spéciaux (DTS) panier de monnaies de référence. Les déficits US ne permettent plus de maintenir

confusion entre les variables nominales et les variables réelles. ________________________________________ 6. INCORRECT Parmi les éléments suivants, lequel pourrait réduire le coût lié à la variabilité de l’inflation ? : Votre réponse : le seigneuriage Réponse correcte : l’indexation des salaires Une telle indexation réduirait la volatilité réelle engendrée par la volatilité nominale de l’inflation. ________________________________________ 7. CORRECT Le taux d’intérêt nominal :

confère une valeur sure à la monnaie * unifier son territoire, car la monnaie est une activité à rendement d’échelle croissant * Profit généré peut être imposable, important pour les états toujours à la recherche de ressources (appelées seigneuriage) , monopole de l’état sur la monnaie. _ Mesure de la monnaie ( par des agrégats monétaires) : soit de nature éco, soit de nature institutionnelle. En France, environnement financier traditionnel basé sur des critères institutionnels, donc

peut penser que les épargnants devenant plus sophistiqués et plus professionnels une part exigent que les rendements nominaux suivent infla tion autre part ne détiennent presque plus actifs financiers mal ou pas rému nérés monnaie De ce fait le seigneuriage traditionnel aurait presque entièrement disparu Il reste alors aux autorités la possibilité de défaillir vraiment est-à-dire de ne plus reconnaître une partie de la dette publique Le coût une véritable défaillance peut être exclusion des marchés

déficits successifs et des charges d’intérêt liées à son remboursement et conduit à un cercle vicieux. -De plus, les gouvernements ne peuvent plus aujourd’hui jouer sur la variable monétaire en réduisant la dette par l’inflation, politique dite du seigneuriage, car les banques centrales sont désormais indépendantes du pouvoir. -Enfin, à côté de la dette publique et de la charge de la dette, il ne faut pas oublier que l’Etat a d’autres engagements et parmi eux celui de verser une retraite à ses agents

états moderne ont conservé ce privilège. Dans les états modernes, les pièces sont créées par l’état et sont revendu à la banque d’émission (BCE) racheté à la valeur faciale (Une pièce de 1€ est achetée à 1€). L’état (nous) gagne la différence = seigneuriage. (Les billets sont imprimés par des imprimeries très surveillé puis ils sont stockés dans les coffres de la banque centrale.) La monnaie bancaire ou scripturale : La monnaie scripturale existé, les gens avaient des comptes mais ils ne les utilisé

responsabilités, au risque d’être découverts et licenciés. Rupture de stocks : incitation des entreprises à détenir des stocks pour éviter de ne pouvoir satisfaire une demande exceptionnellement élevée. Salaire : rémunération d’une unité de travail. Seigneuriage : recettes prélevées par l’État au travers de la création monétaire ; taxe d’inflation. GLOSSAIRE 639 Sélection adverse, ou antisélection : tri défavorable à certains en conséquence de leurs propres décisions ; par exemple, dans le cadre de

les variations que peut subir la valeur de l’unité monétaire. N’importe qui ne peut pas emmètre de la monnaie. Ici on est dans un processus qui va permettre un éloignement entre la valeur faciale et la valeur intrinsèque  cet écart s’appelle le seigneuriage. Cet écart ne va pas cesser de grandir ! Valeur intrinsèque (prix métaux + coût de fabrication) d’une pièce de 2€ : 13 centimes. Valeur intrinsèque (prix métaux + coût de fabrication) d’une pièce de 0.01€ : 5-6 centimes. 3 problèmes de la monnaie

depuis la décentralisation. Ici encore, de nombreuses voix s'élèvent contre une activité de prêt pratiquement captive qui voit la banque bénéficier pour son compte propre de la rente de création de monnaie au détriment de l'État, alors que le seigneuriage sur un financement en billets serait acquis à l'État. En effet, les prêts des banques à l'État peuvent, dans certains cas, augmenter le déficit public. Ainsi, les impôts augmentent au profit des actionnaires des institutions bancaires. La fourniture

autre pratique financière n'étant modifiée (au moins au début...). Ces intérêts sont reversés à l'État, la Banque Centrale étant (ou devenant préalablement) l'une de ses institutions. En d'autres termes, le gain généré par la création de monnaie (seigneuriage) ne devrait plus revenir aux banques commerciales mais être attribué aux recettes publiques. Complément (en 2007, nous nous étions amusés à ce petit essai..) Alors on nous dit que nous allons rembourser la dette, d'ailleurs,"la cession de 5%