Seins nus

de solitude. Avait-elle du désir pour cet homme ? Elle rêvait de son torse nu, de ses muscles, de ses doigts dans ses cheveux, elle laissait son imagination dévêtir son amoureux et n’osait pas s’imaginer faisant l’amour avec lui. Elle effleura ses seins. Ils étaient durs et gonflés de désir. Elle se leva, prit une douche et mit de l’ordre dans ses valises. Elle eut un moment envie d’appeler le numéro personnel et confidentiel puis se ressaisit. En arrivant chez elle, elle trouva un superbe bouquet

de solitude. Avait-elle du désir pour cet homme ? Elle rêvait de son torse nu, de ses muscles, de ses doigts dans ses cheveux, elle laissait son imagination dévêtir son amoureux et n’osait pas s’imaginer faisant l’amour avec lui. Elle effleura ses seins. Ils étaient durs et gonflés de désir. Elle se leva, prit une douche et mit de l’ordre dans ses valises. Elle eut un moment envie d’appeler le numéro personnel et confidentiel puis se ressaisit. En arrivant chez elle, elle trouva un superbe bouquet

victimes de la déportation et l'extermination dans les camps de concentration. cette chanson souligne notamment la déshumanisation de ces victimes ( ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres) emportés dans les wagons de la mort ( Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés) vers l'enfer des camps. Ce texte a un double objectif : celui de garder une trace de cet épisode honteux et douloureux de l’histoire, tout en rendant hommage à ces milliers de victimes anonymes disparues

objets. Cette lutte s'inscrit alors une contestation du patriarcat et de la domination masculine. Elles désirent mettre à mal les tabou les plus anciennement inscris. Les féministes luttes donc pour la libre disposition de leur corps (vague des seins nus) et la féminité (un périodique féministe se dit alors menstruel : le torchon brûle) mais aussi le libre choix d'aimer d'avoir des relations sexuelle et ce quelque soit son orientation sexuelle. La presse anti féministes clame alors « toutes des

brodequin noir. Vrai Dieu ! Lorsque son œil pétille Sous la frange de ses réseaux, Rien que pour toucher sa mantille, De par tous les saints de Castille, On se ferait rompre les os. Qu’elle est superbe en son désordre, Quand elle tombe, les seins nus, Qu’on la voit, béante, se tordre Dans un baiser de rage, et mordre En criant des mots inconnus ! Et qu’elle est folle dans sa joie, Lorsqu’elle chante le matin, Lorsqu’en tirant son bas de soie, Elle fait, sur son flanc qui ploie, Craquer

perversion de leur rapport de force. Toute la relation amoureuse de Mateo et Concha se fonde donc sur des inégalités et implique un rapport de force déséquilibré. L’attirance de Mateo, un homme de trente-sept ans, pour Concha, une enfant de 15 ans aux « seins naissants »[7] est par ailleurs immédiatement empreinte de perversion. « […] je m’attardai jusqu’à l’aube sur cette bouche singulière, tellement enfantine et sensuelle ensemble, que je doutais parfois si ses mouvements de rêve appelaient le mamelon

les cheveux courts, des robes qui ne gênent pas et nous voulons avoir un métier." Pour les demoiselles, les premières coupes à la jeanne d'arc sont un signe d'indépendance vis à vis de leur mère. La minceur de la garçonne, son allure sportive et ses seins presque inexistants témoignent d'un refus de modèle, celui de la femme maternelle. En effet, l'abandon du corset entraine une réduction importante des dessous, et l'usage du soutien gorge comprime plus qu'il ne soutient...Gabrielle Chanel confirmera

formes de civilisation qui se traduisent, pour les esprits positifs, par la satisfaction directe et facile de tous leurs besoins matériels. Ce qu’il y a de plus utile à l’homme, c’est l’idée. La forme belle, qu’elle soit un arbre ou un fleuve, les seins d’une femme ou ses flancs, les épaules ou les bras d’un homme ou le crâne d’un dieu, la forme belle c’est la forme qui s’adapte à sa fonction. L’idée n’a pas d’autre rôle que de nous la définir. L’idée, c’est l’aspect supérieur et l’extension infinie

mécanique, fonctionnant là, avec la chaleur du chauffage, l’étourdissement, le branle furieux des roues25. 31 Dans Il Gattopardo (Le Guépard)de Tomasi di Lampedusa, le profil de la ville, le skyline, la ligne de toits et coupoles est assimilé à des seins chétifs vides de lait : La strada adesso era in leggera discesa e si vedeva Palermo vicina completamente al buio. Le sue case basse e serrate erano oppresse dalla smisurata mole dei conventi  ; di questi ve ne erano diecine, tutti immani, spesso associati

d’Europe. Mme de Saint-Elme tordit négligemment ses lourds cheveux blonds violemment parfumés par l’eau de jasmin, revêtit un peignoir de surah bleu orné de dentelles et mit à ses pieds nus de splendides babouches brodées. Sur un signe d’elle, une vieille négresse, laide comme une sorcière de Goya et dont les seins pendaient comme des gourdes, refit en un clin d’œil le lit tiède encore du sommeil des époux, secoua les moustiquaires, courut au jardin cueillir une brassée de fleurs fraîches, cependant