Sénèque

.] pour la conduite de l'action» et a imité quelques scènes. - “Phèdre” de Sénèque, elle-même imitée d'Euripide : il lui a emprunté en particulier l'aveu de Phèdre à Hippolyte . Plusieurs auteurs avaient, au XVIe et au XVIIe siècle, traité le même sujet. Ce que Racine leur doit reste très fragmentaire : Robert Garnier dans son “Hippolyte” (1573) et La Pinelière dans sa tragédie du même nom (1635) avaient suivi Sénèque de trop près pour que Racine cherche chez eux ce qu'il pouvait trouver chez le

érudition (il est un fin connaisseur de la civilisation étrusque et des traditions culturelles grecques), il souffre de tics nerveux, est demi-bègue, ivrogne, et n’a aucune expérience politique. Il fut à à ce titre ridiculisé par les Anciens (ex : Sénèque, Apocoloquintose du divin Claude ou « transformation de Claude en citrouille », parodie de son apothéose). Comment Claude, devenu empereur « malgré lui », accède-t-il à la tête du Principat ? - il fut le premier empereur proclamé par les prétoriens

égyptien et ce serait sans doute lui qui lui aurait inspiré le despotisme théocratique, ressemblant à la politique de Marc Antoine. En 49, Agrippine, en tant qu’épouse de l’empereur régnant, lui donne comme précepteurs de hauts personnages politiques : Sénèque, qui lui enseigna la philosophie, la rhétorique et la morale, et le général Burrus. Mais le jeune garçon, ayant vécu également au contact de poètes et de comédiens, est définitivement marqué par la culture littéraire et artistique, et même par les

langue maternelle était le latin, et qu’il savait donc le parler couramment. Une autre caractéristique nous montre cette attachement : le dialogue à la manière de Sénèque. Il fait intervenir des personnes, et pose des questions comme le faisait Sénèque dans ses lettres à Lucillius. De même ces réponses nous rappellent les réponses de Sénèque au « stultus ». Enfin la dernière phrase nous résume sa pensée. Elle est la plus impressionnante, la plus véhémente, donc la plus importante. Elle est comme une

certaines vertus : leurs envers est plus laid que bien des vices. "Marie d'AgoultRetour liste des thèmes[->25]Vice" Celui qui a une conduite vicieuse et ne se corrige pas, celui-là peut être appelé vicieux. "Confucius" Un vice conduit à un autre. "Sénèque" Faites-vous le compagnon du vice, et vous serez bientôt son esclave. "H. G. Bohn" Ce qui nous empêche souvent de nous abandonner à un seul vice est que nous en avons plusieurs. "La RochefoucauldRetour liste des thèmes[->26]Vie (généralité)" Je pleurais

progressivement une tragédie régulière, c’est-à-dire qui obéit à des règles précises => naissance de la tragédie classique. A. Un ensemble de règles 1. L'imitation des anciens La tragédie classique s'inspire des grands auteurs grecs et latins (Sénèque) et traite essentiellement des mêmes sujets : les Atrides, les Labdacides, les héros de la guerre de Troie, Thésée, Hercule, etc. Elle puise aussi, dans l'histoire, ses sujets (Rodogune de Corneille, Mithridate de Racine). La tragédie classique ne

chaque printemps à Dionysos. 5) Les Atellanes étaient chez les romains un genre de comédie populaire. La pantomime est une pièce de théâtre mimée et muette et c’est sujet mythologique, de tonalité tragique. 6) Sénèque écrivait des œuvres de tragédie. Plaute écrivait des œuvres de comédie. 7) Sénèque écrivit Lettre à Lucilius et Apocoloquintose Plaute écrivit L’Imposteur et Amphitryon. 8) 9) 10) La commedia dell’arte naît pendant le XVI ème siècle, en Italie. 11) La commedia dell’arte est un genre

lieux communs. Par exemple, beaucoup de gens pensent qu’ils seront heureux dès lors qu’ils seront en bonne santé, auront accès à la richesse, auront les moyens de s’acheter un home cinéma, ou encore une Mercedes coupée cabriolet. Au contraire, pour Sénèque, « la chose à faire en tout premier lieu est de ne pas suivre, à la façon du bétail, le troupeau des gens qui nous précèdent, ce serait alors s’acheminer non où il faut aller, mais où va la multitude », c’est ce qu’il affirme dans De la vie heureuse

la Sabine d’Horace ? Mais j’ai à leur dire que, s’ils avaient bien lu l’histoire, ils auraient trouvé une Junia Calvina, de la famille d’Auguste, soeur de Silanus, à qui Claudius avait promis Octavie. Cette Junie était jeune, belle, et, comme dit Sénèque : festivissima omnium puellarum. Elle aimait tendrement son frère, « et leurs ennemis, dit Tacite, les accusèrent tous deux d’inceste, quoiqu’ils ne fussent coupables que d’un peu d’indiscrétion. » Si je la présente plus retenue qu’elle n’était, je

d’échange intéressé ? À la question de savoir si la générosité peut être désintéressée, le stoïcien Sénèque répond, dans cet extrait de l’ouvrage Les Bienfaits, que si l’on peut tirer une satisfaction à faire le Bien, l’intérêt reste secondaire par rapport à ce que pourrai être un « vil calcul » ; en ce sens la morale elle-même peut être désintéressée. Pour établir sa démonstration, Sénèque commence par un raisonnement par l’absurde qui rend intenable toute position utilitariste. Il nuance ensuite